Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate!(4)
Hier, j’étais encore un homme normal, avec un travail, quelques amis, une épouse que je croyais fidèle. En une nuit, tout mon univers a changé. Je me réveille au pied du lit conjugal, nu, avec une haleine épouvantable. Je recolle lentement les souvenirs de la veille. Déesse Jessica, mon épouse dominatrice, est déjà partie, j’en profite pour filer dans la douche et me laver les dents. Je m’habille ensuite rapidement pour partir au travail, et, une fois prêt, j’en profite pour envoyer un message à mon épouse.
– Bonjour ma chérie, quelle soirée ! J’espère que tu as bien dormi ! Je pars au travail, je t’aime.
Satisfait, je m’apprête à quitter notre appartement quand je reçois sa réponse cinglante de mon épouse dominatrice.
– Il me semble avoir été claire hier soir. C’est DÉESSE JESSICA. Tu ne mérites plus de me tutoyer. Et je me moque de ton emploi du temps.
– Pardon Déesse Jessica.
– Nous en reparlerons ce soir. N’oublie pas de passer faire tes emplettes.
– Bien sûr Déesse Jessica.
– Tu m’enverras des photos pour que je valide.
– Oui Déesse Jessica.
Visite à l’animalerie pour faire des emplettes!
Quelques heures après, je profite de ma pause déjeuner pour me rendre dans une animalerie. Gêné, je me faufile dans les rayons, quand une belle vendeuse d’une trentaine d’années, perchée sur ses Converses et engoncée dans une mini-jupe en cuir, s’approche de moi.
- Bonjour Monsieur, je peux vous aider ?
- Je cherche… c’est pour notre chien, nous voudrions acheter une laisse, ainsi qu’une gamelle.
- Je vois, quelle est la race du chien ?
- Euh… un chien de bonne taille.
- Vous ne connaissez pas la race ?
- Un golden, c’est un golden.
Je n’ai pu m’empêcher de rougir et la vendeuse m’a jeté un regard de biais, comme si elle avait déjà tout compris. Mais sans doute que je me fais des illusions !
- Suivez-moi, je vais vous emmener dans le bon rayon.
Je suis ma vendeuse dont je peux contempler, de dos, la magnifique paire de fesses. C’est bien ma veine d’être tombé aujourd’hui sur une femme aussi belle. J’aurais préféré un vieux vendeur pas sympathique qui aurait expédié ma vente. Nous arrivons enfin devant le rayon des laisses.
- Voici tous nos modèles, Monsieur, il y en a un qui vous plaît particulièrement ? Ou vous voulez peut-être demander conseil à votre épouse ?
- Pardon?
- Vous aviez l’air d’avoir oublié la race de votre chienne… j’en ai déduit que c’était celle de votre épouse…
- Je… oui de toute façon je dois l’appeler…
- C’est une chienne n’est-ce pas ?
Démasqué par la jeune vendeuse, super sexy!
Cette fois, je suis tout rouge.
- Je… oui c’est une chienne.
- Je suis vraiment trop forte ! Ben alors appelez-la !
- Oui… oui bien sûr.
Je prends mon téléphone. La vendeuse a l’air de beaucoup apprécier la situation. Je fais quelques pas pour m’éloigner mais elle me suit. Je sens qu’elle veut écouter tout ce que je dis.
- Oui chérie je… (…) Chérie, c’est juste que je suis dans un magasin et… (…) Oui, oui, bien sûr. Bien sûr, Déesse Jessica. (…) C’est une vendeuse oui. (…) Je vous la passe.
La vendeuse est hilare. Elle me regarde en répétant « Déesse Jessica ! » quand je lui tends le téléphone.
- Bonjour Madame ! (…) Je vois, je vois.
Pendant qu’elle parle à Déesse Jessica, la vendeuse me fait de plus en plus de sourires. Je ne sais plus où me mettre et me demande si je ne devrais pas m’enfuir. Mais Déesse Jessica ne me le pardonnerait jamais. Soudain, la vendeuse éclate de rire.
- C’est parfait, je vous envoie des photos alors ! (…) Très bien merci.
