Ma Sainte Voisine, une Maîtresse dominatrice lesbienne? (2)

Ma sainte voisine, une Maîtresse Dominatrice lesbienne?

Le soir venu, je suis pétrifié. Et si ma voisine, cette superbe Maîtresse dominatrice, venait sonner à ma porte ? L’idée me terrifie autant qu’elle m’excite.

Mais bien sûr rien de tel ne se produit, ce n’est évidemment pas à elle de quémander mais à moi de faire acte de soumission. Dois-je aller sonner à sa porte ? J’ai peur de la froisser. J’opte finalement pour un mot glisser sous sa porte.

« Madame, je me tiens à votre disposition quel que soient vos désirs. Exigez et je m’empresserais de vous obéir.

Votre voisin dévoué. »

Mais une fois le mot en place, rien ne se produit. Je me retiens d’aller sur mon balcon pour épier chez elle. Elle n’a pas apprécié la dernière fois, je ne vais pas commettre la même erreur deux fois. Je m’endors très tard ce soir-là, le moindre bruit provenant du couloir me tenant en éveil.

 

Apparition de ma Sainte Voisine sur son balcon

Au petit matin, j’entends la porte de ma voisine s’ouvrir. Je me garde bien de la rejoindre, cela pourrait être interprété comme du harcèlement. Une chose est certaine, si elle n’a pas vu mon mot hier soir, elle l’a certainement découvert ce matin.

Autant vous dire que ma concentration en prend un coup au travail. J’officie dans un cabinet d’architecte, Ainsi, j’ai beau m’acharner sur mon dossier, à savoir les plans d’une future maison luxueuse, mon esprit ne cesse de dériver vers des pensées perverses. Et si je concevais pour cette Maîtresse dominatrice, un donjon, peut-être a-t-elle une maison à la campagne qui ne demande qu’à être retapée et transformée en manoir des supplices ? L’idée est si plaisante que mon membre ne débande pas de l’après-midi.

Le soir venu, je rentre chez moi un peu échaudé, aucun mot sous ma porte, aucun signe de ma voisine. Ma déception et grande mais elle ne dure guère. C’est le printemps, il fait beau, j’ouvre donc en grand la baie vitrée de mon salon. Et qui vois-je sur le balcon voisin, derrière la glace transparente faisant office de séparation ?

Ma sainte voisine.

Elle fume négligemment, accoudée à la rambarde, contemplant les toits de la ville. Ses cheveux sont serrés dans un chignon strict. Elle est vêtue d’une jupe moulante mi-cuisse mettant en valeur son énorme postérieur et ses cuisses charpentées et gainées de noir. Elle a des bottines assorties aux pieds et un chemisier blanc sous lequel on devine aisément son soutien-gorge de la même couleur comprimant son opulente poitrine.

Interpellé par ma Sainte Voisine

Si elle s’habille ainsi au bureau, elle doit rendre fou ses collègues. Et si elle avait enfilé cette tenue rien que pour moi ? Pour m’aguicher ? Pour m’agacer ?

• Alors voisin, me lance-t-elle sans dire bonjour, on me glisse des mots sous la porte ?

Saisi par la surprise, je me mets à bégayer comme un ado.

• Je… Oui, c’était moi…Je… Je suis sincère… Prenez ce que je vous ai dit au pied de la lettre.

Les mots sont sortis sans même que j’y réfléchisse, surpris par ma propre audace.

• J’étais franchement en colère hier soir quand j’ai lu votre truc et puis j’ai réfléchi. Je n’aime pas les hommes mais je me suis dit, avoir un esclave comme voisin, cela peut avoir des avantages. Si je vous ordonnais de venir chez moi tous les soirs à 20H pour faire le ménage, la vaisselle, lancer une lessive, étendre le linge, ce genre de chose ?

 

• Oui, quand vous voulez, dès ce soir si vous le désirez.

• Pas si vite, il y aura des conditions. Vous allez vous procurer une cage de chasteté pour commencer. Je déteste l’idée d’avoir un homme en train de bander chez moi, cela me dégoutte.

• Comme vous voudrez.

 

• Je vous imposerais le modèle, j’ai une idée très précise de celle que je vais vous imposer.

• Je l’achèterais dès demain.

 

• Vous allez la commander sur le net et la faire livrer à mon adresse. Je veux être certaine de posséder toutes les clés. Si vous comptez vous mettre à mon service, votre vie sexuelle m’appartiendra.

Acceptation de la proposition de ma Sainte voisine

La proposition m’alarme bien sûr mais je n’ai plus vraiment la capacité de réfléchir. J’accepte.

• Oui madame.

 

• Vous ne pourrez venir chez moi qu’une fois la cage en place et solidement verrouillée.

 

• Oui madame.

 

• Je vous prends à l’essai dans un premier temps. Si vous vous révélez être une véritable fée du logis, je pourrais peut-être vous trouver d’autres tâches.

 

• Bien sûr madame. Puis-je vous demander quelles seront ces tâches ?

 

• Sachez seulement qu’elles mettront à l’épreuve votre abnégation, certaines seront peut-être plaisantes pour vous, d’autres beaucoup moins.

 

• J’obéirais quoiqu’il arrive.

 

• Le vouvoiement sera obligatoire, vous baisserez systématiquement la tête lorsque vous m’adresserez la parole et vous devrez travailler dans le silence. C’est compris.

 

• Oui madame.

Elle relâche un long nuage de fumée et me regarde avec un vilain sourire.

• Vous n’avez pas peur ?

 

• Un peu madame.

 

• Vous faites bien. Vous avez eu un bref aperçu l’autre jour de ma perversité. Dites-vous bien que ce n’était rien comparé à ce que je suis capable d’infliger. Avant de prendre votre décision, vous devez savoir que j’ai l’esprit tordu, je suis cruelle, terriblement sadique, la souffrance me fait mouiller, c’est ainsi, je n’ai pas la moindre pitié et je suis très exigeante. Qu’est-ce que vous dite de cela ?

 

• Ma décision était déjà prise quand j’ai glissé mon mot sous la porte madame.

Et je baisse la tête en signe de soumission.

• Donnez-moi votre adresse mail!

 

Quel avenir avec cette Maîtresse Dominatrice?

Je lui transmets aussitôt.

• Très bien, dit-elle enfin sans se départir de son méchant sourire.

Et elle rentre dans son appartement sans un au revoir.

Me laissant aussi tremblant qu’un chiot venant de naitre.

Ai-je bien fait de dire oui à tout ?

Une fois la cage de chasteté en place, ce sera une autre histoire, une autre vie. En lui confiant les clés , je sauterais irrémédiablement dans le vide.

Bien sûr, il y aura toujours la possibilité de scie la cage mais je pressens que la tâche ne sera pas aisée si j’en arrive là et j’aurais trop honte de demander de l’aide à quelqu’un.

Mais l’image du corps terriblement appétissant de cette Maîtresse dominatrice, son regard noir et son sourire pervers m’interdit de refuser une telle proposition.

Ce soir-là, je me masturbe comme jamais.

Que va-t-il m’arriver dans les prochains jours ? Jusqu’où cette femme qui n’aime pas les hommes est-elle capable d’aller ?

A suivre….