Les souvenirs me reviennent peu à peu. Ma conquête d’un soir, qui s’est révélée être une redoutable femme dominatrice se lève et me fait sortir de sous la table. Toujours à quatre pattes, je me retrouve à genoux devant elle et je baisse, instinctivement, la tête.
Mes yeux se posent sur l’anneau qu’elle m’a mis et un détail attire mon attention. Je suis, complètement épilé, exception faite des bras et des jambes.
J’essaie de me souvenir de ce qui s’est passé la veille!
« Flashbacks » sur ce qui s’est passé la veille!
La veille, après m’avoir bâillonné, elle avait décidé de « jouer un peu », comme elle avait dit.
Dans la foulée, elle avait sorti un masque et m’avait bandé les yeux.
Je ne voyais plus rien.
- Tu t’es laissé aller!
Je n’avais pas, sur le moment, compris ces paroles.
- J’ai besoin d’un avis extérieur !
Me prenant par la main, elle m’avait guidé, alors, jusqu’à ce que je supposais être la salle.
- Tu promets de ne pas parler sans y être autorisé ?, m’avait-elle demandé.
Je hochais la tête de haut en bas pour montrer mon acquiescement. Aussi, elle avait retiré mon bâillon, puis elle m’avait mis un verre dans les mains.
- Je te sens un peu crispé, bois, ca va te détendre !
Toujours privé de ma vue, j’avais approché, avec appréhension, le verre de ma bouche. Cependant, j’avais trempé mes lèvres dans le liquide qu’elle m’avait servi. C’était plutôt agréable, légèrement sucré et un peu alcoolisé.
- « Cul sec » !, avait-elle lancé, en accompagnant ces mots, d’une claque sur ma fesse.
J’avais vidé le verre d’un trait.
Perte de contrôle
Au bout de quelques secondes, je flottais un peu comme dans un brouillard. Ensuite, j’avais entendu une voix féminine différente dire :
- Tu vois, maintenant, il va être beaucoup plus docile. Mais tu devrais quand même lui mettre un collier et une laisse pour le promener et éviter qu’il traîne n’importe où.
J’avais eu à peine le temps de dire un « mais… » que sa main s’était posée sur ma bouche. Elle avait, ensuite, remis le bâillon boule en disant:
- Puisque je ne peux te faire confiance… Et puis, ça étouffera bien tes jérémiades !
Après, elle m’avait fait faire un demi tour pour me mettre face à elle.
Elle avait posé ses mains sur mon torse puis ses mains étaient descendues, en une douce caresse, vers mon sexe qui commençait à se dresser. Ensuite, elle avait remonté ses mains sur mes épaules et glissé sur mes bras pour, d’un seul coup, saisir mes poignets.
Me tirant en avant, elle m’avait collé à elle et elle me tenait fermement.
Ensuite, j’avais senti une autre paire de mains venir de derrière et passer autour de mon cou pour y attacher ce que je devinais être un collier en cuir.
Enfin, j’avais entendu un clic.
J’avais compris qu’une laisse venait d’être attachée lorsqu’elle avait lâcher mes poignets et que j’avais senti la pression du collier qui tirait ma tête vers le bas.
Cette pression m’avait forcé à descendre et, ne voulant tomber de tout mon long, j’avais dû me mettre à genoux.
En laisse, tel un animal de compagnie pour cette femme dominatrice!
Elle me tenait en laisse, tel un animal de compagnie.
D’un coup sec, elle m’avait, alors, tiré en avant et je n’avais pas eu d’autre choix que de poser mes mains au sol. J’avais entendu, ensuite, cette seconde voix féminine dire:
- tu vois, c’est plus pratique, comme ça!
- Effectivement! lui avait-elle répondu.
Puis s’adressant à moi, elle m’avait dit:
- Viens par la, mon toutou, qu’on s’occupe de toi…
Dans le même temps, elle avait tiré, légèrement, sur la laisse pour me faire avancer.
Me guidant ainsi, alors que je ne voyais rien ni ne pouvais contester verbalement, elle m’avait promené dans la salle jusqu’au moment où j’avais senti la laisse se détendre puis être tirée vers le haut.
- Debout !
Je m’étais relevé…
- Demi-tour !
… je m’étais exécuté…
- Recule doucement et assied toi !
… j’avais reculé de quelques centimètres et j’avais, alors, senti le rebord de ce que j’avais pu identifier comme une table de massage.
Je m’étais assis dessus.
- Tu tournes vers la droite et tu t’allonges !
Je la sentais me guider avec la laisse et alors que j’allais poser les pieds, les mains de l’inconnue avaient saisi mes chevilles et les avaient écartées.
Mes poignets avaient, également, été attrapés pour être amenés au dessus de ma tête.
Objectif : retirer tous les poils!
J’étais donc allongé, nu, avec un bandeau sur les yeux, un bâillon boule en bouche et un collier autour du cou, bras relevés et jambes écartées et la tête embrumée au point de ne pouvoir résister…
Je l’avais entendu dire, alors:
- c’est assez chaud ?
Suivi d’une réponse brève:
- oui ! On commence par quoi ?
- Les aisselles!
La femme dominatrice qui m’avait fait venir chez elle, avait saisi mes poignets pour maintenir mes bras en position.
L’objectif était clair : plus de poils!
- Je n’ai pas voulu improviser, alors j’ai fait appel à une amie professionnelle…, m’avait-elle susurré à l’oreille, comme pour me rassurer.
C’était à ce moment là, que j’avais senti la cire posée sous mes aisselles.
Je venais de comprendre qu’elle avait entrepris de me faire épiler…
Ce n’était pas une première pour moi, mais d’habitude, je faisais faire cela en institut. J’avais même mon esthéticienne attitrée.
Juste un objet aux yeux de cette femme dominatrice!
Mais là, c’était différent, je ne voyais rien et ne pouvais parler. En plus, elle discutaient toutes les deux, presque comme si je n’étais pas là.
Son esthéticienne lui donnait des conseils, sur l’entretien physique, certes, mais également sur ce qu’elle pouvait m’amener à faire ou qu’elle pourrait me faire…
J’étais tellement dans le gaz que je ne réagissais pas aux discussions, à peine un « mhhhh ! » quand une bande de cire était arrachée.
Après les aisselles et le torse, elle m’avait fait le maillot intégral.
Zone plus sensible, je m’étais crispé et j’avais lâcher un « Mmmhhhh ! » à chaque retrait vigoureux d’une bande de cire.
- Mais c’est qu’il aime ca !, avait dit l’esthéticienne. Regarde !…
- Mais oui, dis donc ! avait répondu mon hôtesse, Cela doit être sa façon de dire merci !
Ensuite, elles avaient pouffé toutes les deux, alors que j’avais une érection non contrôlée.
- Ce côté est terminé, m’avait-elle dit en relâchant mes poignets.
- Retourne toi et mets toi à 4 pattes, bien cambré, c’est plus facile !
Hmm tres sympa