18h15-18h20-18h25: personne! Je ressentis renaitre l’espoir et si tout ceci n’était qu’une farce à mes dépens, Mme C, ma banquière dominatrice, allait bien rire de moi!
Et puis, soudain, une petite Peugeot 206 passa, se gara en face de moi. Ensuite, je vis les deux appels de phares.
Ainsi, ce n’était pas une plaisanterie, le sol s’effondra sous moi.
Premier contact avec Madame, organisatrice de la soirée
18h31, je m’approche de la voiture. Au volant, se trouve une Femme dans la quarantaine, plutôt petite, mince, avec des cheveux bruns et courts , en jean et sweat-shirt .
- Bonsoir Madame!
Pour toute réponse, elle m’ordonne de lui donner ma montre et mes lunettes. Je tiens à préciser que je suis un peu myope!
Elle me tend une paire de lunettes de soudure, plus discrètes qu’un bandeau et totalement opaques.
- T’as pas besoin de savoir où on va. Mains à plat sur les genoux! Tu ne touches pas à ces lunettes!
Le silence règne pendant tout le trajet! Ainsi, je suis privé de tout repère. Je n’ai aucune idée du temps écoulé ni surtout du lieu où nous allons. La voiture ralentit, roule dans du gravier puis stoppe. Au bruit, je devine l’ouverture d’une porte de garage, puis une petite manoeuvre et enfin, je constate l’arrêt définitif de la voiture. Ma portière s’ouvre. On me tire par le bras et m’entraine vers une petite pièce.
- Ce soir c’est l’anniversaire d’une amie. Nous avons décidé d’organiser une soirée de domination. Ainsi, on va s’amuser avec toi. Tu seras notre jouet. N’attends aucune pitié de notre part. Au contraire, plus tu supplieras, tu « chouineras », plus ça nous excitera… Dernière chose, nous avons invité une amie. Ce sera sa première expérience de dominatrice. Elle sait en quoi ça consiste mais elle sera peut-être maladroite, tant pis pour toi. Sinon , moi ce sera « Madame », l’amie dont c’est l’anniversaire ce sera « Maitresse », l’autre ce sera « Princesse ». Vouvoiement obligatoire . T’as compris ?
- Oui Madame , j’ai compris!
- Mets toi en slip et attends que je vienne te chercher!
Cadeau pour Fabienne, pour sa première expérience de dominatrice!
Avant de partir, elle me menotte les mains dans le dos. Ensuite, elle me fait mettre à genoux puis elle ouvre une petite fenêtre . Elle sort et quitte la pièce. J’entends un verrou qu’on ferme. Je suis pris au piège je n’ai plus moyen de reculer. Aussi, je commence à frissonner de froid et de peur!
Cette attente doit sans doute contribuer à me mettre en condition pour la suite des réjouissances. J’ai entendu une voiture arriver, puis des bruits de voix féminines, des éclats de rire et finalement, de nouveau le silence et l’attente.
Soudain, le verrou claque. Je sens qu’on accroche une laisse au collier. Après, je me relève péniblement car je suis ankylosé. Ensuite, on me traine et enfin, on monte un escalier. Toujours aveugle et entravé. je me cogne partout sans qu’on y prête la moindre attention. Finalement, on s’arrête et on m’enlève les lunettes.
Je perçois des lumières douces.
- Voilà ton cadeau Fabienne, disponible pour la soirée, à utiliser sans interdit et sans modération… J’espère quand même que tu nous laisseras un peu jouer avec… »
Rires!
- Pas de souci Fabienne, on va le partager comme un bon gâteau d’anniversaire, chacune aura sa part!
Nu devant ces trois inconnues et à leur merci!
De nouveaux rires fusent. Il règne une atmosphère de fêtes entre amies. Je découvre les femmes dont je serai le souffre-douleur( douleurs ?). J’ai une première surprise. Aucune des femmes présentes, ne portent de cuir, latex, ou cuissardes! Elles ont des tee-shirts qui leur arrivent en haut des cuisses. Je découvrirai un peu plus tard la commodité de ce vêtement pour certaines pratiques et jeux sexuels!
Les trois femmes ont entre 40 et 50 ans. Ce sont des femmes qu’on croise dans la rue sans les remarquer. Maitresse est mince et musclée, 1,65-1,70 m, cheveux chatains et courts. Elle a le regard dur. Princesse a les cheveux un peu plus longs. Elle est plutôt mince elle aussi, a le regard moqueur derrière ses lunettes. Madame est la plus petite. C’est mon dernier instant de répit !
