Cette nuit-là Laurent fit de beaux rêves. Des rêves érotiques où il prenait sa femme comme il le faisait encore voluptueusement il y a quelques années. Il se réveilla en sueur par l’effet de sa cage de chasteté qui le contraignait. Sa nuisette lui rappela immédiatement que ce temps n’était plus qu’un lointain souvenir. Il était, désormais, un homme soumis à son épouse.
Au départ, ce n’est pas elle qui avait voulu changer leur relation, mais lui. Avait-il imaginé un seul instant combien sa femme y prendrait goût ? Certes, Samia l’aimait toujours, mais sur un nouveau mode, qu’il avait suggéré et qu’elle avait adopté.
Etre la lope soumise et cocue de sa femme demande certaines capacités que maîtresse Zaïa se chargeait de développer jour après jour pour le compte de son amie Samia. Avait-il imaginé un jour être dressé à ce point ? Probablement pas. Il avait mis le doigt dans un engrenage que deux femmes motivées se plaisaient à faire tourner au quotidien.
Vie d’époux soumis au quotidien!
Sa Maîtresse par exemple se chargeait de le pousser dans ses ultimes retranchements tandis que sa femme ne ratait jamais une occasion de lui faire ressentir sa condition humiliante de soumis. Samia l’avait forcé à démissionner de son travail peu après qu’ils deviennent un couple gynarchique. Elle avait un poste à responsabilité et des revenus très confortables. Il lui était facile d’entretenir son mari. De plus, ce côté humiliant pour lui n’était pas pour déplaire à Samia. Comme il ne travaillait plus, il ne disposait que de l’argent que sa femme voulait bien lui donner, en l’occurrence le plus souvent de quoi faire les courses et rien d’autre.
Il restait désormais le plus souvent à la maison sauf pour faire les courses et de temps en temps sortir avec elle pour leurs relations sociales. C’était les seuls moments où Samia l’habillait en homme. Toutefois, une petite culotte de sa femme sous son pantalon et une cage de chasteté ne lui permettaient pas d’oublier sa condition de soumis.
A la maison, entre ménage, repassage et cuisine, il y avait de quoi faire. Le soir après le dîner, il faisait la vaisselle à la main. Le voir ainsi en tenue féminine penché sur l’évier, excitait beaucoup sa femme. Il n’était pas rare alors qu’elle le prenne avec un gode ceinture, comme pour lui faire ressentir au cœur de son intimité violée toute sa puissance à elle, et sa soumission à lui.
Samia avait ses habitudes quant à l’organisation de l’emploi du temps de son soumis de mari. Le petit déjeuner devait être prêt à l’heure désirée et son homme en tenue de soubrette pour la servir.
Découverte d’un petit carnet appartenant à son épouse!
Quand elle partait au travail, lui restait avec sa liste de tâches à accomplir. Il valait mieux que tout soit exécuté parfaitement car au retour l’inspection de sa femme serait implacable. La moindre imperfection et c’était la punition assurée. De plus, Maîtresse Zaïa serait informée en temps réel de toute insuffisance et elle prendrait aussi des mesures de représailles. Cent coups de fouet par sa femme c’était déjà dur à encaisser, mais une punition doublée par sa Maîtresse, mieux valait l’éviter. Il était déjà assez fouetté, fessé et cravaché pour le simple bon plaisir de ces dames. Il ne fallait pas rajouter des châtiments inutiles.
C’est en faisant le ménage qu’il tomba sur un petit carnet qui semblait avoir été négligemment oublié par sa femme sur son bureau. Il le regarda sans oser l’ouvrir plusieurs fois dans la matinée, au hasard de l’exécution de ses différentes tâches ménagères. Ainsi, il se savait potentiellement surveillé par quelques caméras dans leur appartement que sa femme pouvait consulter à n’importe quel moment avec une application sur son smartphone.
Pourtant, l’après-midi, la curiosité fut trop forte. Il prit le petit carnet et en tourna la première page. Il s’agissait du carnet intime de sa femme où elle consignait toutes ses aventures extra-conjugales en mettant des commentaires sur ses amants comme « bon coup d’un soir », « mâle endurant et inspiré », « m’a baisé quatre fois de suite », « idéal pour une relation à long terme », « décevant, ne pas revoir. » etc. Laurent compta déjà onze amants, rien que pour cette année…
Carnet intime, répertoire de toutes les aventures extra-conjugales de son épouse!
