La soubrette mâle et ses jeunes dominatrices (20)

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Je savais pertinemment que le choeur enthousiaste regroupé autour de Maîtresse Jessica pour contempler les trouvailles exhibées lors de sa recherche d’accessoires punitifs visant à contrôler mes pulsions sexuelles jugées inconvenantes allaient me valoir de nouveaux moments difficiles, tant l’excitation de mes jeunes dominatrices était à son comble.
Une véritable symphonie criarde de rires, de gloussements. C’était à celle qui poufferait le plus, devant le tableau qui leur était présenté, une jubilation portant à croire qu’elles venaient de conquérir le Graal, version graveleuse. A cet instant, j’avais le son, mais pas encore l’image. En effet, j’étais cantonné dans un coin, à genoux. Je devais lécher mon radiateur mal dépoussiéré. Ainsi, j’étais trop loin du spectacle, pour avoir une vision précise de ce qui m’attendait. Cependant, je compris que Maîtresse Jessica ne s’était pas cantonnée au seul choix d’un dispositif de chasteté.  Il y avait toute une série d’accessoires qui défilait devant les yeux écarquillés des jeunes dominatrices qui découvraient, au fur et à mesure, les merveilles qui m’étaient destinées.

 

De jeunes dominatrices très excitées!

 

Je savais que cela faisait partie du jeu, de prolonger cette scène au maximum en me laissant cuire dans mon jus de frustration. Je ressentais une profonde inquiétude car j’étais laissé dans l’ignorance, comme si les actrices de la pièce m’avaient complètement ignoré. Jusqu’au moment où, l’une d’entre elles rompit cette ostracisation pour articuler à voix haute intentionnellement :

  • eh bien, on peut dire que notre delphine a été gâtée! J’espère qu’elle ne sera pas ingrate après tous les bienfaits dont on va la couvrir.

Puis une autre complétant :

  • oh, oui, parce qu’il faut admettre qu’avec ces joyaux, delphine va pouvoir vivre sa nouvelle condition avec beaucoup plus de confort!

Une troisième se mit à rire :

  • avec son lourd collier, scellant son appartenance à ses Maîtresses, et à porter en permanence, elle n’en sera que mieux installée dans son statut, et parfaitement adaptée aux promenades à quatre pattes.

C’était une première indication concrète ouvrant le bal d’un florilège de nouveaux attributs dont on allait m’affubler,-pour mon plus grand bien-être bien entendu- mais au demeurant pas vraiment explicités, pour mieux me maintenir dans l’expectative malsaine de devoir me confronter au pire. Je devais me contenter, si j’ose dire, de ces salves d ‘éclats de rire et remarques salaces pour mieux me préparer à la suite des évènements.

 

A genoux devant l’écran!

 

A force d’entendre toutes ces vociférations fusant de tous les côtés, j’étais déjà à moitié assommé et ce, avant même, de connaître la teneur des réjouissances. Cela n’échappa pas au regard toujours inquisiteur de ces jeunes dominatrices, prêtes à trouver n’importe quel prétexte pour aggraver mon sort. En l’occurrence, on me reprocha un manque de concentration sur mon travail de léchage qui devait se poursuivre jusqu’à nouvel ordre. Maîtresse Jessica tint à faire preuve d’un regain d’autorité. Ainsi, elle décréta, immédiatement, une punition appropriée à ce laxisme, et d’un ton coupant, elle rugit :

  • delphine, tu n’es même pas capable d’être coopérative quand on te propose une tâche capable de mettre en valeur  tes qualités et d’illustrer ta motivation à servir tes Maîtresses! Alors, comme je vois que tu sembles considérer que le léchage est indigne de toi, tu passeras cette nuit même, dans mon placard de rangement où je stocke toutes mes bottes et chaussures, pour un travail de léchage parfait de chacune d’entre elles. Quand je dis parfait, c’est sans équivoque. Tu auras 10 coups de « paddle » sur les fesses pour chaque tâche mal effectuée.

