Soubrettes mâle au service de jeunes dominatrices (17)

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Je suis, une nouvelle fois, brisé et je me résigne, rempli de honte, à rendre hommage à Mademoiselle Evelyne dans la posture requise.  Cela  parachève son triomphe! J’entends  un flot abondant de railleries entrecoupé des inévitables « pouffements » de rire des jeunes dominatrices, se concluant par une terrifiante perspective :

  • elle est vraiment trop bonne ma chienne, c’est pas une soubrette qu’il faut éduquer, mais bien une chienne! J’espère pouvoir convaincre Maîtresse Estelle de lui confectionner une petite niche bien douillette pour qu’elle puisse s’habituer à la position à quatre pattes.

Puis comme si cela n’était pas suffisant, elle complète, plutôt rectifie :

  • enfin, douillette, hum… ça dépendra du degré de satisfaction que tu me donneras, car je n’hésiterai pas à t’y enchainer pour la nuit, munie d’ un collier garni de pointes pour t’apprendre les bonnes manières !
    Alors c’est bien compris, ma chienne?

Et moi, ne trouvant rien d’autre à sortir que :

  • Waou, waou…..

C’était la déchéance totale!

Mes jeunes dominatrices de plus en plus audacieuses!

 

En fait, je n’aurais jamais cru possible de me prêter à ce spectacle aussi lamentable qui m’a encore abaissé d’un cran. De plus cette perte de dignité est scellée, désormais, par un acte signé, de reconnaissance de mon statut inférieur. Enfin, disons le mot, mais c’est dur à se l’avouer… je suis devenu leur esclave !

Je dois me faire à l’idée d’être livré, à tout moment, à des tourments, que je ne peux anticiper. A chaque humiliation, je suis toujours pris au dépourvu. Je crois que cela rend mes Maîtresses, ces jeunes dominatrices, à chaque fois plus hardies dans la poursuite de leur prise en main.

J’en ai l’illustration immédiate au terme de ma dernière épreuve. Ainsi, mes spectatrices ont loué ma prestation de chienne hurlante, avec de nombreuses railleries, ce qui leur procure une jouissance d’un nouveau calibre avec leur cobaye.

Et d’ailleurs, Maîtresse Jessica, qui a, pourtant, sérieusement, sermonné Mademoiselle Evelyne précédemment, pour ses impairs, tient à la féliciter.  En effet, l’initiative de Mademoiselle Evelyne, s’est révélée être très judicieuse. Ainsi, elle a réussi à mettre sa future recrue dans une posture très infamante.

  • Bravo ma chère, je suis désormais rassurée, ainsi que mes complices ,sur ta capacité à assumer le rôle que Estelle attend de toi!

Puis, dans la foulée, elle ajoute :

  • alors ma chienne, n’as-tu rien à dire, à ta bienfaitrice?

Le ton menaçant est sans équivoque. Ainsi, le fait de s’adresser à moi en tant que chienne n’est pas anodin. C’est avec une réaction toute » réflexe » canin ». Ainsi, je réponds par un simple aboiement. C’est comme si j’ai renoncé définitivement à mon enveloppe humaine !

Je me dis qu’au moins, j’en était terminé avec cet épisode très éprouvant.

Incapable d’honorer mes jeunes dominatrices comme il se doit!

 

Cependant, Maîtresse Anaïs, décidément insatiable, estime que ma réaction n’est pas à la hauteur de l’évènement!

  • Quand j’élève des chiennes, moi, elles doivent manifester leur joie d’une toute autre façon quand on les récompense!

Ensuit, elle enchaîne avec une nouvelle pique :

  • Même en tant que chienne, tu es incapable d’honorer tes Maîtresses comme il convient, quand elles te fournissent une occasion de te racheter de tes prestations passées! Que va t -on faire de toi?

Maîtresse Jessica, soupire, et elle adopte une attitude désabusée :

  • oui, ça va nous faire du travail plus que de raison. On a, vraiment, du pain sur la planche! L’idée du chenil suggérée par Evelyne, est certainement une bonne approche. Des « Maîtresse chiens  » spécialisées en dressage canin, seraient bien appropriées pour nous faciliter la tâche!

En attendant, Maîtresse Anaïs, émet l’idée d’affubler, au plus vite, la chienne d’un lourd collier pour qu’elle s’imprègne davantage de son identité de chienne et d’envisager des promenades nocturnes en guise de travaux pratiques.

Cette idée émise à haute voix arrive aux oreilles des deux autres jeunes dominatrices. Cela a pour effet d’interrompre l’agitation fébrile dans la pièce d’à côté. Elles se mettent à rire, ce qui n’augure rien de bon! Je me rappelle qu’il s’agit de l’élaboration du plan d’humiliation annoncé par Maîtresse Camille.

Nouveau jeu malsain et pervers!

 

Celle-ci semble très enthousiaste à cette idée. En effet, cela permet d’élargir la gamme de tourments en réserve pour une esclave en formation. Dans le même temps, par un concours de circonstance malencontreux ( pour moi), Maîtresse Nadia débusque une boîte enfouie dans un placard. Elle est pleine de balles de tennis. Ainsi, elle en extirpe une. Je comprends, immédiatement, ce qu’elle compte faire avec.

