Manu et l’examinatrice dominatrice SM de son concours (2)

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Ces phrases sonnaient en moi comme le glas de ma liberté. Je sentais bien qu’il me fallait faire d’urgence de grandes concessions pour sauvegarder mes rêves de grandeurs qui devaient passer par une de ces écoles dans lesquelles elle pouvait par de simples coups de fils à des associations féministes me rendre la vie impossible. Je devais lâcher du lest, et vite ! Il fallait me présenter à ses yeux pour parlementer, tout en gardant un statut le plus faible possible, et surtout, le faire fissa avant que cette jeune dominatrice SM ne me demande de sortir, clouant ainsi mon avenir à la croix des suppliciés.

 

Prêt à tout pour obtenir la clémence de cette jeune dominatrice SM

dominatrice SM

 

Une seule option se présentait à moi, et je me faufilai sous le bureau, me présentant face à ses escarpins.

  • Je vous en prie Madame, je ne voulais pas me montrer blessant ni vous offenser. La situation m’a dépassé!

De son pied droit, elle me rejeta, une expression de dégout sur son visage auréolé de la lumière surgissant de la fenêtre. Je ne me laissai pas faire et je m’emparai de son pied. Enfin en aplatissant mon front sur le sol, je déposai son pied sur le sommet de mon crâne.

 

  • S’il vous plaît, je, je, je ferai ce que vous voudrez, mais s’il vous plaît, ne me condamnez pas à ça, tout mais pas ça, j’ai tout fait pour arriver dans ces écoles d’excellences, je ne saurai pas me relever de cela.

 

  • Tu es misérable, m’insulter puis réclamer ma pitié ? Tu crois peut-être que j’ai oublié ce que tu m’as dit l’année dernière sur les mégères de la République ? J’ai rêvé toute l’année à te donner une bonne leçon, et maintenant que je te tiens en mon pouvoir je devrais renoncer ? J’ai toujours voulu me venger une fois pour toute de ces mâles insolents de Science Po et toi, petite pourriture tu crois que tu vas t’en tirer ainsi ?

A ces mots, elle m’attrapa par les cheveux d’une main, et de l’autre me pinçant les joues avec ses ongles coupants, elle déclara :

  • Ainsi, tu ne souhaites pas être puni de cette manière, alors si ce qui se passe entre nous doit rester secret, je tiens à en profiter un peu. Je vais réfléchir à un châtiment plus adapté à un rat de ton style, et d’ici à ce que je te rappelle pour te l’infliger, je vais te laisser un petit souvenir pour que tu ne m’oublies pas !

 

Ma punition : avouer devant la caméra mes méfaits!

 

Ses ongles pénétrèrent ma chair et je sentis le sang perler sur ma joue. Je ne gémis pas, ne voulant pas rajouter cela à mon humiliation. Elle reprit la parole en sortant son portable sans me lâcher les cheveux.

  • Voilà pour que tu te rappelles de ton méfait. Maintenant, c’est à toi de me laisser un petit souvenir. Je veux que tu me racontes comment tu viens de te comporter comme un salopard et quelle petite pute tu es. Cette vidéo me servira juste à te rappeler tes engagements, si je voulais t’exposer je n’aurais qu’à le faire maintenant.

Voyant que j’hésitais, elle me tira les cheveux en arrière, me forçant à pencher ma tête et à entrouvrir ma bouche. Elle rit de mon regard apeuré avant de me cracher au visage.

  • Dépêche-toi petite pute, avant que je ne change d’avis, dit-elle, implacable.

Ce fût, ainsi, que moi, fier étudiant masculin, ne reconnaissant pas les femmes comme des êtres aussi intelligents que les hommes, je me retrouvai à genoux, avec des marques d’ongles ensanglantées sur les joues, de la bave sur le front. Une main me tirait la tête en arrière en menaçant de m’arracher des cheveux. De plus, j’étais sur le point de me faire filmer en train de dire des choses que je n’aurais jamais imaginées dire en entrant dans la pièce.

Mais, et cela était clair, cette femme dominatrice SM me tenait pour ainsi dire par « les couilles » et j’avais l’impression de bien m’en tirer en évitant l’opprobre publique. Je ne pensais pas trop aux conséquences. Prenant mon courage à deux mains, je décidai de faire face à cette douloureuse situation en donnant à ma tortionnaire ce qu’elle désirait.

