Troisième journée
Ce matin, j’entends Maîtresse Isabelle déjeuner dans la cuisine. Elle passe plusieurs fois devant moi pour aller dans le garage. Puis, je pense qu’elle est partie faire sa toilette. L’indifférence la plus totale… Pour elle, parfois, le jeune étudiant soumis que je suis n’existe plus. Je n’ose alors pas faire le moindre bruit pour ne pas lui donner un prétexte pour rallonger la punition. Enfin, Maîtresse Isabelle, après avoir pris tout son temps, vient me délivrer. Elle me traine par la laisse, me place devant un bol par terre et m’ordonne de mélanger la même bouillie qu’ hier.
Je ne peux m’empêcher de faire quelques commentaires quand je découvre le même repas que les autres jours. Cela n’a vraiment pas l’air de lui plaire, mais elle ne dit rien.
Promenade en vélo
Ce matin, on part faire une promenade en vélo. Je ne suis pas assez souriante ce qui agace ma Maîtresse. Il faut dire qu’elle m’a obligé à mettre des sous-vêtements féminins et introduit un gode dans le derrière. Elle m’a peint les ongles des mains et des pieds en rouge vifs. Je porte un jeans culotte coupé ultra court et une blouse blanche légèrement transparente. J’ai aux pieds des petites sandalettes bleues avec des socquettes blanches. On peut deviner mes gros tétons et le soutien noir à travers la blouse, mais si je veux les cacher je dois mettre une main dessus et cela me gêne car mes ongles peints en rouge seront encore plus visibles
C’est vrai que je n’ai qu’une seule envie et c’est de rentrer au plus vite.
En rentrant, fâchée par mon attitude, elle décide que je passerai quelques heures avec la tête dans la cuvette des toilettes.
-Si les beaux paysages ne t’intéressent pas, ta place est bien ici.
Les mains liées dans le dos, une corde fixée à mon collier me force à rester à genoux, la tête dans les toilettes à sentir et à regarder les œuvres de Maîtresse.
Repas forcé
Maîtresse me délie enfin de ma position.
Elle me place à table et attache mes bras au dossier de la chaise. Elle attache une fine cordelette à mes anneaux de sein. Celle-ci passe au-dessus de la table et au-dessus du dossier de la chaise opposée. Ensuite, elle y accroche deux poids pour maintenir mes tétons bien tendus. Je ne sais plus avancer ni reculer.
Elle me fixe une grande serviette autour du cou.
-Donc, ma soubrette se plaint de la nourriture maison.
Maîtresse Isabelle me fixe un écarteur dans la bouche, en position ouverture maximum.
-Tu vas gouter tout ce que je t’ai préparé et après, je ne doute pas que tu seras heureuse de manger ta bouillie.
Son téléphone vibre. Sans plus s’occuper de moi, elle quitte la pièce et entame une longue discussion. Ma position devient douloureuse. C’est avec un réel soulagement que je l’entends raccrocher. Enfin, Maîtresse Isabelle revient toute souriante.
-Reprenons ou j’en étais…
-Une grande bouche….pour l’entrée…
Elle m’enfourne un yaourt bien salé au préalable.
Pas la peine de dire une grande bouche, avec l’écarteur au maximum, je suis bien incapable de refuser ce qu’elle met dans ma bouche.
-Une grande bouche…
Elle me fait boire un verre de son urine à petite dose pour bien en profiter.
-encore un grande bouche…
Elle me fait avaler successivement un yaourt mélangé avec une mèche de ses cheveux, un yaourt avec un papier de toilette usagé qu’elle a écrasé dedans, un yaourt avec un crachat et quelques poils pubiens.
C’est franchement écœurant et j’ai vraiment de la misère à avaler cette mixture.
Gavé de nourriture immangable
En rigolant, elle me fait avaler les restes de son repas d’hier, après avoir bien pris soin de tout mélanger, entrée, plats, dessert, sauce, et de lier le tout en salivant dans l’assiette. De grosses cuillères me remplissent la bouche et je n’ai pas d’autre choix que de continuer à avaler.
