Mise à l’épreuve, par Madame, Maîtresse domina (10)

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Mise à l’épreuve, par Madame, Maîtresse domina (9)

Je ne vais pas céder maintenant, je veux réussir. Alors je hoche la tête, terrifié de voir autant de plaisir pervers dans le regard d’une si jolie jeune domina.

Durant de longues minutes, la jeune Sarah s’amuse à m’envoyer une quantité impressionnante de décharges, tantôt dans le gland, tantôt dans les couilles.

Je sursaute, je gémis, je serre les dents sur mon bâillon visqueux.

Mais je tiens bon, à aucun moment je ne demande grâce.

Torturé par Sarah, jeune domina impitoyable

Mon corps est couvert de sueur, mon cœur bat la chamade, je cherche dans les yeux de ma tourmenteuse la moindre lueur de pitié, je n’en trouve pas. Elle arbore au contraire un sourire de pur bonheur.

J’aperçois, Madame, ma Maîtresse domina, debout dans le fond, qui observe sans rien dire.

Je lui appartiens. Ne devrait-elle pas me prendre en pitié et lui demander d’arrêter ? Madame et sa poitrine affolante que je n’ai toujours pas vu, son visage racé et son regard bleu clair. Cependant, ma Maîtresse domina ne fait rien pour me venir en aide.

jeune domina

 

La jeune Sarah finit par abandonner la terrible télécommande puis elle entreprend de me marcher dessus. C’est un petit gabarit mais ses bottines s’enfoncent durement sur mon ventre. Je durcis mes abdominaux mais je peine à maintenir l’effort. Elle pose ensuite son pied gauche sur ma poitrine.

J’ai alors une vue imprenable sous sa jupe et son sexe glabre, sur ses jambes gainées de noir. Elle me piétine ainsi de longues secondes, parfois l’un de ses pieds vient écraser mon visage, elle appuie alors autant qu’elle le peut sur ma joue et ma pommette, m’imposant ainsi sa domination pleine et entière.

  • Es-tu prêt à me servir de WC ?

Transformé en gode vivant

J’hésite, elle presse son talon sur ma joue un peu plus fort. Je réponds oui du menton.

  • Tu es bien sûr ? Je te préviens, j’adore voir un homme se nourrir de ce qui sort de moi. Réfléchis bien avant de me répondre, si tu me dis oui, tu devras tout avaler, absolument tout.

Je sais que Madame continue de m’observer, si elle n’intervient pas, alors je dois accepter pour lui plaire.

Je hoche de nouveau la tête.

  • Même le vomi?

Quelle horreur ! Cette fille n’a effectivement aucune limite.

  • Mais c’est dégoûtant Sarah, s’offusque dame Lori, tu n’as quand même pas l’intention de faire ça au milieu du salon ? Moi je ne veux pas voir ça. Et puis je n’ai pas envie qu’il me lèche après ça.
  • Je passerais en dernière alors, dit-elle en retournant s’asseoir dans l’undes fauteuils.
  • A mon tour d’en profiter décrète dame Chantal.

Grande, blonde et vulgaire, elle s’approche et me retire le plug toujours planté dans ma bouche et le remplace par une sorte de bâillon.

D’un côté une boule qui me remplit la bouche et bloque mes mâchoires, de l’autre un énorme phallus noir qui pointe vers l’extérieur. Je suis alors transformé en god vivant.

Dame Chantal retire sa culotte, remonte sa jupe sur le haut des cuisses, dévoilant ainsi son sexe rendu humide par ma séance de torture et sans plus attendre vient se planter sur mon visage. Accroupie, elle s’empale sur le god et entreprend un mouvement de va et vient qui met à mal ma dentition.

Dame Chantal, une femme fontaine!

Elle n’a pas du tout le même gabarit que Sarah et n’a que faire de mon inconfort. Elle monte et descend à un rythme régulier sans cesser un seul instant de me fixer, goûtant sans doute un plaisir immense à voir ma frustration.

  • Excitez-le, demande-t-elle aux autres Maîtresses.

Dame Lori et Sarah ne se font pas prier. L’une entreprend d’agacer mon gland découvert à l’aide de ses doigts, l’autre à me pétrir les couilles.

Je grimace à la fois de douleur et de plaisir, le spectacle doit être fascinant, Dame Chantal semble s’en délecter tout en me chevauchant de plus belle. Mon visage ne tarde pas à être inondé de sa mouille.

  • Continuez les filles, j’adore le voir se tortiller.

Les diablesses s’en donnent à cœur joie. Je ne peux les voir mais je sens leurs doigts et leurs mains me faire vivre un enfer alors que le sexe luisant de ma cavalière s’ouvre et se ferme pile sous mon nez. Malgré la douleur infligée à mes testicules, mon sexe tente de se redresser, rapidement contenu par cette maudite cage.

Dame Chantal finit par jouir, je découvre alors qu’elle est une femme fontaine. Une série de jets s’échappe d’elle et me noie, s’infiltrant dans mes narines, coulant sur mes joues, mon menton, dans mes yeux.

Elle émet un long gémissement de satisfaction avant de se retirer.

  • Ah ben bravo, s’amuse Dame Lori, il y a partout sur le parquet maintenant.
  • Ce n’est pas grave, décrète Madame au loin, il va nettoyer tout ça avec sa langue.

Un simple objet entre les mains de ces dominatrices

Ces dames ne perdent pas de temps. Elles me retirent le bâillon-gode et basculent le banc sur lequel je suis attaché de manière à ce que je me retrouve face contre terre, le nez sur les tâches humides laissées par Dame Chantal.

  • Lèche, ordonne la fautive.

Je m’exécute, m’appliquant à ne rien laisser de suspect sur le parquet. On me bouge parfois pour m’orienter là où il est nécessaire d’agir. Je ne suis qu’un simple objet entre leurs mains, à peine mieux considérer qu’une serpillère.

Elles se moquent de moi, rigolent entre elles.

Cette soirée ne finira-t-elle donc jamais ? Jusqu’à quel point Madame veut-elle me mettre à l’épreuve ?

A suivre…

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