Un entretien d’embauche avec une femme dominatrice

Après avoir terminé mes études, j’ai effectué une recherche d’emploi classique. Je n’avais pas beaucoup d’espoir pour trouver un poste de rédacteur. Cependant, j’ai fini par être contacté pour travailler dans une entreprise de communication.

Le jour de mon entretien d’embauche, je me rends dans la dite entreprise où je suis accueilli par une femme sublime.

Jusqu’ici, je n’avais jamais réfléchi au concept de la domination dans les relations de couple. En société, je suis plutôt quelqu’un qui à tendance à dominer. Cependant, j’ai, vraiment, besoin de ce poste.

Première rencontre avec ma future Boss, une sublime femme dominatrice!

Mon interlocutrice porte des chaussures à hauts talons noirs. Elle a une démarche d’impératrice et son regard est perçant. Dans cette entreprise, tout le monde semble lui obéir sans broncher. Je constate que son café est déjà servi. De plus, chaque fois qu’elle appelle quelqu’un, cette personne arrête, immédiatement, son travail et vient la voir.

Elle a les cheveux bruns et porte des lunettes. Quant à son âge ? Je pense qu’elle est dans sa quarantaine. Moi, je n’ai que 25 ans.

Je suis arrivé souriant à mon entretien. Cependant, j’ai l’impression, maintenant, en voyant sa façon de se comporter qu’elle a pris ça pour de l’arrogance! Sans doute que cette femme dominatrice préfère les candidats qui arrivent têtes baissées et qui ne disent rien.

Je lui parle de moi, de mes qualités et de mes défauts. Quand soudain, en plein milieu de l’entretien, mon téléphone sonne! Elle ne se prive pas pour me signifier son mécontentement et sa désapprobation. Cependant, je ne réponds rien. Je suis, en fait, stupéfait car je la trouve sublime lorsqu’elle s’énerve.

Une fois mon entretien terminé, je suis congédié. Elle doit recevoir d’autres candidats.

Convoqué par cette femme dominatrice le lendemain matin

Quelques jour passent et toujours pas de d’appel de sa part.

Impatient de savoir si j’ai été choisi pour le poste, je décide de la rappeler.

Cette femme dominatrice me répond alors, d’un ton autoritaire :

• Sais-tu à qui tu parles ? C’est moi qui décide quand je vais t’appeler, est ce que c’est clair ?

• Oui.., répondis-je, d’une voix chevrotante.

• Bien, alors je te convoque dans mon bureau, demain matin, à 7h30, dit elle.

•  Oui ! » c’est tout ce que je réussis à lui répondre.

Je n’ose pas lui demander pourquoi aussi tôt ? L’entreprise ouvre à 8h30.

Enfin recruté! mais pour un poste de travail très particulier!…

Le lendemain matin, je suis, comme ordonné, dans son bureau à 7H30. Elle est sublime. Son pantalon colle sa peau,et ses formes sont resplendissantes.

Elle me dit,

• pas de travail pour toi dans la communication.

• je comprends.

• Maintenant, je veux te voir me supplier!

Et c’est la que je ne dis plus rien, je me prosterne et je commence à supplier sa majesté.

Le bruits de ses talons quand elle marche, m’excite. Elle me dit :

• Je pense qu’un autre poste te conviendrait mieux, celui d’être mon chien 24 heures sur 24. Aucune rémunération, aucune évolution dans l’entreprise, personne ne saura à quoi tu sers! Je leur dirai que je t’ai recruté en tant qu’employé polyvalent. Je remplirai ta gamelle quotidienne, tu ne seras pas sans domicile, et tu me serviras.

• Vous savez, c’est le poste que j’ai rêvé d’avoir dès la première fois que je vous ai vu.

• Bien, alors met toi au travail! Tu as une heure avant l’ouverture de l’entreprise pour me lécher les talons, nettoyer la table, me faire mon petit déjeuner et porter les cartons qui se trouvent dans ma voiture.

• Oui Maîtresse.

… »Jeune chien » pour une Maîtresse dominatrice

Je lui lèche les talons. Ensuite, elle me gifle car je l’ai regardé alors qu’elle m’avait interdit de le faire. Je lui demande pardon puis je continue de la lécher, encore, pendant une demi heure.

Une fois le travail terminé, je finis les autres tâches. Il est un peu plus de 8H30 et la plupart des employés sont arrivés. Tout le monde est surpris de me voir dans ce bureau, à une heure si étrange. Cependant, personne ne pose de question. Je me retrouve au dessus des autres car c’est, elle, la patronne et tout le monde lui obeit. Plus on obéit, plus on est élevé dans cette hiérarchie et je suis l’élu.

Je crois qu’elle m’a choisi car elle aime voir un corps aussi jeune et dynamique se prosterner devant elle et la satisfaire.

Je suis, ainsi, devenu un jeune chien pour une Maîtresse « cougar » et ce n’est pas plus mal. Ça fait trois ans que je suis dans cette entreprise. J’occupe toujours la même position.

Un petit conseil, si vous ne voulez pas vous faire virer, soyez aux pieds d’une patronne comme la mienne.