Maitresse Margot et son soumis, un étudiant pas comme les autres (8)

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Alors qu’il se perdait plus profondément dans la jungle, Pierre ne se souvenait plus exactement pourquoi il se trouvait ici. Une seconde plus tôt, il faisait du trampoline. Encore plus étrangement, la jungle dans laquelle il naviguait était entourée de nombreux immeubles de bureaux, plantés là, fonctionnels mais couverts de végétation. Et, pour une raison qu’il ignorait, il courait désormais après une panthère noire. A moment où il pensait l’avoir perdue, la panthère se figea en haut d’un arbre, et lui lança d’une voix mécanique, dans un grésillement : « debout soumis puceau, il est 6 h 30 ».

Péniblement, Pierre ouvrit un œil, puis le second. Sa nuit avait été agitée. Il s’était d’abord endormi comme une masse, mais s’était réveillé vers 2 heures. Une envie pressante lui avait déclenché une tentative d’érection sévèrement réprimée par sa cage de chasteté. Il avait peiné à se soulager, ce qui avait un peu calmé la fureur qui habitait son petit pénis.

Par la suite, il avait eu du mal à se rendormir. Face à une telle agitation, habituellement, il se serait offert un peu de plaisir solitaire. Cette nuit-là, entravé par la cage, contraint à l’abstinence, il n’avait pu que palper l’extérieur de la petite prison d’acier, excité, frustré.

Il n’avait retrouvé le sommeil que vers 3 h 30.

Réveil sous haute surveillance pour le soumis!…

Le haut-parleur réitéra son injonction alors que Pierre s’extirpait péniblement des lambeaux de la nuit.

  • On se lève, puceau. Plus vite que ça, sinon c’est la fessée !

L’esprit encore lourd, Pierre sortit du lit.

  • A la douche!

Comme un robot, il prit la direction de la salle de bain.

  • Sur l’étagère, tu trouveras un kit pour pouvoir nettoyer ton petit engin malgré la cage. Frotte bien!

En effet, une petite housse intitulée « soumis puceau » contenait quatre instruments adaptés aux dimensions restrictives des barreaux de la cage. Clairement, le premier servait à écarter le prépuce afin d’en ouvrir l’accès. L’autre était une petite brosse. Les troisièmes et quatrièmes étaient deux poires destinées à projeter du liquide. L’une était intitulée « savon », l’autre, « eau ».

Pierre pénétra dans la douche armé de ses ustensiles, et ouvrit le robinet jusqu’à obtenir la température convenue.

  • Ta petite bite avant le reste, avait encore déclaré la voix dans le haut-parleur.

Il s’était activé avec les instruments en question. Cela avait été doublement complexe. Tout d’abord, car Pierre ne maîtrisait pas encore les appareils qui lui serviraient désormais à nettoyer son membre captif. Ensuite, car le désir accumulé de la veille avaient excité au plus haut point Pierre. Son intimité salivait encore des envies de la veille. Le contact de la petite brosse réveillait à nouveau le tumulte permanent.

Ses parties enfin propres et toujours aussi frustrées, Pierre avait pu s’attaquer au reste de son anatomie.

…avec une douche glacée!

Quand il eut presque fini de se nettoyer, Pierre sentit un changement de température quasiment imperceptible dans l’eau de la douche. Très vite, ce léger changement était devenu massif. L’eau était rapidement devenue glacée, au moment où Pierre se rinçait.

De nouveau, le haut-parleur reprit sa litanie :

  • Voilà de quoi te réveiller, mon puceau!

Maîtresse Margot pouvait aussi contrôler à distance l’arrivée d’eau chaude ! Ce détail, elle s’était bien gardée de le donner la veille !

Tremblant et hurlant un peu sous l’eau fraîche, Pierre finit de se rincer, puis coupa l’eau dans un soulagement. Grelottant, il s’entoura de sa serviette.

Une fois séché, rasé, et briqué, Pierre prit la direction de la pièce de vie pour s’habiller. Les caméras le suivaient inlassablement. Humilié, il dut choisir au hasard une petite culotte. La voix ne donna aucune indication sur la décision à prendre, laissant à Pierre la honte subtile d’avoir à choisir lui-même quel sous-vêtement féminin il devrait arborer ce jour-ci.

Au moment où il allait commencer à enfiler un quelconque jean, la voix se rappela à lui :

  • Non mon puceau. Ce n’est pas tout. Deuxième tiroir, tu choisis et enfiles une paire de bas!

Encore plus honteux, Pierre enfila une paire de bas blancs virginaux qui seyaient ses cuisses de soumis. Il allait porter ça à la fac toute la journée !

