Paul en cage de chasteté chez la sadothérapeuthe (7)

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cage de chasteté

Paul, nu et en cage de chasteté au service de ces dames

 

Maîtresse Soraya claqua dans ses mains pour faire activer son soumis. Paul arriva rapidement un plat à la main. Il était nu, seule la cage de chasteté lui servait de sous-vêtement.

– Allez, commence par Aurélie, elle est en bout de table. Excusez-le, il débute dans le service aux dames.

– Aucun souci, alors Lucie, vous êtes ensemble depuis longtemps ?

– 15 ans déjà et il est mon mari et soumis depuis 12 ans maintenant.

– Et, si je ne suis pas indiscrète, cela s’est fait comment ?

– Très facilement, il était déjà d’un naturel très soumis et de mois en mois, j’en ai fait mon soumis.

– Et pour la féminisation ?

– Idem, étant assez peu viril, je lui ai ordonné de s’habiller en femme et je l’ai obligé à porter la cage de chasteté quotidiennement. Je lui retirais la cage de chasteté une fois par mois, s’il était méritant, et les choses se sont faites ainsi. Quelques corrections de temps en temps, des rituels auxquels il s’est très vite plié et lorsque ce n’était pas le cas, je l’y aidais un peu, à ma façon bien sûr.

– Et les hormones.

 

cage de chastetéEn cage de chasteté puis féminisé petit à petit

– Presque naturellement aussi. Vu qu’il ne me touchait plus sauf pour me lécher lorsque j’en avais envie, je lui ai suggéré de plus en plus fréquemment que ses couilles ne lui servaient plus à rien et c’était mieux pour lui. C’est moi qui le prenait et notamment lorsqu’il est habillé en soubrette. Il a fini par accepter et j’ai commencé le traitement sous les conseils avisés d’Aurélie. Mais avant cela, nous nous sommes mariés et il était bien sûr sous cage de chasteté. Pour le reste, j’ai commencé à partir certains week-ends ou à ne pas revenir à la maison certains soirs sans qu’il ait à poser des questions. Lorsque c’était le cas, je le punissais sévèrement et puis au bout de quelques mois, j’ai ramené mes amants à la maison.

– Mais, tes amants connaissaient la situation ?

– Certains ont été tellement surpris qu’ils sont partis et d’autres sont restés. Adrien devait les servir, point barre. Et lui, il devait être toujours habillé en soubrette.

– Et au quotidien, il travaille.

– Oui, je gagne très bien ma vie mais je ne suis pas millionnaire non plus. En tout cas, il dort au pied du lit et il n’a pas le droit de s’assoir sur le canapé, il a un petit siège à côté et pas de télé sans mon consentement. Voilà tout.

 

Autre histoire de transformation d’un mari en homme soumis et en cage de chasteté

 

– Très bien, pareil pour mon mari Nicolas. Je l’ai dressé mais je l’ai d’abord choisi selon mes critères. J’ai rencontré Nicolas il y a environ cinq ans maintenant. J’ai écrit une annonce sur Internet dans laquelle j’expliquais que je recherchais un « homme sérieux ». J’étais prête pour une nouvelle relation, mais selon mes volontés. Je dois vous signaler qu’étant convaincue que tous les hommes ont, au fond d’eux-mêmes, le désir secret de se soumettre à la femme qu’ils aiment, je n’ai pas passé d’annonce pour trouver un homme soumis.

– C’est pas faux ça mais je n’en suis pas toujours aussi convaincue.

– Bref, je voulais avoir un homme à ma disposition, prêt à exaucer le moindre de mes souhaits, à s’occuper de moi lorsque j’en aurais envie, à faire le ménage à ma place… tout en le rendant heureux lui-même.

– Une vraie gageure Charlène.

– Oui, je le reconnais mais il faut savoir ce que l’on veut, d’ailleurs, comme dit le dicton ; « Ce que femme veut… ».

Applaudissements des femmes et cris de joie et d’encouragements.

 

Suite de l’histoire du dressage de Nicolas par son épouse

 

– Ainsi, dès le début de ma rencontre avec Nicolas, je me suis mis à préparer le terrain : mon attitude avec lui, la façon de m’habiller, très féminine, un peu provocante, la façon ne me refuser et de garder une certaine distance ont progressivement éveillé chez Nicolas son désir endormi de soumission. Du coup, après quelques semaines de relation, je lui ai ordonné de faire la vaisselle. Il a été un peu surpris sur le moment, il a rougi et m’a fait répéter. Il a été gêné puis il s’est exécuté. Je suis allée le retrouver dans la cuisine pour l’observer.

