Sissy Aline soumise à sa femme, Maîtresse Anne-Marie (5)

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Retour à la réalité

J’attendais Novembre avec crainte et impatience……..

Toujours dans mes pensées qui me projette en novembre, un cinglant coup de cravache me ramène à la réalité.
Je reviens sur terre et à cette journée de la Sainte Aline.

L’après-midi commence. Nos Maîtresses détaillent les plaisirs qui nous sont réservés. Ainsi, nous comprenons que les festivités sont loin d’être terminées.

Cela nous interpelle Sissy Hortense et moi.

La cage remise en place, nous sommes attachées côte à côte aux agrès. »minus » remisé dans un coin, est ficelé au sol avec un supplément de pinces aux bons endroits.

Il porte un bâillon et ne peut que se taire. Le pauvre regarde sa Maîtresse tel un chien battu.

Maîtresse Évelyne dit tout haut:

  • Je pense me séparer de lui pour avoir une sissy à sa place.

 

Nos Maîtresses jouent avec nous!

sissy

 

Pour nous deux la séance va débuter.

Les conciliabules des Maîtresses et leurs rires n’augurent rien de plaisant pour nous. Elles commencent par nous mettre des pinces aux tétons. Des fils pendent. Cela nous renseigne sur leur destination et surtout, sur la séance qui nous est réservée.

Elles allument leur récepteur. Nos Maîtresses s’amusent à nous envoyer des impulsions. A leur fantaisie, chacune choisit la partie de notre corps « clito », chatte ou seins. Sous les vibrations de nos plugs ou la morsure des décharges sur notre « clito » ou les seins, nous nous tortillons côte à côte.
Pour rien entendre, elles nous bâillonnent chacune avec un BÂILLON GONFLABLE. Ces derniers étirent nos mâchoires, tout en nous faisant baver. Nos Maîtresses jubilent. Elles se moquent de nous et parlent de nous mettre un bavoir.

Cette séance électrique, à tout point de vue, dure au moins deux heures. Elle prend fin avec deux Sissy exténuées qui sont détachées des agrès. Nous nous écroulons sur le parquet en demandant grâce. Cependant, aucun répit nous est accordé. Ainsi, nous devons conserver nos bâillons. Nous avons la mâchoire distendue et douloureuse.Nos Maîtresses nous ordonnent de nous rhabiller, remaquiller. Elles veulent une collation.

 

La désobéissance des Sissy

Sissy Hortense et moi descendons à la cuisine. Nous ne devons rien oublier des demandes de Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse et Maîtresse Évelyne, En effet, toute erreur sera sévèrement sanctionnée. Nous devons nous taire car nous connaissons le prix à payer en cas de désobéissance.

Cependant, comme nous pensons que nos Maîtresses sont restées en haut, nous décidons d’ôter notre bâillon, quelques instants, pour discuter de notre situation et notre avenir. Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse sont des amies d’enfances. Aussi, nous savons que nous nous verrons très souvent vu notre condition de sissy.
Ainsi nous parlons de cet avenir.

Quelle erreur!

A pas de loup, Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse arrivent dans la cuisine et nous trouvent sans les bâillons. Immédiatement, nous recevons un bon coup de cravache, chacune.
Aussi, les bâillons reviennent à leur place.
La fin de préparation de la collation est faite dans le silence sous le regard de nos Maîtresses.

Elles nous promettent une expérience unique pour cette désobéissance.

Nous prenons le chemin de la pièce. Pour monter les escaliers, elles nous entravent les chevilles. Elles relient nos cadenas avec une chaîne. La montée n’est pas facile et nous trébuchons sur les marches

Préparation pour la punition

Arrivées au deuxième étage, nous recevons l’ordre d’ôter nos jupes et corsages. Ainsi, nous nous retrouvons, seulement, en chaussures, bas, porte-jarretelles, slip et soutien-gorge. Ensuite, nous nous retrouvons avec des colliers et des menottes aux pieds et aux poignets. Le tout est cadenassé. Nos bras sont ramenés dans le dos et une barre d’écartement est posée entre nos pieds.
Des pinces aux seins sont accrochées. Le plug et la cage sont encore en place.

Harnachées et à leur merci, nous allons subir le prix de notre désobéissance.

Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse et Maîtresse Évelyne nous rapprochent. « minus » est détaché et il aide à nous immobiliser. Il porte les traces des cordes et des pinces sur tout le corps.

