Virée au Maroc avec ma Maîtresse dominatrice
C’était un matin lors de cette virée au Maroc. Ma Maîtresse dominatrice était venue avec des amies. Une d’entre elles était aussi venue avec son soumis. Nous portions tous les deux une cage de chasteté, mais moi je venais juste de commencer.
Ce matin, c’était à mon tour de me lever en premier. Je devais préparer le petit déjeuner et nettoyer le salon pour remettre en ordre ce qui restait de la veille. Avant de me mettre au travail, j’avais pour instruction de mettre ma robe de soumise.
Comme j’avais du pain sur la planche, j’avais dormi tout seul sur le canapé. L’autre soumis avait dormi enchainé dans une cage, dans le garage. J’avais de la chance : ce matin-là, ma Maîtresse dominatrice m’a donné une chance de servir.
Je me mis aussitôt à nettoyer le salon, puis je sortis nettoyer la terrasse. Quand j’eus fini, je m’empressai de rentrer à l’intérieur pour aller préparer le petit déjeuner, comme ordonné. Mais à cet instant, l’amie de ma Maitresse était déjà en train de m’attendre dans le salon…
Madame était seule dans la pièce. Elle a commencé par s’asseoir sur un fauteuil. Puis elle m’a fait signe de me mettre à genoux devant elle. En une fraction de seconde, mon visage a été aussitôt pris au piège, étouffé entre deux cuisses.
Je suis resté comme ça pendant 10 minutes, peut-être 15. De temps à autre, je pouvais avoir droit à quelques bouffées d’air. Puis au bout d’un moment, j’entendis des pas de talons se rapprocher par derrière. Lorsque ces pas s’arrêtèrent à mon niveau, je sentis mes mains s’attacher dans mon dos. Je laissai faire sans poser de questions. C’est à ce moment que Madame relâcha mon visage et que j’aperçus celui de ma Maîtresse dominatrice qui se tenait debout juste là.
Giflé par Madame, l’amie de ma Maîtresse dominatrice
Madame m’a ensuite levé le menton par la main :
-Pourquoi n’as-tu pas fait le petit-déjeuner, comme nous te l’avions pourtant demandé hier?
Je ne répondis pas. Mon silence me valut, aussitôt, une gifle de ma Maîtresse dominatrice . Ce matin, j’ai eu le malheur de la mettre en colère.
-Tu vois, moi j’ai mal éduqué mon soumis. Contrairement au tien, le mien n’obéit pas toujours ! : dit-elle à son amie.
– Bah pour qu’une soubrette soit bien éduquée, il suffit de savoir la rabaisser au niveau de pute … Peut-être que c’est ce qui manque au tien?
– Et qu’est-ce que tu suggères par exemple?
– Laisse-moi faire 🙂
Madame se leva de son fauteuil. Elle commença par me gifler. Une fois, deux fois, trois fois. Puis elle me prit par les cheveux et m’emmena vers un autre endroit. Je marchais sans discuter. J’entendais les pas de ma Maitresse nous suivre. Puis à un moment, Madame me lâcha et me fit signe de me mettre face contre terre.
Tout resta calme pendant 30 secondes. J’entendais toujours les pas des dominatrices, qui murmuraient entre elles à proximité. Dans un élan de curiosité, j’ai fini par tourner la tête. A cet instant, Madame s’est précipité sur moi et m’a tiré par les cheveux.
-Je t’ai dit de rester face contre terre! Je vais t’apprendre à écouter! » me dit-elle en me donnant une fessée.
Enfermé dans une cage !
Ma Maitresse s’approcha à son tour en me bandant les yeux, puis elle me murmura à l’oreille qu’elle voulait que je nettoie ses talons pour me faire pardonner.
-Tu es un petit curieux, n’est-ce pas? Si je suis satisfaite, tu vas voir. Tu auras une surprise après !
Elle avait su attirer mon attention. Quelques temps après, ma Maitresse m’autorisa à me retourner et je sentis ses pieds atteindre ma bouche. Je m’exécutai, immédiatement, et je nettoyai ses merveilleux escarpins avec ma langue. Le premier, puis le deuxième. Je sentais que ma Maitresse prenait aussi du plaisir à enfoncer son talon dans ma gorge.
Ma maitresse a fini par me confier que c’était son amie qui allait me montrer la surprise. Mais j’avais son talon tellement profond que je n’écoutais même plus.
Quand ma Maitresse eut fini avec ses talons, quelqu’un me mit un collier autour du cou et m’emmena à un autre endroit. C’était la voix de Madame qui me guidait. Finalement, Madame finit par m’enlever les menottes tout en m’ordonnant de me mettre à quatre pattes, puis d’avancer deux mètres en avant.
J’entendis ensuite une porte se refermer derrière moi, puis Madame me retira le bandeau.
-Bon bah t’es mieux dans ta cage, obéissant comme tu es. On aura peut-être plus de chances avec le mien! Ah oui, au fait, la vidange pour aujourd’hui, ça va pas être possible : dit-elle.
Madame m’avait emmené dans la pièce dans laquelle se trouvait la cage de son soumis. Elle l’avait sorti pour m’y mettre à la place.
-Estime-toi heureux. Le mien, il y est resté enchainé!
Je vais avoir toute la journée pour méditer sur mon obéissance 🙂
vivement la suite