C’était plutôt amusant de le voir faire. Je lui ai alors demandé si cela lui plaisait. Il a répondu positivement mais avec une petite voix. Et croyez-moi, en tant que psychologue, je voyais bien qu’il était déchiré intérieurement : une partie de lui-même était follement excitée d’entrer dans son fantasme, et une autre partie éprouvait une sorte de honte et freinait autant que possible…

– Extraordinaire, continue, j’adore, chacune à sa façon de faire, génial.

 

Nicolas, transformé, également, en femme petit à petit

 

– Cela s’est confirmé les jours suivants. Après des jours d’hésitation, il a commencé à me parler de son désir autant que de ses difficultés à accepter cette situation. Je sentais qu’il attendait quelque chose de moi. Un jour je me suis décidée à l’habiller en femme. J’avais vu sur plusieurs sites internet que beaucoup d’hommes, en particulier ceux qui aspirent à la soumission, fantasmaient sur les vêtements féminins et s’habillaient en cachette avec les affaires de leur petite amie, de leur sœur, de leur femme.

Ce fut une expérience mémorable. Je lui rasai le corps complètement, puis lui ordonnai d’enfiler une petite culotte en dentelle, un soutien-gorge, des bas et des porte-jarretelles, une mini-jupe hyper-sexy et un petit haut très féminin. Je lui avais acheté des escarpins à sa taille, avec des talons très hauts. Ensuite je le maquillai très minutieusement : rouge à lèvre, mascara, fond teint, vernis à ongle… la totale ! Enfin quelques touches finales : une pince dans les cheveux, des boucles d’oreilles à clips, un bracelet et une chaîne en or, une bague…

Il était vraiment transformé ! Dans tous les sens du terme car non seulement il ressemblait vraiment à une femme très sexy mais il était sur un petit nuage, tout gêné, docile et obéissant comme je le désirais. Je pensai donc avoir trouvé la solution. Malheureusement je m’aperçus rapidement que les choses n’étaient pas aussi simples…j’ai soif, désolé les filles.

– Paul, sert de l’eau à Charlène.

– Oui Madame.

 

Mais résistance de la part de Nicolas!

 

Paul arriva avec de l’eau fraîche et servit Madame Charlène. Elle but délicatement son eau et reprit son histoire.

– Premièrement dès que Nicolas avait joui, sa soumission retombait et il redevenait l’homme un peu macho du début de notre rencontre, il ne m’obéissait plus et il fallait un certain temps avant que l’effet magique ne revienne. Le fait qu’il se masturbait en cachette n’arrangeait rien. J’achetai alors une cage de chasteté. Cela fonctionnait très bien mais il y avait trop de contrainte, l’hygiène difficile, le port dans la journée sous ses vêtements d’homme était trop visible, et finalement je finis par le croire lorsqu’il me disait qu’au bout d’un certain temps c’était très douloureux voire insupportable.

Deuxièmement, je ne le sentais pas vraiment soumis. Quand il était habillé en homme et que je lui ordonnai d’enfiler sa jupe et ses bas il « traînait les pieds », n’avait pas toujours envie, et trouvait de bonne excuses pour se défiler. J’achetai alors une cravache pour le corriger lorsqu’il refusait de m’obéir, ou pour lui donner du cœur à l’ouvrage lorsqu’il faisait les travaux ménagers. Je sentis que cela l’excitait énormément. Il acceptait que je le corrige sans broncher, mais la partie de lui-même encore imbibée de machisme s’arrangeait pour couper tous les effets positifs. Il se mettait à rire pour tourner la chose en dérision.

 

Changement de méthode de dressage

 

Finalement je trouvais cela assez logique, je n’allais pas en si peu de temps effacer quarante ans de conditionnement social. Le mari est le chef de famille, il est fort, il commande, il n’a pas d’émotion, il ne pleure jamais, et surtout il n’obéit pas à sa femme, car ce serait humiliant, dégradant, honteux et ridicule. Ce jour-là, j’ai décidé de me pencher très sérieusement sur le problème. J’ai alors parcouru tous les livres de sexo-psychologie que j’ai pu trouver et j’ai surfé des heures durant sur des sites de domination féminine (ils ne manquent pas d’ailleurs, ce qui est bon signe me semble-t-il !).

Quelques semaines plus tard tout fut clair pour moi. Je décidai alors d’utiliser toutes mes compétences en psychologie, et spécialement en hypnose Ericksonienne pour délivrer Nicolas de son déchirement et nous permettre à tous deux d’atteindre nos objectifs.