Avec nos colliers reliés et nos barres solidarisées, nous nous faisons face. Étant à peu près de la même taille, nos bâillons se touchent. Nous nous regardons dans les yeux avec la même angoisse, dans l’attente des sévices que nos Maîtresses vont nous faire subir suite à notre acte de désobéissance.

Depuis les anneaux fixés à la poutre faîtière, elles attachent les chaînes et les cordes reliées à nos colliers et menottes des mains.

La punition

Nous ne pouvons plus bouger les bras, ceux-ci étant tirés vers le haut. Maîtresse Anne-Marie me rappelle une partie de mon serment :

« Soumise sans condition à sa MAÎTRESSE ANNE-MARIE
UNE SISSY QUI DOIT D’OBÉIR, S’EXPOSER ET SUBIR
Elle se rappelle sa place : une personne qui ne pense pas,
Une Sissy fait ce qu’on lui dit. »

Pour avoir enfreint les règles qui sont les mêmes pour Sissy Hortense et nous sommes complices dans tout le sens du terme, nous allons subir la même sentence. Nous nous regardons, les yeux dans les yeux.
Nous comprenons que nous allons devoir nous épauler mutuellement pour ne pas faillir et défaillir avec ce qui nous attend.

Cela commence par une séance avec le martinet et la  cravache. Les coups sont assénés sèchement par nos Maîtresses et cela sans répit.

Ce n’est pas leur violence mais la répétition permanente et continue, qui chauffe nos fesses, ventres et cuisses.
Les coups sont tellement rapprochés. Des larmes coulent sur notre visage. Les impulsions avec leurs télécommandes n’arrêtent pas.
Nos Chatte, clito et tétons sont continuellement assaillis par des décharges délivrées par nos Maîtresses.

Nous remuons dans nos liens, les coups arrivent plus haut que prévu.

Nos pleurs n’arrangent pas notre maquillage. Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse sont exaspérées .
Elles poursuivent avec une dizaine de coups bien assénés.

Bâillonnées, nos Maîtresses entendent parfaitement nos lamentations. Nous pleurons. Nous hurlons.

Le Pacte

Finalement, elles retirent les bâillons! Nous reprenons notre souffle après cette flagellation. Ensuite, nous nous regardons toute deux. Prises d’une subite envie, nous nous embrassons.

Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse et Maîtresse Évelyne éclatent de rire et s’exclament :

  • En voilà deux qui s’entendent bien, on doit les pacser!

Maîtresse Évelyne ajoute :

  • Décidément avoir une Sissy, c’est plus agréable, je ne sais ce que je vais faire de lui le changer ou le transformer en Sissy!

Après la déclaration de Maîtresse Évelyne à son encontre, nous voyons « minus » ne plus savoir où en être de sa condition.

Ensemble, le regardant nous disons en cœur :

  • Il est déjà épilé, on le féminise!

 

  • Je vais étudier son devenir, rétorque Maîtresse Évelyne.

 

Le plaisir des Maîtresses!

 

Elles s’écrient :

  • Finissons cette Sainte Aline, Nous avons encore deux bonnes heures devant nous, et nous devons être à la hauteur de cet événement.

Elles rient franchement.

Détachées, nous refaisons notre maquillage mutuellement, pour aller plus vite. Sissy Hortense, plus aguerrie que moi, nous permet de terminer plus vite. Ensuite, nous nous présentons à nos Maîtresses qui jugent satisfaisant les résultats.
Nous restons en petite tenue. Nos jupes et caraco ne sont pas pour maintenant.

Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse et Maîtresse Évelyne se concertent. Elles décident maintenant d’avoir un peu de plaisir. Sissy Hortense et moi, nous prenons soin d’elles. Surtout, nous nous appliquons.
Une punition sera notre récompense, si elles ne sont pas contentes,

Les deux Sissys s’occupent de leur Maîtresse. Maîtresse Évelyne appelle « minus ». La  prestation de « minus frustre sa Maîtresse. Elle voit notre application et surtout, le résultat qui en suit pour nos Maîtresses.

Voici comment doit s’écouler notre vie. Tel est notre choix et serment :

« Nous sommes des Sissys qui devons être au service des femmes uniquement et vivre féminisée tout le temps, obéir. »

La fin de journée s’approche. Il est temps pour Sissy Hortense et moi de préparer le repas pour nos trois Maîtresses.
Rhabillées, nous retournons à la cuisine.
Nous échangeons à voix basse nos impressions sur Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse pour mieux les connaitre mutuellement.

Nous savons maintenant que nous allons être ensemble et devoir obéir et subir sous le joug des deux amies d’enfance.

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