Ma sainte voisine, une Maîtresse Dominatrice lesbienne?

| |

Chaque fois que je croise ma voisine, je ne peux m’empêcher de la regarder,  du coin de l’œil, à la dérobée, grâce aux nombreux miroirs de l’ascenseur.

Obsédé par ma voisine de palier

Maîtresse Dominatrice

Ma voisine est assez petite, 1m60 je dirais. Ses formes me rendent dingue. Elle est plutôt potelée mais j’ai toujours aimé les femmes bien en chair à condition que la taille soit marquée. C’est son cas. Elle a un gros postérieur ferme, des cuisses larges et des seins à se damner toujours comprimés sous des bustiers serrés. Ses seins sont gros, pleins. si seulement je pouvais les prendre dans mes mains et poser mes lèvres sur ses tétons…

Chaque fois que je croise ma voisine lorsque je pars au travail, je pense à elle toute la journée telle une obsession. Elle est toujours vêtue comme une executive woman. Ainsi, je pense qu’elle doit travailler dans la banque ou un truc du genre. Pour mon malheur, je suis fétichiste des tenues strictes avec un goût prononcé pour le nylon.

Autant vous dire que dès que je vois une paire de jambes gainée de bas ou de collants, j’ai du mal à garder mon calme. Ma voisine en porte constamment, sombres, souvent opaques. Comme elle est petite, elle est toujours perchée sur des hauts talons, ce qui accentue sa cambrure. Et mon excitation. Elle a un visage d’ange, de grands yeux innocents et une bouche aux lèvre épaisses. Après un rapide bonjour, elle se détourne toujours de moi, le regard pensif, perdue dans ses pensées, son beau visage encadré par son imposante chevelure noire de jais.

 

Ma voisine, surprise en séance SM avec une jolie asiatique

Nous sommes voisins de palier, au seizième étage tout en haut d’une tour au cœur de Paris et elle vit seul. Je le suppose puisque je n’ai jamais vu d’homme entrer chez elle. Elle a de nombreuses amies par contre qui lui rendent souvent visite. J’en suis donc venu à me demander si elle n’était pas lesbienne. Pour mon plus grand malheur.

Cela fait des mois que cela dure. Je n’ai jamais osé franchir le pas, lui adresser la parole, tenter une approche douce et polie, ne serait-ce que ça. Je n’ai pas envie de gâcher mes fantasmes pour tout vous dire par une quelconque forme de rejet mais les choses ont changé il y a quelques jours.

Nous partageons le même balcon qui court tout autour de l’immeuble, une simple séparation vitrée délimite nos appartements. Alors parfois je me penche un peu pour tenter de voir dans la petite chambre, seule pièce accessible à mon regard. Cependant, la plupart du temps, le volet déroulant est descendu. Sauf que ce matin-là, il était ouvert. Alors j’ai tenté ma chance d’autant que d’étranges bruits étouffés s’échappaient par la fenêtre à glissière légèrement ouverte.

Ce que j’ai vu m’a tétanisé. Il y avait une femme allongée sur le lit attachée en position de hogtie, cambrée en arrière à l’extrême. Une petite asiatique assez fine et particulièrement souple vue sa position. Elle avait des bas, des escarpins noirs et un bâillon boule retenue par un harnais de cuir, lui-même lié à ses coudes attachés serrés l’obligeant à garder la tête relevée.

Ce n’était pas ma voisine sur ce lit, de toute évidence.

Cette dernière n’a pas tardé à apparaitre, perchée sur de hauts talons, bustier de cuir, les hanches moulées dans une jupe de cuir affolante.

Ma voisine, Maîtresse Dominatrice lesbienne

Depuis mon adolescence l’univers du BDSM me rend fou mais je n’ai encore jamais osé sauter le pas, effrayé par ce qui pourrait m’arriver. Mais là, c’est différent, je ne suis pas dans un club obscur, je suis chez moi et je découvre que ma voisine si sage en apparence est en fait une Maitresse dominatrice. Alors certes, une Maitresse dominatrice lesbienne. Cependant, étrangement, je ne m’en trouve pas découragé. Au contraire même, j’en ressens une puissante excitation, incapable de décoller mon regard de l’incroyable scène se déroulant sous mes yeux.