C’était la première fois que Maîtresse Jessica mentionnait l’usage d’un instrument de châtiment corporel. Ainsi, je commençai à me demander si toutes en étaient munies. En effet, jusqu’à présent, seule Maîtresse Anaïs en revendiquait ouvertement l’usage. Elle avait infligé de nombreuses meurtrissures à mon corps déjà fortement endolori.

Enchaînant sur la nouvelle sentence prononcée, Maîtresse Jessica poursuivit:

  • Maintenant, viens  ici en t’approchant, à genoux, de l’écran pour voir les merveilles qui te sont réservées!

 

jeunes dominatrices

Nouvelle étape dans mon asservissement!

 

Je mentirais si je vous disais que c’est d’une allure décontractée que j’allais affronter cette nouvelle étape de mon asservissement. Il est probable que mes rictus nerveux d’appréhension n’échappèrent pas à mes éducatrices, pour leur plus grande satisfaction. Ainsi, j’en eus pour preuve le rappel à l’ordre de Maîtresse Jessica qui manifesta sa vive impatience:

  • alors delphine, tu trouves de bon goût de te faire prier de la sorte?

Je compris qu’il ne fallait pas aggraver mon cas, mais trop tard! La cravache de Maîtresse Anaïs se mit une nouvelle fois en action pour ce nouvel écart. Je fus obligé de rester à genoux devant l’écran pour regarder les articles qui avaient été retenus pour ma future formation. En premier lieu, je fus invité à m’exprimer, en mode enjoué, sur ce qui constituait l’attraction du lot. Maîtresse Jessica, fière de sa trouvaille, se fit un plaisir de me présenter, comme on commente une oeuvre d’art:

  • Voila delphine, ce que j’ai jugé bon pour te prémunir de tes vilains et honteux penchants, qui souillent ton statut de soubrette soumise et docile. Il n’est plus question de tolérer l’existence d’un membre qui se veut encore viril et conquérant, alors que la situation impose impérativement de le neutraliser. Ainsi, je t’ai choisi cette belle cage en métal, dans laquelle sera emprisonnée, ta méchante queue.

A cet instant précis, comme j’étais en position basse par rapport à l’écran, la cravache exerça une pression sur le menton pour relever ma tête et l’ajuster convenablement, tout en la maintenant pour que je garde cette posture jusqu’au bout de la présentation.

 

De jeunes dominatrices très sadiques!

 

J’eus le malheur de prétendre que je n’étais pas assez haut pour bénéficier d’une vue correcte. Alors, sans sourciller Maîtresse Nadia se fit menaçante :

  • tu as raison delphine, tu vas te mettre debout, mais tu assisteras au spectacle sur un pied, c’est ça que tu préfères?

J’étais une nouvelle fois renvoyé dans les cordes, obligé de dresser la tête au maximum pour un surcroît de tension inconfortable. De plus, Maîtresse Camille apporta une pierre supplémentaire à l’édifice, au meilleur de son style goguenard revendiqué :

  • tu es bien dure Nadia! Je trouve que delphine est un peu basse pour une pleine jouissance de vision. Aussi, vais-je lui mettre cette règle en fer sous ses genoux pour la rehausser.

Du sadisme à l’état pur, cette façon cauteleuse et chattemite qu’elle avait pour systématiquement enrober ses punitions, les rendant plus cruelles.

C’était une nouvelle leçon pour moi. Il fallait s’abstenir de tout commentaire, car tout commentaire de ma part, aboutissait inévitablement à empirer la situation.

Je vis enfin l’objet et dans la foulée, la référence associée à l’article, intitulé  » les pointes disciplinaires  » au titre déjà suggestif, ce qui me fit frissonner d’effroi.

 

Découverte de la cage de chasteté qui m’est destinée!

