Aux bons soins de Dame Houria!
Je restais trois heures ainsi momifié sur le lit, les intestins et la vessie prêts à exploser à tout instant et je désespérais de voir revenir Dame Houria, cette femdom impitoyable. Je l’entendais bouger en bas, elle semblait m’avoir oublié. Elle parlait beaucoup au téléphone mais ses mots n’étaient qu’un baragouinement incompréhensible. J’étais terrifié et perdu. Comment avais-je pu me laisser emprisonner de la sorte? Ce ne devait être qu’un jeu normalement et voilà que me retrouvais entre les mains d’une folle sans savoir ce qui allait m’arriver. Allait-elle me libérer à un moment et me laisser repartir chez moi ? Je commençais à en douter.
Au bout d’un temps interminable, j’entendis ses pas dans l’escalier et elle apparut de nouveau sur le pas de la porte, un mauvais sourire sur le visage.
-Alors ? Tu passes du bon temps ? : me lança-t-elle.
Dans le crissement de ses bas et les froissements de sa jupe trop serrée autour de ses cuisses et de son derrière imposant, elle vint s’asseoir sur le rebord du lit. Elle commença à faire pression sur mon ventre et ma vessie de ses deux mains en pratiquant un massage vigoureux.
Ce fut une explosion de douleur dans les entrailles. Je hurlais dans mon bâillon, me tortillant vainement sur le lit, pleurant comme jamais pour tenter d’attirer sa pitié. Mais cela ne fit qu’encourager dame Houria qui garda durant tout ce temps son regard malsain braqué sur mon visage, se repaissant de ma moindre mimique de souffrance.
Emprisonné dans ma combinaison de cuir!
Elle finit par s’arrêter, libéra mes pieds mais pas le reste, me laissant emprisonné dans ma combinaison de cuir.
-Tu vas aller te vider maintenant ! : me dit-elle. Je viens d’avoir Léna, elle revient avec une surprise pour toi et elle te veut en pleine forme pour ça. C’est dommage, si ça ne tenait qu’à moi, je t’aurais bien laissé mijoter toute la nuit comme ça !
Elle me plaça un collier autour de cou et y accrocha une laisse. Ensuite, elle m’aida à me mettre debout et me traîna derrière elle, jusqu’aux toilettes. Une fois assis sur la lunette, elle retira d’un coup mon plug d’urètre, m’arrachant au passage un hurlement de douleur puis le plug qui obstruait mon anus. Je me vidais alors à grand bruit sans aucune retenue dans un mélange de soulagement immense et de souffrance qui me laissèrent au bord de l’évanouissement. J’avais le cul et les entrailles en feu et je restais un long moment à gémir assis là sans pouvoir faire quoique ce soit d’autre.
-Quelle mauviette vraiment ! : se moqua dame Houria. Et ça se prétend soumis! Même pas capable d’endurer pour sa Maîtresse!
Dans l’attente de Dame Léna!
Elle me mena ensuite dans la salle de bain où elle me nettoya avec un jet d’eau froide puissant, prenant un malin plaisir à s’attarder sur mes couilles boursouflées.
Puis elle me ramena dans la chambre pour m’attacher de nouveau comme avant. Durant toute ce temps, je ne pus que subir, mes bras et tout le reste de mon corps étant toujours prisonniers de l’horrible combinaison.
Puis dame Houria s’allongea de tout son poids sur moi pour venir coller son nez au mien, un méchant sourire sur le visage. Et elle retira enfin mon bâillon.
-S’il vous plait arrêtez ! : m’empressais-je de lui dire. Ça ne m’amuse plus ! Je suis fatigué, je voudrais rentrer chez moi maintenant !
-TAIS-TOI ! : cria-t-elle aussitôt d’une voix dure. Léna m’a dit que tu étais partant pour un week-end sans limites et bien tu l’as et tu vas le subir jusqu’au bout. Maintenant garde la bouche ouverte.
Et elle me plaça un bâillon ouvert qu’elle bloqua tout au fond de ma mâchoire, m’empêchant ainsi de refermer la bouche.
-On va l’attendre maintenant. Elle ne devrait plus tarder. Après être resté aussi longtemps attaché, tu dois avoir soif non ?
Retour de Dame Léna!
Elle renifla, racla le fond de sa gorge et laissa tomber un long filet gluant dans ma bouche. Instinctivement, je tentai de détourner la tête mais elle me la maintint en place de ses deux mains, me forçant à avaler son crachat immonde. Et elle recommença, encore et encore, s’amusant follement de ce petit jeu.
C’est avec un immense soulagement que j’entendis enfin le gravier crisser au loin sous les pneus d’une voiture. Dame Léna était de retour et allait me libérer de cette folle.
Dame Houria se releva et obstrua ma bouche ouverte par une boule qu’elle fixa à l’aide d’une lanière derrière ma tête.
Puis elle quitta la pièce sans un mot me laissant seul, écoutant comme un fou le moindre bruit venant d’en bas.
Je les entendis se dire bonjour, de nombreux talons claquaient sur le sol.
-Mais elle est ravissante ! : s’exclama dame Houria. On va bien s’amuser je le sens !
De qui parlait-elle ? Qu’allait-il se passer ?
Dans l’attente de ma punition…
Les pas se rapprochèrent ensuite, montant les escaliers. Dame Houria réapparut suivie de dame Léna…
Et d’une jeune femme à la peau noire.
Elle était petite, 1,50 m pas plus, des cheveux longs jusqu’à la taille. Certes, elle était bien en chair mais sa taille était comprimée par un corset extrêmement serré qui faisait ressortir ses énormes fesses et des seins massifs, ces derniers tremblaient à chaque pas. Elle avait un visage joufflu et des lèvres très épaisses et surtout un regard terrorisé quand elle me vit allongé sur le lit, prisonnier de ma combinaison. Ses bras étaient maintenus serrés dans son dos dans une sorte de manchon en cuir qui lui remontait jusqu’aux épaules et elle portait des petites bottines lacées jusqu’en haut des chevilles par dessus des bas noirs très foncés.
Dame Léna la traînait derrière elle par une laisse accrochée à son collier.
Elle était sa prisonnière tout comme moi.
-Oh mais ne fais pas cette tête ! : la réprimanda dame Léna. Je t’avais dit que tu serais punie ! Et bien la voilà ta punition ! : dit-elle en me montrant du menton.
Qu’était-il en train de se passer ? Dame Léna ne m’avais jamais parlé de la présence d’une soumise !
-Elle déteste les hommes ! » dit Houria en me regardant. Elle n’aime que les femmes, alors forcément, elle ne s’attendait pas à en voir un ici aujourd’hui !
Puis elle se pencha vers moi pour me chuchoter quelques mots à l’oreille.
-Sa punition sera de la forcer à te donner du plaisir mais ne te réjouis pas trop vite, tu vas le payer chèrement après, je peux te le dire. D’une manière que tu n’imagines pas, je mouille déjà rien que d’y penser !
Mon cœur se mit à battre la chamade. Qu’avaient donc prévu ces deux femmes démoniaques ?
A leurs mines excitées, je compris que le pire restait à venir.
Magnifique !!
a quand la suite, l’attente est trop longue….