Ma voisine sécurise sa victime en fixant ses genoux aux rebords du lit pour qu’elle ne puisse pas rouler sur le côté. Ensuite, elle sort de je ne sais où une poche en plastique rempli d’un liquide jaunâtre qu’elle fixe à un crochet au plafond sous les yeux de la petite asiatique qui gigote et gémit de plus belle. Enfin, elle attache ensuite un tuyau à la base de la poche possédant une sorte de bouchon et elle relie enfin le tuyau au bâillon qui doit posséder une ouverture.

Je ne tarde pas à voir le contenu jaunâtre envahir le tuyau puis entrer dans la bouche de la pauvre victime qui couine de plus belle alors que sa tourmenteuse lui caresse doucement les cheveux avec un air satisfait.

 

De plus en plus excité par ma voisine, Maîtresse Dominatrice

Ensuite, elle a relevé la tête et croisé mon regard, à la fois surprise et effrayée.

Je me suis redressé aussitôt, m’empressant de disparaitre dans mon salon, le cœur battant la chamade.

Elle m’avait vu.

À tout moment, je m’attendais à ce qu’elle vienne sonner à ma porte mais rien de tel ne s’est produit. J’ai écouté, j’ai épié mais je n’entendais plus rien.

J’étais à la fois effrayé et horriblement excité, une séance de masturbation assez intense n’a pas suffi à me calmer. Voyez-vous, j’ai des fantasmes de soumission depuis très longtemps et l’idée d’avoir une authentique Maîtresse Dominatrice vivant juste de l’autre côté du mur me rendais fou.

Une Maîtresse Dominatrice qui hélas aimait les femmes….

Mais qui me dit qu’elle déteste les hommes ?

Certes, je n’en ai jamais croisé se rendant chez elle mais ça ne veut rien dire non ?

Franchement, une femme comme elle, je me mets direct à genoux devant elle si elle me le demandait.

C’était il y a deux jours et voilà que ce matin, je me retrouve seul avec elle dans l’ascenseur à l’épier dans le reflet de la glace.

Aveu à ma voisine de mon envie d’être à la place de la jeune femme asiatique

Quand elle m’a vu, elle a joué l’indifférence, gardant son habituel air rêveur mais une fois sortie de la cabine, elle se tourne vers moi en affichant un air préoccupé.

  • Excusez-moi mais je voulais vous dire quelque chose, commence-t-elle. Ce que vous avez vu l’autre jour par la fenêtre, la jeune femme sur le lit était consentante, c’était un jeu.

Je bafouille:

  • Oui, oui… Bien sûr, je l’ai compris tout de suite. Chacun est libre de s’amuser comme il l’entend.

 

  • Et vous n’étiez pas obligé d’espionner.

Je m’écrie :

  • Je ne vous espionnais pas, c’était un pur hasard.
  • Penché comme vous l’étiez ? Je ne crois pas non.

Plutôt que de nier, je prends mon courage à deux mains et je la regarde droit dans les yeux.

  • Cette jeune femme sur le lit, j’aurais aimé être à sa place.

Devant son air surpris, j’esquisse un sourire timide. Elle me dévisage, outrée et sans autre forme de procès, me plante là pour s’éloigner en faisant claquer ses talons, les bas crissant entre ses cuisses.

Aurais-je une chance un jour de la faire changer d’avis ?

Si seulement…

A suivre

Previous

Vanessa et S., magnifique Dominatrice (7)

Déshumanisation d’un homme soumis (4)

Next

5 réflexions au sujet de “Ma sainte voisine, une Maîtresse Dominatrice lesbienne?”

  1. Le fameux coup de genou à l’entrejambe qui rend les femmes si sûres d’elles et les hommes toujours inquiets !

    Match inégal !

  2. À la place de la voisine, j’aurais immédiatement corrigé ce voyeur avec un coup de genou (immanquable dans un ascenseur !)

    Et hop tout le monde descend !

Les commentaires sont fermés.

 

Dominatrice expérimentée,  Cultivée et cruelle, sorcière perverse, recherche homme soumis docile obéissant, à dresser ou amateur de fessées magistrales et punitives …