 

Maîtresse Jessica attendit de constater ce spasme dans mon visage, conjugué à son expression qui ne laissait aucun doute sur la contrariété qui m’habitait pour me gratifier de sa visite guidée:

  • voila, delphine, comme tu vois, cette jolie cage métallique est adaptée au maintien des règles très strictes nécessaires à ton éducation.  Toutes tes Maîtresses sont unanimes sur la question. ainsi, elles approuvent mon choix. Ces pointes que tu vois permettent d’augmenter le contrôle sur tes pulsions sexuelles. Elles sont faites de plaquettes de verrouillage soudées au premier anneau de tube, dans lesquelles se logent trois vis de sécurité, constituant les pointes. Donc ces pointes limitent les possibilités de retirer ta zigounette du tube de la cage. Je te préviens qu’il te faudra apprendre à te contrôler car sinon au bout de quelques heures, ça sera très douloureux car elles feront effet, progressivement, alors qu’au début tu ne les sentiras pas beaucoup.
  • Je suis certaine que tu apprendras vite, et si tu es sage on pourra parfois enlever les pointes sans avoir besoin d’enlever la cage, car tu peux déjà te faire à l’idée que cette cage tu vas devoir la porter sur de longues périodes. Ainsi, il faudra l’unanimité de tes Maîtresses pour qu’elle puisse être enlevée. Donc à toi de leur donner entière satisfaction pour t’en libérer pour de courtes périodes, jamais plus, je ne te le cache pas. C’est la meilleure façon de te préparer à ta future condition, celle dont tu as toujours rêvé sans vouloir l’avouer, ni l’admettre. Ainsi, maintenant, c’est scellé delphine, alors qu’est ce qu’on dit, pour ce somptueux cadeau?

 

Nouvel affront de la part de mes jeunes dominatrices!

 

Je n’étais pas surpris de ce nouvel affront, mais je le redoutais malgré tout. En effet, je savais ce qu’on attendait de moi en cette circonstance, et c’est accablé que je me résolus à marmonner:

  • Je vous remercie Maîtresses de votre bienveillance en me fournissant les moyens de ne plus succomber à mes honteuses manies .

 

  • Oh, comme elle est mignonne susurra Maîtresse Nadia! Cela serait encore plus adorable que tu nous l’écrives à chacune d’entre nous, 50 fois par exemple, et de ta plus belle plume!

 

Elle ajouta la précision suivante:

  • delphine, je suis pour l’école à l’ancienne, et que tout texte écrit de ta main devra être rédigé à l’encre, et gare aux taches. Si tu es une souillon, je t’accroche ton papier au dos avec la mention « SOUILLON A PUNIR » bien visible en rouge. Ensuite, je t’envoie chez tes autres Maîtresses pour que chacune d’entre elles te donne le châtiment de son cru, que tu mériteras.

 

Une fois cette diversion effectuée, on me somma de continuer la visite, car Maîtresse Jessica en avait profité pour faire des emplettes supplémentaires d’ accessoires qui lui paraissaient indispensables pour assurer ma formation, et qui avaient provoqué l’enthousiasme collectif dont j’avais été témoin précédemment.

J’avais donc encore tout à craindre de la suite, et si j’ose dire je ne fus pas déçu!

Découverte des autres accessoires destinés à ma formation!

I

l y avait différents types de chaînes, et des barres d’écartement. Maîtresse Jessica en bonne pédagogue m’expliqua ce qu’il en était, mais toujours sur un ton doucereux et railleur à la fois.

  • delphine, regarde cette petite chaînette, fixée aux chevilles, elle entravera ta marche normale. Trop lourde, elle t’obligera à faire des petits pas plus dignes d’une démarche de soubrette. Les grosses chaînes, c’est pour certaines punitions à genoux au coin. En effet, j’ai remarqué que jusqu’à présent, tu ne savais pas bien te tenir correctement dans cette posture de punition, donc ces chaînes sous tes genoux te rappelleront à l’ordre.
    Il faut que tu t’entraines à servir devant une assemblée féminine qui exigera ta présence, chaussée de très hauts talons, aussi voila deux magnifiques paires d ‘escarpins au rouge très vif qui seront assorties avec le maquillage de rigueur. Cette palette de maquillage fera l’affaire pour tes débuts.

Je frémis devant ces talons aiguilles à hauteur vertigineuse, ce que détectèrent évidemment mes spectatrices, qui sans vergogne affirmèrent que la première paire de 12 cm était raisonnable pour un apprentissage. Alors que dire de l’autre?
Le plus grave était qu’elles étaient munies de petits cadenas. La Maîtresse seule avait la clé pour les ôter selon son humeur, et donc jusqu’à mes chaussures mon asservissement me serait signifié à tout moment.

