Striptease du soumis pour sa Maîtresse dominatrice

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Maîtresse dominatriceD’un signe de la tête, sa Maîtresse Dominatrice lui fit signe de s’avancer dans la lumière. La pièce était blafarde mais un abat-jour centralisait toute la lumière au milieu. Il s’avança visiblement intimidé.
Il était, certes, un peu plus grand que lui mais se tenait là, le menton baissé, essayant de deviner ses intentions, jusqu’à l’instant où elle lui empoigna fermement le menton, le fixant les yeux dans les yeux…

– Tu n’es qu’un jouet ici. Comporte toi comme tel alors!

C’était à la fois un ton sec et très pervers. Elle s’amusait de la situation inconfortable dans laquelle elle le mettait.

Le dos de sa main droite glissa sur son épaule, comme pour sentir la délicatesse de l’étoffe de la chemise mauve qu’il portait. Et soudain, elle saisit le milieu devant à pleine main, extirpant violemment sa chemise du devant de son pantalon, exhibant son estomac. Sa respiration était haletante, et sur son estomac à nu, on percevait son émoi, sa nervosité.

Une petite goutte de sueur perlait au niveau de son plexus et commençait à couler. Elle remarqua qu’il possédait une sorte de petit duvet qui dessinait le milieu de ses abdominaux. Elle y passa lentement un doigt, le faisant tressaillir.
Puis elle descendit sur la boucle de son ceinturon couleur bronze, et son autre main, empoigna ses fesses fermement, l’une après l’autre.
Il se sentait livré totalement à cette femme hautaine et autoritaire, ne pouvant s’opposer à elle, comme tétanisé par ce qui pouvait encore survenir…
Elle avait remarqué qu’avec un jean, son sexe était nécessairement à l’étroit et qu’en le caressant à travers le tissu raide, sa queue allait vite gonfler et rendre son plaisir douloureux, de ne pouvoir s’en échapper.
Elle entreprit donc de saisir entre le pouce et l’index, son sexe qu’elle fit durcir presqu’instantanément.

Sadiquement, elle s’évertua à le mener au bord de l’explosion, alternant la pression de ses doigts et la vitesse de ses caresses.
Puis, elle s’arrêta et prit la décision de concentrer son attention sur ses lèvres, plus haut donc. Elle effleura d’abord d’un doigt ses lèvres charnues et au bout de quelques secondes, introduit un doigt entre sa bouche entrouverte. Elle appréciait visiblement beaucoup ce refuge chaud et douillet, car un sourire perçait maintenant à la commissure de ses lèvres à elle.

Lui s’efforçait de ne rien montrer de son trouble mais le clignement de ses yeux le trahissait.

– oui, ça c’est un bon jouet! Fit-elle. Tu fais tout ce que je te dis. Tu es là pour mon seul plaisir, c’est clair?

Et la, le striptease se poursuivit. Elle finit de tirer l’étoffe de la chemise du pantalon et lui fit relever les bras pour lui ôter complètement sa chemise. Elle joua un instant avec ses tétons, les pinçant légèrement.
Elle s’attaquait maintenant à son pantalon, boucle de ceinture, bouton puis braguettre désipée prestement.
Le pantalon tomba sur ses genoux rapidement. Il était maintenant en caleçon de coton. Elle s’amusa à faire claquer l’élastique sur la peau de son estomac en riant.
Puis très lentement, elle entreprit de faire descendre son caleçon, dévoilant en premier lieu le bout de son gland. Puis centimètre après centimètre, elle fit descendre le caleçon sur sa tige durcie, sous les testicules et bientôt, ce n’était plus qu’un amas de tissu, qui trônait à ses pieds.

Elle scrutait ses jambes fines, ses fesses fermes.

– Maintenant, tu n’es qu’une petite pute à mon service, pour mon plaisir…dont je me sers

Elle empoigna ses fesses d’une main « virile » et de l’autre son sexe, qu’elle enserra, maintenant une légère pression.

– Ne t’avise pas de jouir!

Elle le tira pas la queue, le poussant à se pencher sur la table placée au centre de la pièce. Elle saisit une longue brosse à cheveux et asséna plusieurs coups secs sur son postérieur, lequel ne tardea pas à rougir.
Elle passe alors sa main en cercles réguliers sur ses fesses, et l’un de ses doigts s’attarda sur le sillon, lui laissant penser qu’une autre pénétration allait être perpétrée sur une autre partie de son anatomie.

Mais elle n’en fit rien et redoubla même d’efforts dans ses coups. Pendant une longue minute qui lui sembla durer une éternité.
Un petit cri lui échappa.
Elle lui saisit le sexe et le serra, en faisant: shhhh! comme pour lui signifier que c’était peine perdue.
Le repoussant violemment en arrière sur le dos. Elle entreprit de se servir de lui jusqu’au bout. Sans même se déshabiller, elle écarte simplement sa petite culotte qui apparaissait à ses yeux ébahis, la jupe étant relevée, et elle l’enfourcha.

– Ne jouis pas! Surtout pas!

Elle le chevaucha alors vigoureusement, appréciant sa raideur et son positionnement passif, livrée à elle…qu’il était.
Bientôt, agitée de soubressauts, elle eut son plaisir en toute plénitude sur lui.
Pauvre chose qu’il était entre les mains de sa Maîtresse Dominatrice, se mordant les lèvres pour ne pas exploser en elle.
Son sort, encore une fois, était scellé.

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