VOICI UN RÉCIT DE MON EXPÉRIENCE DE SLAVE, OBTENUE GRÂCE À VOTRE SITE SLAVE SELECTION.
Je pense qu’il est de mon devoir de rapporter mon expérience de slave, elle doit servir d’exemple à tous ceux qui s’inscrivent sur ce site sans très bien savoir ce qui les attend. Bien sûr, ils peuvent tomber simplement sur une Maîtresse farceuse, pas sérieuse et avec qui la relation ne tiendra pas. Mais si ce n’est pas le cas, attention….
J’ai une expérience certaine de la soumission, avec des Maîtresses parfois professionnelles, parfois pas. Mes relations étaient agréables, intéressantes, parfois fortes. J’ai eu le désir d’avoir une relation plus intense encore, être suivi de près et constamment, bref de devenir un esclave plutôt que d’être un soumis et d’adorer une Maîtresse, sans très bien imaginer tout ce que cela recouvre. Je me suis inscrit sur ce site « pour voir ».
J’ai contacté quelques Maîtresses, pour recevoir des réponses sans intérêts, le plus souvent avec plus de fautes d’orthographe que de mots. Souvent pas de réponses du tout. Et puis, une Maîtresse m’a répondu sur un ton ferme, une vraie lettre, sans fautes, écrite d’une façon telle que l’on ne peut qu’avoir envie de la rencontrer.
Je suis allé chez elle, la première fois après fait une série de courses ménagères pour laquelle elle m’avait envoyé une liste précise. Je n’ai pas tout trouvé, j’ai remplacé quelques articles par d’autres que je pensais équivalents. Elle m’a rejoint sur le parking du magasin et je l’ai tout de suite reconnue, je l’ai trouvée belle, des yeux pénétrants, une allure de princesse. Elle a trouvé ma voiture sale, elle avait raison et je n’ai pu que marmonner des excuses. Je me suis senti immédiatement mis à ma place…
Je l’ai conduite chez elle et j’ai tout porté les courses qu’elle m’a fait ranger dans ses armoires, rejetant les erreurs ou les mauvais choix, l’air distant et sévère. Je me suis mis à genoux devant elle, les yeux baissés, pour m’entendre dire que je suis vraiment débile, que ma voiture sale est un manque de respect inexcusable et que je devrai retourner échanger mes achats erronés. Elle m’a donné plusieurs gifles sur les joues, je n’imaginais pas qu’une jeune femme comme elle, aussi délicate, pouvait frapper aussi fort. J’ai surtout été étonné de me sentir honteux d’avoir failli et d’accepter les coups et l’humiliation avec autant de résignation.
Je suis retourné quelques jours plus tard, pour faire le ménage, nu, elle me frappant les fesses avec un paddle, fort. Surtout, lorsqu’elle était particulièrement fâchée, elle me giflait, cela faisait très mal, c’était humiliant, elle m’insultait en même temps, mais au fond de moi, j’aimais ses gifles. J’étais fasciné, j’ai senti sa force et son emprise. Puis, j’ai servi de chauffeur, elle à l’arrière, moi devant lui ouvrir et fermer la portière puis attendre qu’elle ait terminé sa course ou son rendez-vous. Je me sentais glisser vers une soumission comme je n’en avais jamais connue.
J’ai eu un problème familial, sérieux, qui a mobilisé mon temps pendant plusieurs semaines. J’ai prévenu ma Maîtresse que je ne serais pas disponible pendant quatre à cinq semaines et elle m’a répondu que la famille était sacrée et que je devais en effet m’y consacrer. Ce problème m’a donné le temps de réfléchir, de me dire que je devais peut-être essayer de me libérer tant qu’il était encore temps. J’étais obsédé par ma Maîtresse, je dormais mal parce que je pensais à elle. J’ai vraiment eu peur de basculer et j’ai tenu quelques semaines de plus que ma famille ne m’y contraignait.
Je n’ai pas tenu plus longtemps, je lui ai écrit pour lui dire que mes problèmes étaient derrière moi et que je me demandais si elle m’accepterait à nouveau, je ferais tout pour devenir un bon esclave. J’ai regardé mon compte dix fois par jour pour voir si elle m’avait répondu. Mon côté sage se disait « peut-être qu’elle ne te répondra pas et cela vaut mieux » mais mon moi intime était impatient de la retrouver.
Elle m’a écrit et fait venir pour m’occuper du ménage. Quelques heures en sa compagnie, je me sentais chavirer de bonheur, mes réticences étaient envolées. Evidemment, quand je suis arrivé, elle m’a fait mettre nu, à genoux, yeux baissés, et elle m’a parlé, fâchée, mais d’un ton contenu : « pour qui te prends-tu, tu es à moi et que tu ne sois pas venue pour des raisons familiales, je le comprends. Mais que tu ne m’aies pas tenue au courant, c’est inadmissible » J’ai reçu plusieurs gifles, ses terribles gifles, humiliantes mais qui annihilent aussi toute volonté. Je ne sais pas ce que j’ai balbutié, cela n’a pas beaucoup d’importance, j’ai capitulé et je me suis soumis à ses volontés. La première de ses volontés a été de m’appeler Micheline, je n’ai pas beaucoup aimé (les Micheline que je connais m’énervent) mais je n’ai pas eu le choix. Depuis, je me pense Micheline, au féminin, et je m’aperçois même aujourd’hui que je réponds sans hésiter, avec plaisir même, quand elle m’appelle comme cela.