Puis j’eus la vision de ce collier déjà évoqué, qui était à la hauteur de ce que je pouvais craindre. Il avait été choisi parmi les plus lourds, assez protubérant pour laisser la place aux inscriptions qui allaient y être gravées de façon à être visibles sans effort.

 

Un collier pour montrer mon appartenance aux jeunes dominatrices!…

 

C’est ce que m’expliqua Maîtresse Jessica, toujours aussi facétieuse:

  • il te fallait un modèle permettant de bien montrer au monde extérieur, qui tu es! Aussi, seront portées les marques suivantes que j’ai décidées  » DELPHINE SOUMISE AU SERVICE DE SES MAITRESSES PROPRIETAIRES JESSICA NADIA CAMILLE ANAIS  » . Dès possession de ce collier, tu iras à la boutique pour la mise en oeuvre. Comme tu porteras déjà sur ta blouse les inscriptions de Maîtresse Nadia, la patronne de la boutique, une amie, comprendra tout de suite ce dont il s’agit.

Maîtresse Camille, tout en continuant à ruminer son plan d’humiliation publique, sauta sur l’occasion pour suggérer que la tenue de soubrette rose serait particulièrement appropriée en la circonstance, ce qui fut salué par une nouvelle salve d’applaudissements.

  • Il va sans dire que tu porteras quasiment en permanence ce collier ajouta Maîtresse Jessica. Il y a un dispositif de verrouillage pour le maintenir qui sera à notre discrétion. Comme tu le vois, il y a des endroits prévus pour y accrocher des laisses et des chaînes. En effet, les laisses seront utiles pour t’initier à la marche à quatre pattes et à apprendre à faire la belle chienne, quand nous déciderons de t’attribuer ce rôle. Si tu ne jappes pas correctement, on adaptera des chaines plus lourdes et plus strictes pour parvenir à un résultat acceptable. On peut y adapter 4 laisses en même temps, ainsi on pourra jouer avec toi toutes ensemble et….

 

Elles ne perdirent pas cette nouvelle occasion de s’esclaffer!

…et un baillon-boule-balayette très particulier!

 

Je fus presque soulagé que l’on ne m’imposât pas une nouvelle manifestation d’approbation reconnaissante pour ce nouvel attribut. Cependant, Maîtresse Jessica fit dérouler l’écran, en quête de son nouvel objet de prédilection dont elle semblait avoir perdu la trace.

Je vis au passage défiler des tas d’accessoires, tous aussi impressionnants les uns que les autres. Je me demandais si cette recherche n’était pas simulée pour que je puisse à chaque nouvel objet de l’écran imaginer qu’il pourrait être joint à ma panoplie déjà grossissante. A cette vision, je n’en menais pas large. Peut-être était ce un piège tendu par ces jeunes dominatrices aux aguets pour détecter une répulsion de ma part et ensuite  me l’imposer?

Avais-je vu juste?

Car devant un bâillon singulier sur lequel s’ajustait une petite balayette sur la boule obstruant la bouche, et qui me mit en émoi, comme par hasard Maîtresse Jessica dit en souriant :

  • Voila enfin ce que j ‘essayais de retrouver! Vois-tu delphine, une soubrette soumise n’est pas autorisée à parler sans la permission de ses Maîtresses. Cependant, par mesure de précaution, la pose d’un bâillon permet de s’en assurer! Plus il est serré, plus la soubrette se fait obéissante. Cependant, ici c’est encore mieux car ce bâillon boule est aussi un ustensile de travail puisqu’il remplace le balai !

 

Ménage à quatre pattes lors de ma formation!

 

Alors, pour confirmer mes craintes à la contemplation de cet inquiétant accessoire, Maîtresse Camille fit l’ingénue en questionnant son amie :

  • mais Jessica, cette courte balayette, ne peut remplacer réellement un balai que si on se met à quatre pattes pour faire le ménage?