- Bon bah tu l’ouvres ton cadeau ou tu veux qu’on le fasse ?
Alors, Maitresse s’approche:
- Toi , à poil!
Elle m’enlève mon slip. Je suis, maintenant, nu devant ces trois inconnues. Pour moi, il s’agit d’une première humiliation. Maitresse me tourne autour, Elle m’évalue comme du bétail à la foire. Ses amies la regardent faire, amusées. Maitresse me demande gentiment d’écarter un peu plus les jambes.
Elle s’approche en souriant, me prend par les épaules, me regarde droit dans les yeux…Douleur fulgurante , je pousse un cri et tombe à genoux devant Elle, le souffle coupé. Elle vient de m’asséner un violent coup de genou dans les testicules!
Maîtresse, femme dominatrice impitoyable et violente!
Aussitôt, elle me tire par l’oreille pour me forcer à me lever. Je reste à moitié plié.
- Tiens toi droit!
J’obéis sans comprendre. Elle s’approche. Je ressens une nouvelle douleur atroce et je me trouve de nouveau, à genoux, électrocuté.
- T’as compris minable? Tu es à genoux ou à plat ventre. En fait, tu ne ne nous regardes pas plus haut que le nombril ou les hanches! T’as compris ? Répète ou je remets ça !
Toujours paralysé, je tarde trop à son goût. Je ramasse alors un magistral coup de pied au cul puis un second avant d’avoir pu esquisser quoique ce soit. Je suis allongé à ses pieds, toujours menotté. L’enfer n’a pas tardé !
Maitresse est vraiment violente. Aussi, je dois vite obéir à cette femme dominatrice d’une façon ou d’une autre sinon je risque le pire.
- Oui Maitresse , je me tiendrai à genoux ou à plat ventre et je ne regarderai pas plus haut que votre nombril.
- Tu vois Christelle. Il faut toujours commencer par là, bien le mater. Tu dois bien lui faire comprendre que tu ne plaisantes pas et qu’il est là pour souffrir. Tu dois lire la peur dans ses yeux chaque fois que tu t’approches tellement il a peur pour ses couilles. Bon , Fabienne tu fais les présentations ?
Madame s’approche, me donne deux ou trois coups de pieds pour me faire remettre à genoux. Comme je suis menotté, c’est compliqué. Aussi, je m’exécute lentement, d’où ces « encouragements ».
Me voici enfin, en position, je garde prudemment les yeux rivés sur ses pieds. Elle me soulève le menton.
Un « Moi c’est Madame » s’accompagne d’une généreuse paire de gifles que je n’ai pas vu venir puis d’un crachat au visage.
- Qu’est ce que l’esclave doit répondre à sa Maitresse dominatrice ?
Giflé par ces trois inconnues! et ce n’est que le début!
Je reçois une nouvelle paire de gifles cinglante. Ainsi, je comprends que j’aurais tout à craindre d’Elle aussi.
- Un esclave digne de ce nom répond – Votre esclave est à votre entière disposition Madame ! Allez répète pauvre con!
J’ai, encore, le droit à une gifle avant que je n’ai le temps de répéter la formule. Maitresse s’approche et me balance une nouvelle paire de claques, beaucoup plus fortes! Je ne peux, toujours, les esquiver à cause des menottes dans mon dos! En fait, je suis à leur merci total.
Ensuite, je reçois un gros crachat sur l’oeil, à bout portant. Je prononce, aussitôt ma phrase de soumission ce qui n’empêche pas une nouvelle gifle de partir.
- A Toi Christelle, viens prendre possession de ce minable!
- Moi c’est Princesse!
Une gifle suit, peu assurée. Maitresse s’approche et m’en colle une à toute volée, ma tête valse!
Les larmes me montent aux yeux .
- Vas y , c’est qu’un esclave , il est là pour ça ! Pense à ton mari!
ET là, c’est plus violent! Le crachat suit. Les barrières morales ne tardent pas à tomber …
Enfin, elles m’abandonnent là, complètement hébété. J’ai des crampes à cause des menottes, les joues en feu, mal à l’entrejambe .. . Et ce n’est que le début!
Comment vais je pouvoir résister à ce traitement?
A suivre
Bonjour Maîtresse je m’appel Philippe j’ai 53 ans. Je trouve que votre soumis a beaucoup de chance. J’aurai aimé être à sa place. Maîtresse vous pouvez me contacter à tout moment. Si vous jugez que je suis assez digne pour vivre une telle histoire. Sur ce Maîtresse je vous souhaite une excellente journée. J’espère à bientôt Docilement Philippe