Ma petite amie domina (2) : le vrai visage de Chloé

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petite amie dominaLa récompense de ma petite amie domina

Je me demandais quand est-ce que ma petite amie domina allait arrêter de me faire sucer ce truc, quand soudain je sentis mes cheveux empoignés. Elle me retira ce truc de la bouche.

-fini ma suceuse, tu vas gentiment te faire enculer ! Comme quoi tu as bien fait d’autant le sucer, ça l’aura lubrifié !

Elle rit. Et avant que je n’ai pu lui répondre quoi que ce soit, je sentis le gode forcer l’entrée de mon anus. Bien que lubrifié dans les deux sens, Chloé eut du mal à le rentrer. Moi évidemment, je poussai un gémissement de douleur. Elle me dit sur un ton gentil.

-Je vais me changer ma salope. Si tu es sage, tu auras une surprise, une bonne surprise mon chou !

Sur ces paroles, elle déposa une caresse sur ma joue puis je l’entendis partir vers la sortie. Je me surpris alors à lui dire :

-Je n’ai jamais été attiré par tout ça, la domination ou soumission. En fait, je ne savais pas du tout que toi tu l’étais. Cependant, je dois t’avouer que cela ne me déplaît pas spécialement. Je te remercie de m’avoir fait découvrir cet univers.

Je me sentis rougir. Ensuite, je sentis alors ses lèvres déposer un doux baiser sur mon front après qu’elle m’eut relevé la tête. Je frémis alors énormément, puis je sentis le gode se retirer peu à peu et se renfoncer à une vitesse folle. Elle faisait d’énormes va et viens dans mon cul. Je criais de douleur mais cela ne l’empêchait pas de continuer en me disant d’un ton sec et froid :

-tu dois me vouvoyer et me dire Maîtresse, compris sale chienne puante?
-oh-oui
-OUI QUI ?

Le gode vibrant

Sur cette dernière parole, elle m’enfonça le gode tellement profondément, que je n’aurais jamais pensé cela possible. Le laissant ainsi, je la sentais faire pression dessus. Quand j’eus fini mon cri pathétique, je repris :

-oui Maîtresse !

Reprenant avec un ton doux, elle me dit :

-bah tu vois quand tu veux ? Mais bon pour la première fois, tu as fait un bel effort. Surtout que je ne suis pas toute douce avec toi haha, je vais alors te récompenser pour cela !

Joignant l’acte a la parole, je sentis alors le gode vibrer. Dans un cri de surprise, j’enfouis ma tête dans l’oreiller. Mon corps, tout entier, tremblait tandis que Chloé sortait de la chambre. Sa récompense en était-elle réellement une ?

Depuis combien de temps étais-je ainsi ligoté, seul, et avec un gode vibrant relativement fort dans l’anus ? Je n’en savais rien. Peut-être 5, 10 voir même 20 minutes ? Je n’en avais aucune idée. Ce dont j’étais sûr, c’est que ce gode énorme vibrant avait légèrement atténué la douleur. Non… plutôt les vibrations répétées avaient endormi mon anus. Ou bien commençais-je à apprécier ? Pourquoi est-ce que je pensais ça moi ? Cela m’étonnerait franchement.

Cravaché par sa petite amie domina

En tous cas, j’attendais impatiemment le retour de Chloé, ou plutôt devrais-je l’appeler, Maîtresse Chloé ! J’avais hâte qu’elle m’enlève ce gode du cul et que je puisse voir sa tenue. Elle prenait tout son temps. Soudain, je sentis une présence dans la pièce. Je reçus un coup d’une force folle sur les fesses d’un objet, que je devinais être une cravache par la situation en cours. J’avais raison.