Et Maîtresse Nadia, prunelles étincelantes, balle à la main, la lance dans ma direction. Elle affiche un sourire narquois :

  • allez, ma chienne, va chercher la « baballe », et rapporte la à ta Maîtresse !

J’ai bien compris le nouveau jeu malsain et pervers. Cependant, je n’ai pas le réflexe de me précipiter pour autant. Ainsi, la balle rebondit sur le mur et est, ensuite, récupérée par Maîtresse Nadia. Elle ne semble pas du tout apprécier mon peu d’empressement à participer à cette nouvelle réjouissance. Elle gronde :

  • si tu oses me contrarier une nouvelle fois, je prendrai cela comme un affront caractérisé! Attends- toi à en subir des conséquences très très fâcheuses pour toi. Ainsi, je te promets un châtiment énorme comme tu n’en n’a pas encore reçu jusqu’à présent, et ce que tu as subi avec Maîtresse Anaïs te paraîtront de vulgaires caresses à côté!

Piquée au vif, d’être assimilée une simple dispensatrice de « caresses », Maîtresse Anaïs active, instantanément, sa cravache fétiche. Ainsi, elle me décoche un coup sur mon dos déjà bien zébré. Le bruit du claquement sur ma peau s’accompagne d’un hurlement que je ne peux réprimer.

Et Maîtresse Anaïs, fière d’elle, pointe son arme en direction de Maîtresse Nadia, provocatrice à souhait :

  • tu veux me défier dans cet exercice? c’est le moment, nous avons un super terrain d’exercice!

jeunes dominatrices

Réduit au statut de chienne par ces jeunes dominatrices

 

Inutile de dire que j’ai intérêt à couper court à ces surenchères désastreuses, entre rivales administratrices de châtiments corporels. Malgré la promesse de ce nouveau châtiment, je pointe mon museau suppliant. Ensuite, je me mets en position de départ, pour subir l’avilissante expérience imposée par Maîtresse Nadia. Cette dernière semble être toute à son triomphe de me voir revenir à plus de sagesse. J’ai, en effet, compris ce qu’il m’en coûterait de lui désobéir!

Ensuite, d’un regard malicieux et outrageant, elle tend son bras, prête à lancer son projectile.Moi, je me tiens prêt à lui rapporter dans ma gueule de chienne. Ainsi, j’étais devenu une simple chienne en l’espace de quelques minutes!

Je n’arrive plus à savoir quels sont, parmi tous ces jeux, les plus déshonorants! Cependant, je pense que ce dernier jeu est vraiment éprouvant, physiquement et moralement. Suivre les trajectoires de la balle, capricieuse à souhait, pour rapporter, ensuite, docilement à Maîtresse Nadia, la créatrice de cette mauvaise farce, est, réellement, épuisante.

A chaque retour, je dois « faire la belle, pour le plus grand bonheur des spectatrices. Ainsi, elles annoncent que je viens de découvrir ma nouvelle vocation, ce qui est pour moi une honte toujours plus vive.

Je me demande si je vais, enfin, bénéficier d’un moment de répit, dans cette avalanche de brimades outrancières. Cependant, je suis conscient que le plan de Maîtresse Camille, que je redoute au plus haut point, est toujours en gestation.

Humiliation publique toujours en préparation!

 

Cette dernière semble avoir la faculté de lire mes pensées. Ainsi, elle s’adresse à moi à point nommé, interrompant sa mystérieuse investigation qui l’avait éloignée du champ de courses!

  • je ne t’oublie pas delphine! C’est avec le plus grand soin que je prépare ton baptême pour une vraie humiliation publique absolument nécessaire pour te faire franchir un grand pas dans l’accomplissement de ton destin que tu as accepté de nous confier sans retour en arrière.
    Tu ne dois pas redouter cette épreuve, bien au contraire, car nous savons que c’est ce dont tu rêves depuis toujours! Voila que sur ta route ont surgi les bonnes fées, munies de leur baguettes magiques ( Maîtresse Anaïs croit bon alors de brandir sa cravache à cette simple évocation) nous te l’offrons sur un plateau.

Ces paroles proférées, doucereuses, à l’effet hypnotique m’étourdissent littéralement. Ainsi, je suis, tellement prostré et conscient que j’ai atteint le point de non retour que je suis pris de tremblements. Maîtresse Camille choisit, précisément, cet instant, pour étouffer toute divagation, en reprenant un ton plus péremptoire et en m’intimant fermement l’ordre de la suivre à quatre pattes vers les toilettes :

  • allez, delphine, j’ai besoin de me soulager, et je sais que tu seras ravie d’être à la disposition de ta Maîtresse !

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5 réflexions au sujet de “Soubrettes mâle au service de jeunes dominatrices (17)”

  1. Bonjour
    très joli récits ,bien écrit je me voyais ,tout en le lisant ,à la place du soumis
    impatient de lire une suite.
    Connaître , l’humiliation publique choisi ,le séjour au camp de vacances,et savoir jusqu’à point il va être une chienne

  2. Merci j’adore votre histoire. J’attends avec impatience que Maitresse Camille reprenne en main Delphine
    A très bientôt

  3. Bonjour,
    Il n’était pas question dans un précédent chapitre de lui faire porter une cage de chasteté ?

  4. Être un bon chien. Même ça, la plus part des mâles en sont incapables.
    L’idée d’un lourd collier et pourquoi pas cadenassé, est réjouissante.

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