Celle-ci astucieusement crut bon de ne pas répondre, laissant l’initiative à Maîtresse Nadia qui feint de rectifier le tir en s’écriant:

  • enfin, le ménage à faire à quatre pattes ça fait partie de la formation de base d’une bonne soubrette, pas vrai?

Et elle éclata de rire ensuite. Enfin, elle tendit le témoin du relai à la dernière comparse, la « cravacheuse » en herbe qui renchérit en affirmant que c’était un article absolument indispensable pour accomplir ce genre de tâche ménagère avec perfection. En s’adressant à la fausse naïve, elle minauda:

  • si tu n’en n’est pas convaincue, je te fais une démonstration en faisant faire à delphine le nettoyage complet de la cage d’escalier de mon immeuble affublée de ce sublime outil de travail.

Il ne restait plus qu’à-retour à l’envoyeur-de clore le débat par la concession sournoise de Maîtresse Camille à son amie:

  • mouais, le maniement de la cravache fait également des miracles, n’est ce pas?

Après ce simulacre de questionnement sur ce bâillon-boule-balayette, plus que jamais destiné à m’enfoncer dans mon infortune, je compris à quel point la perspective à venir était peu réjouissante. Malheureusement, la coupe n’était pas encore pleine.  En effet, ces demoiselles craquèrent devant un plateau qui s’accrochait sur la servante, à l’arrière du cou. Ce plateau permettait de porter des repas et des boissons aux jeunes dominatrices, qui se servaient directement. La soubrette, quant à elle restait à genoux, à disposition tout le temps nécessaire. Elle était figée comme pouvaient l’être les meubles de la pièce.

 

…Et enfin, une cravache, modèle haut de gamme!

 

Enfin pour parachever le tout, chacune eut le droit de se choisir un article pour sa collection personnelle. Sans surprise, Maîtresse Anaïs choisit, pour sa collection de cravaches, un modèle haut de gamme en terme d’impact sur un corps à meurtrir.

Maîtresse Nadia fit de même avec une nouvelle canne anglaise qui manifestement, était son instrument de prédilection. Ensuite, c’est sûre d’elle qu’elle affirma que son modèle serait adapté aux corrections les plus sévères.

Maîtresse Camille qui jusqu’à présent ne semblait pas manifester d’un engouement marqué pour les châtiments corporels et qui me laissait espérer un choix moins redoutable, ne m’offrit pas l’adoucissement espéré. Bien au contraire, elle jeta son dévolu sur un fouet à longues lanières, qui lui permettrait de perfectionner avantageusement le maniement de ces redoutables instruments de discipline. Elle révéla, par la même, qu’elle n’était pas novice et pas uniquement versée dans les activités de Maîtresse lubrique qu’elle avait présentées jusqu’à présent.

Fières et excitées par leurs acquisitions, les trois jeunes dominatrices prièrent celle qui n’avait pas formulé de voeu de se mettre à l’unisson pour se joindre à la fête et de clore en un grandiose bouquet final.
Quel allait être le choix de Maîtresse Jessica, en tant que leader apparent du groupe des jeunes dominatrices, allait-elle marquer le coup et surenchérir sur toutes ses partenaires éducatrices?

J’avais beau avoir été sérieusement malmené pendant cette chasse au trésor, mais je ne pouvais que stresser plus que jamais,  quand je vis le regard malicieux de Maîtresse Jessica, pointé vers ses copines complices. Elle affecta la retenue de celle qui n’osait pas assumer son choix, en sollicitant l’approbation collective. J’étais déjà résigné à encaisser un énorme coup sur mon être cabossé de toutes parts.

 

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1 réflexion au sujet de « La soubrette mâle et ses jeunes dominatrices (20) »

  1. Un grand merci pour cette suite que j’attendais avec impatience.
    Tout est en place, le dressage de Delphine va pouvoir commencer.
    Je suis impatient de le lire.
    Je suis sûr que Maîtresse Camille va se révéler une vraie dominatrice gynarchique comme je les aime douce, tendre et sévère.
    Delphine va aller copier ses pages et j’espère que son humiliation publique va commencer.
    Merci pour cette belle histoire. À très bientôt.

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