Se pouvait-il que sa femme laisse ainsi trainer ce carnet par négligence? Probablement pas, le but était certainement d’humilier son soumis et de le rendre fou de jalousie. Ce fut le cas ! D’autant que Samia n’hésitait pas à décrire ses ébats sexuels et comment le fait de savoir son mari cocu à la maison en train de l’attendre était jouissif. Il y avait aussi un classement des amants selon leurs performances sexuelles dans différents domaines.
Laurent fut surpris d’y figurer, n’étant plus autorisé à prendre sa femme, sans doute servait-il d’élément de comparaison, comme un étalonnage en quelque sorte. Cherchait-elle à l’humilier encore plus ou était-ce sincère ? Toujours est-il qu’il figurait régulièrement en bas des différents classements. S’il avait cru bien satisfaire sa femme par le passé, force était de constater que depuis que leur couple avait basculé dans la domination-soumission, d’autres s’en chargeaient beaucoup mieux que lui.
De plus, sa femme explorait nombre de fantasmes sexuels qu’elle avait toujours refusé de pratiquer avec lui, le cantonnant à une sexualité classique et parcimonieuse. Visiblement, elle se faisait régulièrement prendre par plusieurs hommes en même temps. De plus il était clairement noté dans son carnet qu’elle jouait la transparence, expliquant à tous ses amants occasionnels ou réguliers qu’elle était une femme mariée mais infidèle, et dont le mari était non seulement fait cocu mais en plus qu’il le savait et qu’il lui était entièrement soumis donc consentant.
A la lecture du carnet, sentiments contradictoires pour le mari soumis : Honte et excitation!
Laurent ne put s’empêcher de lire le carnet du début à la fin. Chaque aventure extra-conjugale de sa Maîtresse femme le flagellait mentalement et lui faisait très mal psychologiquement. Et pourtant, comment ne pas admettre que cela l’excitait d’être ainsi traité par sa femme.
La dernière aventure datait d’avant-hier. Ce soir-là, Samia avait travesti sa lope de mari avec des habits à elle, ce qu’il aimait le plus. Rien que de sentir l’odeur des lainages de sa femme sur son corps le mettait en transe. Comme il était plus grand que Samia, une robe longue pour elle devenait une robe courte pour lui. Un pull en cachemire à elle lui allait bien aussi, il lui moulait juste un peu plus les formes.
Il n’y a que ses bas qu’il ne pouvait pas porter pour cause de longueur de jambes différente et Samia lui en avait acheté toute une collection rien que pour lui. Après l’habillage, le rouge à lèvres, le maquillage des yeux, le porte de la perruque, des escarpins, elle l’avait attaché dans leur chambre, sur leur lit à barreaux. Avec une bonne dose de vaseline, elle lui avait ensuite inséré son plug rose dans le cul. Cela n’avait rien d’inhabituel, c’était un traitement que sa femme lui infligeait très régulièrement. Il ne laissait en rien présager ce qui était noté dans la suite du carnet intime.
Souvenir de la veille au soir…
Samia s’était alors dénudée entièrement, avait pris une douche devant lui, profitant du fait que la douche avec verres transparents était installée dans la chambre à coucher, face au lit. Après elle s’était habillée en prenant soin de le faire devant lui, d’abord enfilant des porte-jarretelles et des bas résille qu’elle portait pour lui jadis, puis une jupe en cuir sans petite culotte, enfin un petit cardigan beige, des bottes montantes pour finir. Elle se maquilla, toujours devant lui, le regardant dans la glace pour mieux mesurer le désir de son mari, totalement fou d’elle.
Une femme, sa femme, était malheureusement pour lui devenue inaccessible. Puis elle vint près de lui sur le lit, et lui ôta sa cage de chasteté, il banda alors comme jamais. Ce n’est qu’attaché qu’il avait droit d’en être libéré, pour prévenir tout dérapage masturbatoire. Elle commença à le caresser dans cette tenue si sexy. Il pouvait penser qu’elle l’avait mise pour lui rappeler le bon vieux temps. Elle prit plus fermement son sexe dans sa main, et commença à l’astiquer. Mais Samia se rendit compte que l’effet de la chasteté qu’elle imposait à son mari depuis un mois faisait qu’il était rapidement près à éjaculer. Son but étant de le frustrer et non de le satisfaire, elle s’arrêta là avec son plus beau sourire, et sortit de l’appartement.
Elle n’était rentrée que très tard dans la nuit ce soir-là et le petit carnet de Samia décrivait avec une grande somme de détails ce qu’elle avait fait avec son amant…
A SUIVRE…