Je suis Albert_gynarchique, un homme soumis depuis son enfance qui a passé le pas il y a 6 ans au hasard d’une rencontre sur une application de rencontre. (voir le texte « Maitresse Sissi, dominatrice africaine, la rencontre!« ). Malheureusement, elle est rentrée en Afrique quelques mois après mon initiation. Depuis cette belle histoire, je n’ai pas retrouvé de Maitresse à servir.
Ainsi, je passe des heures sur le site Slave Selection à écrire aux Femmes qui se connectent. Cependant, je pense qu’en raison de ma situation géographique, je vis en Suisse, je n’arrive pas à obtenir de rencontres.
Inscrit à l’Académie gynarchique de Maîtresse Caroline NO
D’autre part, j’ai commencé à suivre des cours à l’Académie gynarchique de Maitresse Caroline NO. Ainsi, j’ai bien progressé en tant que soumis. Pendant tout le mois d’octobre, je me suis lancé le défi de faire le Locktober. Pour s’assurer du respect des règles, j’ai dû envoyer, à Maîtresse Caroline NO, les deux clés qu’elle m’a renvoyées quelques jours plus tard dans un cylindre de cire. Je ne peux pas utiliser les clés sans casser la cire. La cage qu’elle m’a recommandée d’acheter est plutôt confortable, bien plus que la cage en plastique que j’avais achetée auparavant.
Tous les jours, elle m’envoie des photos sexy de Maitresses pour m’exciter au maximum. Depuis que je porte la ceinture, la cage est bien plaquée contre mon ventre et ne permet plus les débuts d’érection. Pour être honnête cela est presque plus agréable car mon petit sexe comprend maintenant qu’il doit rester calme. Par contre, l’admiration pour les magnifiques Maitresses qu’elle m’envoie en photo est d’autant plus grande. Je sais aussi qu’elles ne sont pas des Femmes pour moi et que je peux au mieux espérer les servir.
Je lui parle de mes difficultés à rencontrer une Femme. Chaque fois, elle me donne le même conseil. Je suis trop impatient et je dois laisser la Maitresse dicter le tempo. Malheureusement, c’est toujours le même problème, je m’emballe et je vais trop vite.
Stage pour soumis chez une vraie Domina
A la mi-octobre, Maîtresse Caroline NO m’annonce une grande nouvelle. Je vais partir en stage chez une vraie Domina qu’elle a choisie pour moi. Comme à mon habitude, je pose beaucoup de questions. Cependant, Maitresse Caroline NO reste de marbre et ne lâche aucune information.
Voilà les quelques messages qu’elle m’envoie.
« Je veux que tu ailles servir une Maîtresse pour un week-end »
« pas une Dominatrix, une vraie Domina naturelle »
« Tu es trop dans le virtuel, il est important que cela soit dans le réel »
« nous ne sommes pas ici pour fantasmer mais faire de toi une salope male »
« et arrête de t’éparpiller. En suivant mes directives, tu as la garantie de finir en couple gynarchique. »
« Ce n’est pas si difficile, j’ai de la demande. Et c’est souvent hard ! »
« A moins que la Domina que je vais te trouver pour le stage ai envie de jouer avec ta queue »
J’ai de la peine à croire que cela soit vrai, je me demande si ce n’est pas juste de mots pour m’exciter.
Puis par la suite : « Tu auras son profil cette semaine »
Beaucoup de questions sur le stage pour soumis chez Maîtresse Isabelle
Les jours passent et je n’ai pas de profil, en fin de semaine, je reçois ce message.
« Maitresse Isabelle va te recevoir dans son chalet à la fin du mois de Locktober. Elle a 45 ans et gère ses investissements dans l’immobilier. Comme ce sera en novembre, tu es libre d’y aller avec ta cage ou sans la cage, mais je ne t’autorise pas à y apporter les clés. Sache que Maîtresse Isabelle a un très gros appétit sexuel, mais elle est aussi très sévère avec les soumis qui se présentent à elle de manière irrespectueuse. Elle est pour un contrôle total de la sexualité des mâles et je la soupçonne d’utiliser ces méthodes pour organiser son entreprise. Fais le bon choix. »
« Dans 10 jours, un taxi viendra te chercher à la gare d’Annecy vendredi à 18h55. il te reconnaitra à ta valise toute rouge et à ton chapeau de cow-boy. Ainsi, il te mettra un foulard sur tes yeux. L’emplacement du chalet doit rester secret. «
Quel cruel dilemme, je vais passer un week-end avec une Maîtresse nymphomane, mais je ne sais pas si je dois y aller encagé ou libre. Si elle est vraiment si chaude, ce serait stupide d’être entravé, mais d’un autre côté, j’y vais comme soumis. Y aller sans cage risque d’être mal perçu.
Mes demandes de conseils à Maitresse Caroline sont ignorés. Elle ne lit même pas mes messages.
Finalement, je décide d’y aller avec la cage. On trouvera bien une pince coupante dans son chalet si elle décide de jouer avec ma queue. Mieux vaut faire profil bas et être respectueux.