Préparation d’un café pour Maîtresse Margot

Pierre était enfin prêt à attaquer sa journée à l’extérieur. Il était habillé et son sac de cours était prêt. Il n’avait pas entendu la voix de Maîtresse Margot dans le haut-parleur depuis un moment.

  • Café!, lança-t-elle enfin.

Pierre s’exécuta et partit à la cuisine préparer son petit déjeuner.

Il trouva rapidement ses marques et se fit couler un fort café. Pas de sucre. La voix l’avait prévenu qu’il n’en aurait pas pour son café du matin. Pierre ne prenait habituellement jamais de café sans sucre mais, si c’était là la moindre des privations qu’il aurait à subir dans sa nouvelle vie de puceau soumis, il pouvait s’estimer heureux.

Une vingtaine de minutes sans la voix s’étaient écoulées. Pierre était prêt à aller en cours. Dehors, il entendit le cliquetis de la serrure qui s’ouvrait. Maîtresse Margot le libérait temporairement de sa cellule de soumis.

Elle était encore en chemise de nuit, les cheveux en désordre de la nuit. Fatiguée, elle arborait néanmoins un sourire resplendissant.

  • Bonjour mon puceau. Passé une bonne nuit ?
  • Bonjour Maîtresse, oui, très bonne, et vous ?
  • Oui. A genoux. Embrasse-moi les pieds pour me saluer!

 

Maîtresse Margot et son soumis

Pierre s’exécuta.

  • J’ai beaucoup pensé à toi cette nuit mon puceau. Je me suis caressée longuement en pensant à ton petit sexe vierge emprisonné. Je me suis dit que tu aimerais bien te faire un petit plaisir interdit. Ça m’a donné un orgasme fou.

Rougissant, excité, Pierre balbutia

  • J’en suis content Maîtresse!
  • Bon, tu pars en cours. Quand tu reviendras, je serais occupée. Tu auras des instructions à suivre dans ta cellule. Bonne journée.
  • Bonne journée Maîtresse!

Début de journée à l’université pour Pierre…

Maîtresse Margot avait tourné les talons et s’en allait vers la demeure. Pierre se releva et s’en alla simplement vers la fac.

Si l’on omettait la cage, la petite culotte féminine et les bas, Pierre s’en allait en apparence comme n’importe quel jour. Aujourd’hui, la matinée commençait par une conférence en amphithéâtre. Ensuite, Pierre retrouvait son groupe de travail pour une étude de cas. En deuxième année, il avait déjà ses marques et la rentrée n’était pas un changement brutal.

Timide et réservé, Pierre ne peinait toutefois jamais à trouver des groupes de travail. Outre sa discrétion, il était connu pour le sérieux de son travail et son intelligence. Pas forcément le boute-en-train du groupe, mais un sérieux atout à avoir dans sa manche au moment des résultats.

Le groupe de travail était constitué de deux autres personnes assez sérieuses, mais par ailleurs à l’opposé de Pierre pour ce qui était de la personnalité.

Sophie, petite boulotte blonde d’à peine 1 m 55, était une jeune femme extravertie et osée. Elle était le fantasme secret de Pierre, qui bien sûr n’aurait jamais osé lui déclarer sa flamme. Par ailleurs, Pierre pensait qu’elle ne s’intéressait pas à lui en dehors de l’aspect universitaire de leur relation.

Sophie était pour le moment célibataire, mais couchait sans complexes à droite et à gauche. Elle était de toutes les soirées, et était très sociable.

homme soumis…un peu différente, notamment à cause de la cage de chasteté!

L’autre membre de leur groupe était Xavier. Comme Sophie, un jeune homme assez extraverti et bien dans sa peau. Pierre se disait parfois que Xavier l’exaspérait par son exubérance. En particulier parce que, bien qu’en couple de son côté, il ne pouvait s’empêcher de draguer à moitié toutes les jeunes femmes qu’il côtoyait, ou de faire des remarques graveleuses ou pleines de sous-entendus à tour de bras. Il passait régulièrement ses mains sur le corps rebondi de Sophie, ses hanches, son ventre parfois même ses fesses, en plaisantant. Avec Xavier, on ne savait jamais si c’était du lard ou du cochon, et cela faisait fulminer intérieurement Pierre, qui bien entendu n’osait piper mot.

En réalité, Pierre le savait, Xavier l’exaspérait car il était tout ce que, lui-même, il rêvait d’être. Libre, sexuellement épanoui et sans complexes, extraverti, sociable. Tout ce que Pierre n’était pas, Xavier l’était. Son exaspération n’était que de la jalousie, il le savait.