Quand elle me retira le bandeau, je fus très surpris de la voir ainsi habillée. Elle avait des bas de latex noir épousant parfaitement la forme de ses sublimes jambes. Sa robe était, en latex noire, très moulante, courte et sans bretelle. Ma petite amie domina tenait en main une cravache longue. Elle me dit d’un air fière d’elle :

-tu as aimé mon grand ? Ce gode dans ton cul te plaît-il ?
-non … cela fait mal enlève le moi stp…

Je reçus, alors, de nouveau, un coup de cravache me faisant lâcher un cri de douleur. Je compris, alors, l’erreur que j’avais déjà faite il y a peu. Ne me laissant pas le temps de me reprendre, je sentis un deuxième coup de cravache tout aussi fort, puis 3 , 4 , 5…  Cela dura bien 5 minutes. J’étais en larmes, mes fesses me piquaient et me brûlaient intensément. Ma respiration était très forte.

Les nouvelles règles

Elle dit d’un ton sec et froid, limite effrayant :

-3 fautes en une phrase… tu as été très fort.                                                             Premièrement : TU DOIS M’APPELER MAÎTRESSE !!!Deuxièmement : TU ME VOUVOIES ! JE NE SUIS PAS TA CHIENNE MAIS TOI TU ES LA MIENNE !!! ET troisièmement : TU DOIS ME MONTRER DU RESPECT ET T’EXCUSER ! SI TU N’AIMES PAS CE QUE JE TE FAIS !!! TU AS BIEN COMPRIS CONNASSE PUÉRILE ???

D’une voix tremblante et sanglotante, je répondis timidement tout en pleurant toujours :
-oui maîtresse… pardon maîtresse… je ne le ferais plus maîtresse…
-bien… C’est déjà mieux.

J’avais réussi à l’énerver. Je pensais avoir été puni pour ma faute… que je suis naïf. Elle me retira le gode du cul pour m’en mettre un encore plus gros, bien plus gros. Je criais de douleur et pleurais pendant qu’elle m’enfonçait encore et encore le gode que je trouvais interminable. Le voici après un long moment douloureux au plus profond dans mon cul. Il faisait facilement 25cm de long. Puis elle me mit de force un gode dans la bouche qu’elle attaché avec du ruban adhésif autour de ma bouche. Me fiant au goût âcre et à l’odeur qu’il dégageait qu’il s’agissait de celui qui était dans mon cul juste avant.

Puni toute la nuit

Elle me retourna, et d’un coup m’empoigna le sexe et se mit a me branler rapidement. Je ne ressentais pas tant de plaisir que d’habitude tant la douleur dans mon anus était vive. Elle prenait le dessus. Elle me lâcha le sexe et quelques secondes après je sentis une pince de métal me pincer le gland. Quelle intense douleur ! Je criai de douleur, un cri étouffé par le gode. Dans le même temps, je bougeai dans mes liens jusqu’à ce que ma Maîtresse m’ordonna de me stopper par une grande tape sur le torse. Je tremblais de douleur en me demandant ce qu’elle comptait faire. Les mêmes pinces vinrent alors me pincer les couilles. Je m’efforçais de ne pas bouger mais je criais de douleur dans le bâillon.

-Tu n’aurais pas dû… je dois te punir, tu vas rester comme ça cette nuit.

Ses paroles me faisaient peur. Je ressentis une intense vague électrique parcourir les pinces et le gode. Incroyable douleur. Je l’entendis alors sortir de la chambre. Je compris à cet instant que la nuit serait compliquée. Les intenses courants électriques revenaient chaque minute et le firent toujours sursauter. Je souffrais et je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était. Chloé, elle devait sûrement dormir dans le canapé. Je réalisais alors que je passerais réellement la nuit ainsi.

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5 réflexions au sujet de “Ma petite amie domina (2) : le vrai visage de Chloé”

  1. Adore ces récits , surtout si dressage DUR et bien mérité ! Maîtresses des plus sévères ont toute mon attention et appui !
    (correction orthographe nom = s’agit bien de ArchivalLolo83 )

  2. Adore ces récits , surtout si dressage DUR et bien mérité ! Maîtresses des plus sévères ont toute mon attention et appui !

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