Premier contact avec Maîtresse Isabelle
Sur les hauteurs d’un village, le taxi s’arrête et me dit de sortir. Ensuite, il redémarre immédiatement sans me laisser le temps de prendre ma valise dans le coffre. Il faut dire qu’avec mon bandeau je suis un peu maladroit.
Je reste hébété dans le froid au bord de la route, dans le noir avec le bandeau sur les yeux. Après probablement 15 minutes, je décide de retirer le bandeau. Je ne vais tout de même pas mourir de froid sur cette montagne.
Une voix dans la nuit s’écrie,
- Tu as attendu 14 minutes et 30 secondes! Caroline m’avait averti que tu étais un soumis impatient. J’allais te faire entrer. Maintenant je te laisse de débrouiller tout seul pour venir. J’ai des chiens dans le jardin à toi de voir si tu as vraiment envie de risquer tes mollets pour faire ton stage.
En effet, je vois 3 dobermans dans le jardin. Je ne vais pas entrer en enjambant le portail avec ces molosses dans le jardin. Ils ne feraient qu’une seule bouchée de mes jambes.
J’ai beau tourner autour du jardin, pas moyen de trouver un moyen d’entrer. Après une heure, je commence à vraiment avoir froid. Aussi, je me dis qu’il faudra me résoudre à descendre à pied au village dans le froid pour essayer de trouver un hôtel ouvert en ce début de mois de novembre.
Nu avec seulement ma cage face à cette Domina inconnue
Soudain, j’entends une voix,
- Caroline m’a dit que tu étais très motivé. Il me semble qu’elle a raison. Cependant je vois que tu n’oses pas prendre des risques pour avoir ce que tu souhaites. Il va falloir travailler cela et ce sera un des buts du stage avec moi. Dans la boite aux lettres, tu trouveras un sac. Ensuite, déshabille toi complètement et mets toutes tes affaires dans le sac et jette le dans le jardin. De toutes manières, tu en auras pas besoin ce week-end.
Est-ce bien raisonnable de jeter mes habits dans le jardin d’une inconnue ? Si elle ne me laisse pas entrer, je ne pourrai pas aller les récupérer avec les chiens dans le jardin. Je vais avoir l’air fin si je dois rentrer nu chez moi dans ce froid.
Aussi, je décide de faire confiance à Maîtresse Caroline et d’obéir à cette voix. Je mets tout dans le sac et le jette dans le jardin.
- Bravo, en effet, tu es motivé. Je suis ravie de voir que tu as gardé ta cage. Si je comprends bien, tu n’es pas intéressé à ce que je joue avec ta petite queue ce week-end. Quel dommage, je suis seule dans ce chalet depuis 10 jours et je m’ennuie un peu. Je constate que tu ne me serviras à rien, Caroline est bien trop stricte avec les cages, elle aurait dû te dire que j’aimais beaucoup le sexe.
- Elle me l’a dit, mais je voulais être un bon soumis et me présenter encagé.
Un peu trop prétentieux et curieux pour Maîtresse Isabelle
- Dommage pour toi, tu n’as pas joui depuis combien de temps petit soumis ?
- Depuis le début du mois d’octobre Madame.
- Tu dois donc avoir beaucoup de crème à offrir. Cependant, tu ne tiendras pas longtemps et je n’ai pas envie d’être déçue par un soumis qui viendrait trop vite. Caroline t’a expliqué comment te milker. Alors tu vas regarder au fond de la boite aux lettres et tu vas prendre l’objet que tu trouveras. Comme je ne suis pas trop méchante, je t’ai laissé un peu de gel. Je vois aussi que ta petite nouille est toute petite à cause du froid ou est-ce son état normal ?
- Elle est petite à cause du froid Madame.
- Tu es bien prétentieux, cela n’est pas acceptable pour un soumis, ce sera aussi un point à travailler durant le stage.
Dans la boite aux lettres, je trouve un petit milker avec l’extrémité recouverte d’une substance transparente. Il y a aussi une grande enveloppe. Je profite d’être caché par la haie pour regarder ce qu’il y dans l’enveloppe. Je suis ébahi de voir des photos d’une magnifique Femme d’une quarantaine d’année. Elle est blonde avec de longs cheveux. Elle est pourvue d’une magnifique poitrine et de très longues jambes. Sur certaines photos, elle porte un gode ceinture imposante. Sur d’autre, on voit une tête posée entre ses jambes. Ce soumis à vraiment de la chance de pouvoir lui donner du plaisir. Je me perds dans la contemplation des photos et j’en oublie le temps.
- Tu es bien trop curieux, Caroline m’avait prévenue, encore un point à travailler ce week-end. Décidément, ce stage ne sera pas de tout repos pour toi. Maintenant, retourne sur la rue et montre-moi comment tu comptes te faire milker.