– En tout cas, cela a bien marché on dirait.

 

Utilisation de l’hypnose pour un dressage réussi

 

– Quelques mois ont passé, et le résultat est là. Nicolas m’obéit au doigt et à l’œil… et avec un plaisir certain. Il a trouvé sa place. Quand je lui donne un ordre il s’exécute spontanément, sans rire nerveux, sans protestation et il éprouve beaucoup de fierté à me servir. Il me donne du plaisir sexuel quand et où je veux. Quel que soit le moment de la journée ou de la nuit, sa langue et son pénis sont disponibles pour mon plaisir. Mes orgasmes priment toujours sur les siens. Il ne peut en avoir que lorsque je le lui permets.

Nicolas me demande toujours mon opinion et la respecte pour bien des choses. Le plus important, il respecte mes décisions. Il nettoie la maison et doit avoir le look approprié. Cela implique le port de talons hauts, des bas blancs, un slip fin blanc en dentelle et un tablier blanc. Il écoute chaque jour une de mes séances et y prend un plaisir incroyable. Je me réjouis de mon côté, de le voir de plus en plus soumis et heureux. Il m’obéit de plus en plus facilement, avec le sourire, ce qui renforce notre complicité chaque jour de plus en plus.

Peu importe le type de plaisir que j’ai à l’esprit, Nicolas se soumet et tire son bonheur de ma satisfaction. Il m’amène le café au lit et, le matin, quand nous ne sommes pas pressés, il me réveille en me léchant la chatte comme j’aime. Depuis que j’assume mon rôle de dominante, je peux vous garantir que ma vie a changé du tout au tout. Moi, je donne les ordres et mon mari joue son rôle de soubrette obéissante. Ma vie sexuelle est variée, intense et très satisfaisante.

J’ai surmonté certains des effets de ma socialisation de femme et mon désir d’exercer une autorité aimante est devenu naturel et positif. Nicolas a créé le site web « transformale » suivant mes directives. Il s’occupe de la partie technique et moi je crée les séances. Tous nos bénéfices sont réinvestis dans sa féminisation. Nous connaissons l’amour et le bonheur partagé. Voilà chères amies mon parcours avec mon mari.

 

Suite du dîner pour ses dames servis par leur soumis en cage de chasteté

 

– Très intéressant, beau parcours et quel travail scientifique, ta recherche peut aider des millions d’autres femmes dans ton cas. C’est une chance pour nous toutes. Tu en penses quoi toi Aurélie ?

– Remarquable, je n’ai plus de soumis attitré en ce moment mais l’hypnose est une bonne méthode que je vais expérimenter, à n’en pas douter.

– Aller, la suite, Paul, la viande.

– Les maris mangent après nous je suppose ?

– Evidemment Charlène. Toi aussi tu fais ça je présume.

– Oui, oui, mais je voulais être sûre. C’est très important dans le conditionnement, la place physique et temporelle occupée par le soumis.

– Vrai, cela marque sa place dans le couple. Adrien, dès le début de sa soumission a mangé après moi. Ensuite, il n’a plus couché avec moi et n’a plus eu le droit de s’assoir sur le canapé avec moi. Chacun sa place. Lorsque je reçois un de mes amants, il va coucher à la cave ou il a un matelas et il prépare le petit-déjeuner le matin pour les deux.

– Il assiste à vos ébats ou pas ?

– Charlène, ta question est excellente. Il y assiste de temps en temps quand je le lui permets. Mais, contrairement à toi, il n’a plus accès à mon corps, c’est réservé à mes amants.

– Tu en penses quoi, toi Soraya.

– Vous faites comme vous le sentez, chacune voit midi à sa porte. Ils sont nos soumis et nos esclaves avant tout, donc ils obéissent et c’est tout.

– Je partage ton point de vue, leur seule raison d’être est de nous servir, le reste est accessoire.

– Regardez Paul, j’en ai déjà fait un bon soumis avec la complicité active de sa femme et j’espère que bientôt, il va devenir une bonne petite soubrette.

– Tu utilises mes séances d’hypnose.

– Tout à fait, cela facilite les choses mais il doit déjà apprendre à se servir de sa petite chatte annale et quelque chose me dit que cela ne sera pas si facile. Faut voir. N’est-ce pas Paul ? Sur un ton peu convaincu, Paul répondit « oui » à cette question.

– Comme vous pouvez le voir, il appréhende encore mais j’irai en douceur et avec ma subtilité habituelle. Et vos soumis à vous Mesdames, que font-ils ?

– Rien, ils nous regardent avec le ventre creux je présume.

 

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