Puis, au gré de son imagination, elle continue à me gaver de nourriture immangeable…
Repu, presque malade, elle arrête enfin la punition.
Sadiquement, elle m’enlève l’écarteur et le remplace directement par un bâillon
-Je pense que tu ne te plaindras plus de ma cuisine, espèce de trainée. Le bâillon, c’est pour éviter que tu recraches comme une grosse salope, dès que j’aurais le dos tourné.
Puis sans plus un mot, elle quitte la pièce et me laisse en pleine digestion, les larmes aux yeux d’avoir dû avaler tant de choses si dégoutantes.
En effet, je ne me plaindrai plus jamais de ce qu’elle me donne.
Toujours aussi fâchée, Maîtresse m’a organisé une fin d’après-midi à sa façon
Un placard pour terrain de jeu !
Elle m’enferme dans le placard de ma chambre.
-Ici, tu as toute la place pour jouer et te détendre. Sois bien sage, je viendrai te rechercher tout à l’heure. N’hésite pas à réfléchir à ta conduite et aux progrès que tu peux encore réaliser !
Elle me menotte simplement les mains dans le dos et me met en bouche une de ses culottes bien odorantes. En fait, elle a certainement dû jouir dedans en me faisant manger. Elle la fixe solidement avec un foulard attaché dans la nuque.
Il est tard quand la porte du placard s’ouvre. Maîtresse Isabelle me délie. J’ai perdu la notion du temps. Seul compte pour moi une soumission totale afin de soulager un peu cette avalanche de punitions et de me rendre une vie un peu plus supportable
Le troisième jour se termine.
Retour à la maison !
Je prépare mes affaires pour rentrer chez moi.
-Warrita, vient ici !
-A genoux.
Maîtresse Isabelle me montre un bâillon boule qu’elle tient d’une manière désinvolte dans sa main.
Affamée, constamment humiliée, en manque de sommeil depuis 3 jours, j’éclate en sanglots.
Je tombe à ses pieds et je me mets à pleurer comme une petite fille.
Maîtresse Isabelle a gagné son pari !
Triomphalement, elle caresse ma tête.
-Alors, il me semble que tu as compris la leçon.
-Oui, Maîtresse Isabelle. Je vous obéirai encore plus, je serai encore plus sage et plus féminine, je vous le promets.
-c’est bien ma Warrita, mais il faut finir ce que l’on a commencé.
Sans tenir compte de mes larmes, elle fixe une dernière fois le bâillon boule, en souriant ironiquement
-Allez, en voiture maintenant. Tu rentres dans le coffre !
-Gmmmeer…mmmmbbbb.
-Je sais Warrita, ne t’inquiètes pas, il y aura d’autres weekend. Et arrête de parler sans articuler. De toute façon, personne ne te comprend et ce que tu dis est toujours sans importance ! je pense que tu es au-devant d’un sacré problème. Tu ne veux plus de bâillon si j’ai bien compris et moi, je commence à trouver cet outil indispensable. Lorsque tu es bâillonnée, tu es obéissante, gentille, tu ne m’embêtes pas, tu ne dis pas de bêtises et tu peux continuer à me servir. Je ne vois que des avantages mais en plus, si tu commences à détester cette punition alors je ne vais vraiment plus savoir m’en passer !
Elle me pince gentiment la joue, pour être sure que le message soit bien passé, puis me conduit en me tenant par l’oreille dans le garage…..
je sui soumi est chaste depuis plusieurs annees dresser a faire les désirs de ma maitresse je porte teue de soubrette cadenasser , de bebe , vêtements plastiques collier d’apartenance , fers d’esclave est je sui de nouveau seul
Wow j’ Tellement rencontrer une maîtresse comme cela je serais servi à souhait c’est ça que je recherche une dominatrice qui a pas pitié et qui aime piéger des soumis