Après avoir perdu connaissance, réveil avec les yeux bandés et les chevilles et poignets attachés
Je n’ai pas le choix si je veux avoir une chance de passer la nuit au chaud et faire ce stage. Dans quel pétrin me suis-je fourré ?
Je me mets à quatre pattes et commence à enduire ma raie avec le gel. J’en mets copieusement sur le milker. Par chance, il n’est pas trop gros et entre assez facilement en moi. Je stimule le mieux que je peux ma prostate pour espérer obtenir mon droit d’entrée. Etrangement, je suis de plus en plus vaseux et n’arrive presque plus à rester dans la position. Je me fais violence pour continuer, mais ma tête tourne et je ne vois plus très net.
Quand je me réveille je suis dans une pièce chauffée avec les yeux bandés. Mes poignets et mes chevilles sont fermement attachés. Je dois rester sur le dos, une barre d’écartement maintient mes chevilles bien écartées. Quelque chose de doux et moelleux vient se poser sur ma joue brièvement. Cela ressemble à la texture d’un sein. C’est délicieux mais trop bref. Maitresse Caroline l’a surement mise au courant de ma fascination pour les seins.
- Si tu devines la taille de mes seins, tu pourras les admirer, autrement tu auras une punition. Les prix sont, les regarder, le regarder sans soutien-gorge, les toucher, et les embrasser. Pour chaque prix, il y a une punition associée. A toi de choisir ce que tu veux avoir comme récompense. Bien sûr les punitions ne sont pas communiquées, à toi de savoir quels risques tu veux prendre.
Grosse prise de risque
Sur les photos, la Femme devait avoir du 95 C, mais est-ce elle ?
- Je vais tenter la récompense regarder vos seins nus. Je dirai que la taille est 95 C.
- Bravo c’est juste, mais ce ne sont pas mes seins qui ont effleuré ton visage. Tu as donc perdu, choisi 1, 2 ou 3.
Les punitions ne sont probablement pas par ordre croissant, il doit avoir un piège. Je vais choisir le 3.
- « 3 »
- Tu es bien courageux de prendre le plus gros. Comme tu n’as pas encore milké et que tu as été pathétique devant chez moi, je vais devoir le faire maintenant. En revanche, ce ne sera pas aussi doux. Il y avait un puissant somnifère à l’extrémité du milker qui a eu raison de toi. Par contre ce ne vas pas être facile pour toi de milker avec la cage plate. Caroline m’avait envoyé les clés de ta cage et t’avait renvoyé des clés inutiles. J’ai profité de ton sommeil et du froid par faire le changement, cela a vraiment été facile.
Présence d’une autre femme…
Je sens un mécanisme qui fait remonter mes chevilles, me voilà totalement exposé, un gel froid est rependu sur ma raie et également sur ma main.
- Tu vas tout même enduire le gode de gel, tu te rendras compte de sa taille et tu pourras t’en prendre qu’à toi-même s’il manque du gel.
L’objet est énorme. J’arrive à peine à faire le tour avec ma main. Aussi, je m’applique pour l’enduire le mieux possible de gel, mais il ne va pas pouvoir entrer en moi. J’ai fait de mon mieux, mais cela va être compliqué.
Une pression vient sur mon anus et le distend, avec de petit va et vient le monstre entre en moi. Cependant, la taille est trop grande et la douleur est forte.
Je me mets à pleurer et la supplie d’arrêter.
- Je ne supporte pas tes larmes ni tes cris, mais tu n’as pas le choix, je veux que tu milkes. Dommage que tu n’aies pas totalement utilisé le gode que Caroline t’avait fait acheter pour les cours. Elle avait de bonnes intentions en mettant cela au programme des cours. Ce n’est pas pour rien qu’elle se casse la tête à faire des formations.
Un bâillon est installé dans ma bouche et fermement attaché derrière ma tête. Une pression d’exerce sur le bâillon et je sens de la peau toucher mes joues. Des mouvements de va et viens s’exercent sur la baillons et je commence à sentir de la cyprine sur mes lèvres. J’en déduis qu’une autre Femme est en train de se donner sur plaisir sur un bâillon gode.
Le stage ne fait que commencer…
L’idée est tellement excitante qu’elle attenue la douleur qui a repris au niveau de mon arrière-train. J’essaie de me concentrer sur cette Femme qui est sur mon visage. J’entends des gémissements au-dessus de moi et les mouvements deviennent de plus en plus puissants. Mon corps tremble et j’entends un cri de jouissance.
- Tu n’as pas milké mais mon amie a joui. on peut dire que l’exercice est partiellement réussi.
Le bandeau est retiré et à ma grande surprise je vois une Femme qui s’éloigne de moi. Elle ressemble étrangement à Maitresse Caroline. Serait-ce elle qui a pris du plaisir sur mon visage. L’autre Femme est encore en moi, mais a arrêté de bouger. Son corset en cuir est magnifique mais ne peut contenir sa majestueuse poitrine, elle est bien la Femme qui était sur les photos dans l’enveloppe. Une magnifique blonde.
Le stage ne fait que commencer…