Je n’étais pas encore complètement domptée, j’ai fait deux heures de ménage, nettoyer le sol puis un barbecue et je me suis sentie saturée de tâches ménagères. Cela s’est vu sur mon visage, ma Maîtresse m’a demandé ce qui n’allait pas, je lui ai parlé de ma lassitude et elle m’a répondu calmement que cela pouvait m’arriver d’être saturé. J’ai arrêté le ménage, elle m’a fait mettre à nouveau à 4 pattes, cul relevé, pour me fouetter de 30 coups. J’ai déjà subi le fouet mais sa dextérité est celle des meilleures Maîtresses, avec un nombre de coups bien supérieur. Car après la première salve est venue une seconde et pour la première fois, j’ai dû demander à une (mais ce n’est pas une, c’est MA) Maîtresse de s’arrêter. Je ne m’attendais pas à sa réaction, pas aussi forte en tous cas, et elle m’a dit clairement que j’étais à elle, sa chose, son objet, sa chienne, que je n’avais aucun droit et sûrement pas celui d’être insolente ou de me rebeller. J’ai aussi reçu quelques gifles, ses terribles gifles et je pense que ce sont elles qui m’ont fait basculer. J’ai compris que je devais m’encourir ou accepter mon sort de Micheline, propriété de sa Maîtresse. Je n’ai pas hésité, j’ai accepté mon sort et aujourd’hui je suis heureuse de sentir l’approfondissement continu de mon asservissement.
Je suis loin d’être parfaite, je ne le serai jamais je pense, et je suis triste quand ma Maîtresse se fâche, triste comme une chienne qui voue un amour absolu à sa Maîtresse et est immédiatement malheureuse si elle est prise en faute. Mais mon bonheur est aussi immense quand je sens que ma Maîtresse est contente de moi et va me récompenser. Je l’ai été superbement l’autre jour, j’ai pu sentir son sexe puis lécher et sucer son bouton d’amour. Mes yeux étaient recouverts d’un bandeau mais j’étais enivrée par l’odeur et le goût, ma journée a été merveilleuse. Je frétille de plaisir en me disant que peut-être d’ici peu, j’aurai une nouvelle récompense et que je pourrai m’enivrer d’une partie de son corps.Depuis, notre relation s’approfondit, lentement mais sûrement, elle prend une possession de plus en plus profonde de mon cœur, de mon esprit et de mon corps. J’ai assimilé aujourd’hui que mon temps lui appartient. Bien sûr, je travaille, j’ai une vie de famille mais dès que j’ai du temps libre, je la préviens et je reconnais aujourd’hui que mon espoir est qu’elle m’utilise. Bien sûr, j’aime être en sa présence, même agenouillée dans un coin, l’entendant seulement vivre. Ce que je préfère, c’est qu’elle me demande d’arrêter la voiture dans un bar pour prendre un verre. Nous parlons alors assez librement, comme des amies pourrait-on croire. Bien sûr, je la vouvoie et l’appelle Madame en public, elle me tutoie et je lui dois toujours respect et déférence mais je le fais aujourd’hui naturellement, sans devoir y penser. Je connais ma place. J’ai bien compris maintenant que je n’ai droit qu’à ce qu’elle autorise et que c’est elle qui décide si je peux boire, ou prendre un chips. En fait, plutôt que de l’avoir compris, aujourd’hui, cela me semble naturel et je sais que si elle ne me dit rien, je ne boirai pas le verre de vin que j’ai devant moi, je n’en ai pas le droit. Les gens qui nous entourent peuvent remarquer que je me lève pour servir ma Maîtresse, lui ouvrir la portière pour qu’elle s’installe à l’arrière de la voiture, que je réponds à la moindre de ses demandes. J’ai déjà cru apercevoir des regards interrogatifs ou amusés. S’ils savaient quel est mon bonheur, leur regard devrait plutôt être envieux et mon sentiment est de la fierté d’appartenir à une femme aussi belle et au caractère aussi fort.
Cette histoire peut sembler invraisemblable ou un fantasme mais elle est vraie. Je me sens comme la chèvre de Monsieur Seguin, qui était attirée par le loup et lui a résisté toute la nuit avant de succomber. La seule différence est que dans mon cas, la fin est heureuse. J’ai perdu ma liberté pour me livrer complètement à une merveilleuse Maîtresse que j’espère servir sans qu’elle s’en lasse.