Un parfait soumis peut, parfois, perdre sa Maîtresse!(2)

Je m’offris, donc, à deux hommes sous les directives de ma Maîtresse. Cependant, ce soir-là, ma Maîtresse ne dirigeait pas trop. À voir le sourire de ma Maîtresse, j’ai su qu’Elle était heureuse et j’avoue que mois aussi. En effet, je m’étais bien amusé.

Sur le chemin du retour, pendant que je conduisais, je dis:

• Merci Maîtresse, je vous aime!

Elle m’ordonna d’arrêter la voiture et de venir de son côté pour lui donner du plaisir avec ma langue. Ensuite, elle me dit de me déshabiller puis elle me passa le collier et la laisse. Je me mis à genoux pour lui donner du plaisir. Enfin, j’eus le privilège de recevoir une douche dorée, là, dehors, à côté de la voiture. Ce soir-là, je partageai, même, le lit de ma Maîtresse. De plus, j’avais été libéré de la cage de chasteté afin d’être vidangé.

Quelques jours plus tard, nous étions à la maison tous les trois et ma Maîtresse avait pris un verre de trop. Soudainement, elle proposa un jeu. Je devais sucer Roger et le faire jouir, le plus rapidement possible. Comme nous avions tous un peu bu, Roger était resté à la maison. Secrètement, j’espérais que ma Maîtresse me permette de dormir avec lui car j’avoue que ce soir là, j’avais envie de lui. Mais non, je dus dormir aux pieds du lit de ma Maîtresse et Elle l’avait invité dans son lit. Je les entendis s’amuser. J’en eus les larmes aux yeux mais son bonheur passait avant tout.

À partir de ce jour notre relation se dégrada. Ainsi, elle devint, de plus en plus distante avec moi malgré que je fusse toujours autant amoureux. Roger s’occupait moins de moi car il s’occupait de ma Maîtresse.

Toujours prêt à tout accepter pour ma Maîtresse!

Un week-end, Roger était chez nous. Je venais de débarrasser la table et de démarrer le lave-vaisselle. Ma Maîtresse était dans le canapé avec Roger assis à ses côtés. Je pris place aux pieds de ma Maîtresse comme j’avais l’habitude de le faire. On commença à regarder le programme de la télévision puis ma Maîtresse parla avec Roger d’une aire de repos où il se passait des choses le soir.

Ils en avaient parlé déjà auparavant mais ce soir-là, ma Maîtresse était curieuse et voulait s’y rendre. Sans plus attendre, ma Maîtresse décida qu’on allait tous y aller pour voir. Je m’habillai car il ne faisait pas chaud. Lorsque, je me dirigeai vers la voiture pour prendre le volant, ma Maîtresse me dit:

• non, ce soir, toi tu voyages dans le coffre!

Je me retrouvai, donc, dans le coffre de la voiture. Ce n’était pas la première fois que je voyageais ainsi mais ce n’était, vraiment, pas confortable. On roula jusqu’à l’aire de repos de Vergèze. La voiture s’arrêta et après quelques minutes, le coffre s’ouvrit. Ma Maîtresse confia la laisse à Roger et lui dit:

• allez-vous amuser!

Ensuite, elle s’adressa à moi:

• Montre-moi comme tu es bien docile et que je sois fière de toi!

Sous la surveillance de ma Maîtresse, j’accompagnai Roger qui me tenait en laisse jusqu’à une table en bois d’aire de repos. Il me fit poser les mains sur la table, m’obligea à me cambrer puis il enleva mon pantalon. Enfin, il me titilla mon petit trou d’amour.

Je dois avouer que j’avais envie qu’il me prenne et c’est ce qu’il fit rapidement. Je sentais son sexe aller et venir en moi et je ne demandais que ça à ce moment-là.

Ma Maîtresse très fière de moi!

Trois ou quatre mecs étaient venus pour mater la scène et ils se masturbèrent.

Roger fit, même, signe à un gars de venir pour qu’il se fasse sucer. Deux  vinrent se faire sucer pendant que Roger faisait des vas et vient en moi. Roger finit par jouir en moi. Je sentis sa semence chaude couler à l’intérieur de moi. Les gars ont éjaculé sur mon visage.

Je suis retourné à la voiture, tenu en laisse par Roger. Je me suis approché de ma Maîtresse et j’ai déposé un tendre bisou à ses pieds en lui disant merci. Elle me dit qu’Elle était fière de moi puis elle me caressa la joue délicatement. En effet, il y avait encore du sperme sur mon visage qu’Elle prit au bout d’un de ses doigts avant de le glisser dans ma bouche.

Pour le trajet du retour Roger avait pris le volant et moi j’étais assis à l’arrière. Ma Maîtresse riait tout en me tenant en laisse. Ils se tripotèrent pendant, quasiment, tout le trajet. Une fois arrivés à la maison et après une bonne douche, nous nous couchâmes. Mon matelas aux pieds du lit de ma Maîtresse m’attendait. Bien entendu, ma Maîtresse et Roger passèrent la nuit ensemble. J’étais heureux de savoir ma Maîtresse ainsi ravie.

Au petit matin ma Maîtresse me réveilla par une caresse dans mes cheveux. Elle était là, sur le lit, nue, son visage respirait le bonheur. En fait, elle était radieuse, magnifique et avec un beau sourire. Elle m’ordonna d’aller préparer le petit déjeuner. Je revins dans la chambre avec le plateau du petit déjeuner. Ma Maîtresse dit à Roger:

• tu sais que soumis a envie de te sucer ce matin.

Finalement, ma Maîtresse me rend ma liberté!

Bien entendu, je m’exécutai sous l’œil de ma Maîtresse. C’est tenu en laisse que je fis du bien à Roger. Ma Maîtresse lui dit combien Elle était fière de moi pour ce que j’avais fait la veille au soir. Elle ajouta que maintenant j’étais prêt à faire plus.

Je savais que ma Maîtresse aurait aimé me voir au centre d’un glory hole. Elle me préparait petit à petit à cela. Ils avaient trouvé un centre sur Montpellier où cela était possible. Par amour pour Elle, je l’aurais fait mais nous ne sommes jamais allés en glory hole car nous nous sommes séparés avant. Cependant, je sais qu’Elle aurait aimé m’y voir faire des trucs sous sa directive, tenu en laisse.

Finalement, nous avons fini par nous séparer. Par amour pour ma Maîtresse, j’étais prêt à vivre une relation à trois mais Elle a préféré me rendre ma liberté pour vivre avec lui. En fait, c’est Roger qui n’acceptait plus cette situation et Elle avait préféré se séparer de moi. Je savais qu’Elle m’aimait et tenait à moi mais l’amour qu’Elle avait pour cet autre homme était plus fort.

Voilà pourquoi je dis que parfois il y a des risques dans la vie. Je sais bien que mon statut de soumis ne me permettait pas de dire « non » mais si j’avais fait en sorte de ne pas aimer une situation, sans doute que notre couple aurait duré plus longtemps.