L’esclave de la Mistress Next Door (3/3)

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Mistress next doorJe souffre dans ma cage pendant une semaine. A la fin de celle-ci, je pensais être au bout de mes peines. Je lui envoie donc un message lui suppliant de me libérer. Pas de réponse. J’ai compris qu’il faut que je fasse mes preuves. Allez deux trois jours de plus et elle me répondra. J’appelle, elle ne décroche pas, mes messages restent sans réponses. Je me calme, je résiste une semaine de plus, dix jours, deux semaines, me voila encagé pendant trois semaines . Que dois-je faire ? M’en débarrasser ? En même temps je ne pense qu’à elle, elle est toujours dans mon esprit, je suis cérébralement et sexuellement encagé et suis son esclave à distance.

Je résiste, jusqu’à son appel qui vient me sauver. C’est plutôt une gifle, elle me demande si je suis toujours en chasteté et m’ordonne de faire un effort pour boucler le mois.

Au son de sa voix que je désirais tant, je ne pouvais qu’abdiquer. Je n’en peux plus, mais je lui obéis.

Quelques jours avant la fin du mois, elle m’envoie un SMS avec une commande sur un site coquin. Un ensemble d’articles qu’elle a sélectionné et me demande de le payer. Je m’exécute. Curieux, je constate qu’il y a un entonnoir, un fouet et des menottes. L’imagination et la perversité de cette Femme est apparemment sans limites. Encore une fois, je sais que je vais la revoir mais le suspense est à son comble. Elle ne me dit pas ce qu’elle ferait, elle communique par syllabes et ça me rend fou.

Elle m’envoie enfin le SMS tant attendu : « rejoins moi à 11 h devant le centre commercial près de chez toi, tu payeras mes soldes ». A ce stade, on ne peut plus faire machine arrière, je suis son larbin à tout faire, elle me tient en laisse, elle fait de moi ce qu’elle désire. Je n’y crois pas, mais toute la clef de la domination est la cage de chasteté, sans elle, on peut toujours partir, mais là elle le sait bien et elle m’a encagé. Ce n’est plus un jeu.

J’arrive en avance, je l’attends donc avec impatience, j’ai hâte de la revoir après un mois de manque, de rincer mes yeux avec sa sublime beauté, de me délecter de sa finesse élancée sans égal. Elle arrive, marchant avec des talons avec légèreté, une marche d’une Reine qui gouverne. Soudain je ne vois plus qu’elle dans un espace noir vide de monde, je retiens mon souffle un instant. Habillée subtilement bien, mettant en valeur ses attributs féminins, chaque coin de son corps est un objet de fétichisme et d’admiration. Ses pieds sont mes préférés.

Je me précipite vers elle en souriant, le dos se penchant de plus en plus en s’approchant. Elle sourit et claque deux fois des doigts pour me signaler de rester debout et me donne son sac. Je suis heureux, très heureux. Je souris et je commence à rire de joie quand elle me lance :

– Qu’est ce qui t’arrive ?

– Heureux Majesté Sylvie.

– Bien, je suis contente que tu ais fait ce sacrifice pour moi.

– Avec plaisir Maîtresse Sylvie.

On fait le tour des boutiques, je porte ses courses que j’ai payées, et une salade pour son déjeuner. Je la suis dans un parc, elle choisit un banc et s’assoie.

Et comme j’imaginais, elle m’interdit de s’asseoir à côte d’elle :

– Toute ta fierté est d’être ma carpette, fais le savoir à tes riverains ! Me lance elle en me fixant d’un regard d’acier !

Je m’allonge donc sur le dos à ses pieds. Oui c’est ma fierté, oui c’est mon bonheur, ma raison d’être aux pieds de ma Mistress next door. La joie d’être à nouveau tout près de ces œuvres d’art est indescriptible. Elle repose ses talons sur mon ventre, que j’enlève sans qu’elle me demande et commence à masser ses pieds. Elle mange sa salade et profite du moment, je sens qu’elle savoure le calme, le confort, le massage, les passants curieux. Sa satisfaction me comble de joie :

– On va chez toi.

– Oui Maîtresse Sylvie.

Dans sa voiture, pendant le cours trajet qui nous conduit chez moi :

– Sais tu que l’urine est plus propre que l’eau quand on est en bonne santé ?

– Quoi ??