 

Début de l’enregistrement de mes aveux.

 

La lampe de son téléphone venait de s’allumer, signalant que cette jeune dominatrice SM filmait.

  • Dis bonjour sale déchet!, dit-elle

 

  • Bonjour, fis-je d’un ton gêné.

 

  • Présente-toi la « fiotte », réclama-t-elle, sans pitié.

 

  • Je suis ******** ******, étudiant en classes préparatoires littéraires dans le lycée ***** ** à Paris.

 

  • Dis ce que tu viens de faire!

 

  • Je viens d’insulter une gentille femme et me montrer irrespectueux envers elle.

 

  • Dis ce que tu rêves de faire pour te faire pardonner, petite merde

 

  • Je ferais tout ce que vous voudrez, j’espère tant que vous me pardonnerez

 

  • Dis leurs que tu es ma chienne

 

  • Je suis sa chienne, dis-je, ces mots sortant avec peine de ma bouche, tant ils me coûtent.

 

  • C’est tout ? Demanda-t-elle en me tirant les cheveux d’un coup sec
  • Je, je suis sa petite chienne, je ne suis qu’une petite merde, je ferais tout ce qu’elle veut.

 

Scène très humiliante pour moi, face caméra!

 

Elle me cracha à nouveau au visage, et, espiègle, enfonça le clou, enterrant ma fierté d’un coup, six pieds sous terre.

  • Dis que tu aimes ça!

L’ordre fusa. Paniqué et sous le choc, j’obtempérai.

  • J’aime ça.

Elle n’avait pas l’air convaincu, et me tirant à nouveau les cheveux d’un coup sec, elle m’ordonna :

 

  • Mieux que ça!

 

  • J’aime quand vous me crachez dessus, dis-je, au bout de moi même, au bord des larmes.

 

  • Demande moi de le faire!

 

  • Crachez moi dessus Madame!

 

  • Supplie moi!

C’en est trop, une larme coula sur mon visage.

  • S’il vous plaît, crachez moi dessus!, arrivai-je à articuler, en regardant vers le bas.

Cela ne fût pas assez pour cette dominatrice SM. Ainsi, elle m’asséna, alors, le coup de grâce en tirant mes cheveux si fort que mes larmes coulèrent désormais drues.

  • Je le ferai si tu me le demande en regardant l’objectif !

Rassemblant mes dernières forces, je posai mon regard baignés de larmes sur l’objectif et déclarai:

 

dominatrice SM

 

  • Je vous en prie, crachez-moi dessus Madame!

 

  • Voilà la vraie pute que tu es, répliqua-t-elle avant, enfin de me cracher dessus et de couper l’enregistrement vidéo.

 

Fin de la vidéo mais début d’une relation très particulière…

 

Elle relâcha enfin sa prise sur mes cheveux. A peine avait-t-elle fait cela que je m’effondrai au sol, en pleurs.

  • Pas besoin de te sécher le visage, dit-elle, il fait si chaud que cela va s’évaporer tout seul. Je vais te laisser mon numéro. Je veux que, ce soir, tu m’envoies une vidéo de toi en train de te masturber, nu, en disant que tu es ma chienne. Comme cela, je suis vraiment sûre que tu m’obéiras par la suite. Tu étais le dernier oral de la journée, alors tu peux prendre ton temps pour te remettre de tes émotions dans la salle. Je vais te laisser, j’ai à faire. Je compte sur ta discrétion pour que cela reste entre nous, dans ton intérêt.

J’avais appelé mon professeur, pour lui dire que, malheureusement, je m’étais planté à cet oral, et que cela remettait sans doute, en question mon admission qui nous semblait acquise. Je rentrai dans le domicile vide de mes parents, partis en vacances en Corse, le cœur gros. Je dois cependant reconnaître que les instructions que j’avais reçues m’empêchaient de m’effondrer totalement.

Voilà le récit de ma déconfiture aux oraux de l’ENS, qui furent un point de bascule fort, précipitant mon arrivée à Sciences Po et ma volonté de présenter l’ENA, ce pourquoi je travaillais en cette soirée de vacances avec mon ami Sébastien. Mais cela, vous vous en doutez, ne s’est pas fait sans que Madame ne joue un rôle la-dedans.

Laissez-moi vous le raconter…

 

A suivre

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