Aujourd’hui, bien évidemment, la situation était radicalement altérée. Calé dans un coin de l’amphithéâtre, Pierre écoutait à peine ce que le conférencier baragouinait sur l’estrade. La cage de chasteté dans laquelle il était enfermé, la petite culotte qui recouvrait son intimité, et ces bas qui complétaient son humiliation, tout cela était bien trop excitant pour s’intéresser sérieusement aux jurisprudences du droit des affaires.

L’esprit paradoxalement libéré par la soumission et l’enfermement, Pierre rêvait éveillé, excité comme une puce. La cage retenait fermement une belle tentative d’érection de son petit sexe qui, frustré, bavait un peu dans sa petite culotte. Pierre pensait seulement à la suite du programme, une fois de retour chez Maîtresse Margot.

Fin de la journée à l’université

C’était avec un sourire béat qu’il avait rejoint Sophie et Xavier, étonnés par son attitude inhabituellement positive. Sophie avait tenté de poser la question mais, bien évidemment, Pierre avait éludé.

Xavier et Sophie avaient alors soupçonné une intrigue amoureuse, mais seul le sourire gêné et rougissant de Pierre avait confirmé leurs soupçons. Ils n’obtinrent pas d’avantage de renseignements de la part de celui-ci, bien évidemment muet comme une carpe.

Etonnamment, Sophie avait semblé un peu frustrée et déçue. Pas plus par ces non-révélations que par les sous-entendus qu’elles impliquaient. Pierre se serait-il finalement trompé sur le compte de son amie ? Etait-elle en fait attirée par lui ? Ou simplement jalouse de ne plus être l’objet des fantasmes de Pierre (ce qui devait, par ailleurs, sembler évident même de l’extérieur) ?

Cette pensée troubla Pierre. Mais désormais, il avait fait un choix sur lequel il ne pouvait pas revenir. La sensation du métal de la cage le lui rappelait. Pendant au moins deux ans, il serait contraint et forcé de garder son pucelage. C’était là sa nouvelle vie de soumis et, si de nouvelles opportunités se révélaient, il n’avait tout simplement plus la permission de les saisir !

Dans ses fantasmes passés, il avait rêvé que Sophie lui saute dessus dans les toilettes de la fac, dégrafe brutalement son pantalon et s’attaque à son intimité avec la férocité d’une tigresse. Si elle s’amusait à ça désormais, sa surprise serait de taille !

Outre cet interlude, la journée s’était passée sans accroc. Le travail de groupe avait été efficace.

De retour chez Maîtresse Margot, vers l’inconnu pour le soumis puceau!

Au moment de se quitter, Sophie avait juste lancé, dans un dernier espoir vain « tu ne veux même pas me dire son nom ? »

Pierre avait répondu d’un simple clin d’œil avant de filer. Dans son dos, il l’avait entendue hurler « c’est pas juste, je veux du potin ! »

Si elle savait…

Excité comme une puce, il avançait d’un pas rapide vers la demeure. Il se demandait ce que Maîtresse Margot avait prévu pour lui.

Il eut rapidement la réponse à sa question. Dans le studio, sur la table basse étaient disposés plusieurs objets ainsi qu’une note.

Pierre la saisit et entreprit de la lire : « puceau, je suis en séance avec un soumis. Déshabilles-toi, mets rapidement les accessoires disposés ici et viens nous rejoindre. J’ai quelque-chose à te montrer. »

Sur la table étaient présents un bâillon boule, des fers pour les mains et les pieds, et le fameux collier de cuir, ainsi que des cadenas ouverts pour le tout. Pas de clé.

Pierre ôta rapidement ses vêtements qu’il plia soigneusement, puis entreprit de passer les accessoires.

Il prit d’abord le collier qu’il ajusta à son tour de cou, avant de lui passer un cadenas. « Clic ». Plus question de l’ôter sans l’intervention de Maîtresse Margot, désormais.

Puis il passa les fers à ses chevilles, et à ses poignets. Ainsi enfermé dans ces contraintes, il n’était pas tout à fait libre, mais pas tout à fait prisonnier. Aucune restriction de mouvements, pour l’instant du moins, mais pas non plus la possibilité d’ôter ces accessoires. Pierre trouvait cette idée troublante, sans vraiment savoir pourquoi.

Ce fut au tour de bâillon boule d’aller rejoindre son orifice buccal. C’était, en réalité, le seul accessoire vraiment contraignant du lot.

Nu, avec seulement la cage et ses nouvelles entraves, le soumis puceau se dirigea vers la demeure principale.

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