– On dit pas quoi chien ! On dit pardonnez moi Maîtresse Sylvie, je n’ai pas saisi le sens de votre question.

– Euuhh, surpris.

– Je vais t’apprendre les bonnes manières, tu as toujours le fouet que je t’ai dit de payer ?

-Oui Maîtresse Sylvie.

Chez moi, elle décide de m’infliger trente coups de fouet, conclus par un « Merci Maîtresse Sylvie ». Chaque coup est d’une violence inouïe. Elle savoure, je souffre, ça m’excite. Ma cage me lacère la peau, je peux apercevoir des brûlures .

Au trentième coup, je m’effondre et elle se met de tout son poids sur mon dos. J’en peux plus, je la supplie de m’épargner. Elle rit et me dit de la fermer.

– J’ai compris Maîtresse Sylvie, j’implore votre pardon.

– Suis moi dans la salle de bain, ça va te rafraîchir.

Je m’allonge dans la baignoire, elle me menotte et me met violemment l’entonnoir dans la bouche. Que va t’elle faire encore ? Elle est décidément débordante d’énergie et très excitée. Une tornade qu’on ne peut plus contrôler.

– Tu as compris que me manquer de respect ou me désobéir est coûteux ?

Si j’ai bien compris ? vous parlez d’une leçon, je ne suis pas prêt de l’oublier après vingt ans. Je sens encore ces coups de fouet dans mon dos en les décrivant. Le fouet doit être fait pour dresser les chevaux ! En me fouettant, elle se mettait à trois mètres.

– Tu vas déguster mon champagne doré !

Je ne suis plus qu’une victime, un fantôme. Déguster ou me forcer à boire, ai-je encore le choix ? Je suis à la merci de ma ravisseuse, je souhaite que tout s’arrête au plus vite, et j’espère qu’elle ait enfin pitié de moi. Elle m’asperge de son tiède nectar, qui me brûle les traces de fouet dans le dos. Et finit le service dans l’entonnoir. C’est un élixir qui prend source dans sa magnifique chatte bordée de ses sublimes fesses arrondies. Je savoure la vue et le goût. Les douleurs dans mon dos, et dans ma cage deviennent insupportables, je commence à gémir, mais elle pousse encore ses rires sadiques.

Elle enlève l’entonnoir en disant :

– Tu aimes ?

– Belle figure de style Maîtresse Sylvie (n’ayant rien à dire)

– Quoi ?

– Désolé,…

– Ferme la !

– Je vais te libérer, je fais un décompte jusqu’à zéro et tu dois jouir à ce moment, mais seulement à ce moment, à défaut, je te repasserai la cage.

Alors devinez ce qui s’est passé quand elle m’a libéré ? J’ai presque joui tout de suite, à 7 ou 6.

Un mois de frustration a eu raison de moi. Mécontente, ma Maîtresse me remet la cage et m’ordonne de me laver. J’ai passé le reste de notre rencontre à lui lécher les pieds.

A la fin, en me caressant les cheveux, elle me demande :

– Sais tu que j’ai déménagé à Toulouse, je viens de finir ma formation orthodontiste.

– J’aimerais venir vivre à côté de Vous Maîtresse.

– Haha, c’est mignon mais je n’aurais plus le temps et puis je me suis mis en couple récemment.

– Dommage Maîtresse Sylvie.

– Je veux que tu gardes encore ta cage pour un temps indéterminé. Je t’enverrai la clef par courrier quand je le décide.

On s’est quitté presque en larmes, elle part pour toujours alors qu’on vient de passer un superbe moment qu’on n’oubliera jamais. Mais je respecte ses contraintes et je lui promets de n ‘enlever la cage que sur ses ordres.

J’ai mis ainsi presque deux mois encagé quand elle m’envoie un courrier avec la clef et un mot de remerciement, et m’explique que celui ci scelle définitivement la courte mais l’intense expérience vécue ensemble.

Je n’oublierai jamais cette superbe Femme qui m’a fait découvrir les vrais plaisirs de la soumission. Je ne pourrai jamais assez la remercier.

Aujourd’hui, tous mes efforts sont mis en œuvre pour trouver ma Maîtresse et vivre gynarchiquement à son service et à ses pieds. La relation vanille ne m’intéresse plus. Pour cela, il faut faire preuve de sincérité, clarté et patience dans sa démarche.

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