La vendeuse raccroche et revient vers moi, tout sourire.
- Votre épouse m’a autorisé à choisir le modèle qui me semblait le mieux convenir.
- Ah, c’est sans doute mieux ainsi.
Sur les conseils de mon épouse dominatrice…
Elle s’approche des rayons, attrape trois modèles de laisse, deux en métal et l’autre en cuir, et des colliers de bonne taille.
- Suivez-moi…
- C’est-à-dire ?
- Eh bien il faut les essayer vous ne pensez pas ?
- Je…
- Vous préférez que je la rappelle pour qu’elle vous le dise elle-même ?
- Non, non, surtout pas !
- Alors suivez-moi.
Que faire ? Où suis-je ? Qu’est-ce que je deviens ? Que me veut-elle ? Nous traversons la boutique, elle en profite pour attraper deux modèles de gamelle de bonne taille, jusqu’à une petite remise dont elle referme la porte à clé derrière nous. Du matériel est entreposé un peu partout. Elle allume les lumières.
- Déshabillez-vous!
- Pardon?
- Bon vous n’allez pas jouer à l’idiot toute la journée… déshabillez-vous ! Maintenant ! À POIL !
…essayages dans la réserve, nu et sous les ordres de la jeune vendeuse!
Elle a haussé le ton. Je l’ai regardée un instant, terrifié, avant de m’exécuter. Ainis, je me retrouve nu devant elle. Elle me jette un regard plein d’amusement et de désir.
- Eh bien vous bandez ? C’est moi qui vous mets dans cet état-là ?
- Je… non je suis désolé Mademoiselle, mais…
- C’est intéressant. Mettez-vous à genoux.
- Oui.
- Appelez-moi Maîtresse Lucie!
- Oui Maîtresse Lucie.
- Voilà, à genoux chienne !
Je me mets à genoux devant elle. Elle s’approche et vient me mettre quelques coups sur les fesses.
- Votre épouse dominatrice a beaucoup de chance d’avoir une chienne comme ça. Bien entretenue, du muscle, et là… mmm ça m’a l’air vierge ça ? dit-elle en passant un doigt sur mon anus.
- Oui, Maîtresse Lucie.
- Ça ne le sera sans doute plus très longtemps. Allez, tu bouges plus.
Elle me fait essayer les différents colliers, prend une photo de chaque essai avec mon téléphone et parsème chacun de ses gestes de commentaires.
- Mmm il est pas mal celui-là. Relève la tête ? Pas mal… Bouge la tête ! Voilà, gauche droite maintenant… Pas mal. Tire la langue ! Mains relevées ! Voilà super.
Envoie des photographies des essayages à mon épouse dominatrice!
Une fois les essayages terminés, elle envoie toutes les photographies à Déesse Jessica.
- On va attendre son verdict, je ne peux pas décider pour elle !
- Très bien, Maîtresse Lucie.
Je reste nu, à genoux, un collier autour du cou. Et une érection terrible. En attendant la réponse, Maîtresse Lucie me regarde, puis vient se mettre debout juste contre moi.
- T’es une belle chienne comme ça. Frotte-toi un peu contre ta Maîtresse.
Elle m’attrape par les cheveux et me fait frotter le visage contre sa mini-jupe. Ce qui, bien sûr, redouble mon érection. Ma queue glisse le long de ses jambes, elle l’enserre entre ses mollets, vient caresser mes couilles avec ses Converse. Au même moment, mon téléphone sonne. C’est un appel FaceTime de Déesse Jessica. Maîtresse Lucie décroche et je découvre ma Déesse, plus belle que jamais, dans son bureau.
- Bonjour, je vous appelle pour le test, ce sera plus simple… vous pouvez le promener pour que je voie ce que ça donne ?
- Bien sûr Madame, répond Maîtresse Lucie d’une voix enjouée.
- Je vois que cette chienne est en train de bander ?
- Oui, il bande depuis qu’il est entré ici…
- Ça ne va pas du tout, ça…
- Déesse je peux vous…
- FERME-LA toi ! Personne ne t’a autorisé à parler et encore moins à bander ! À quatre pattes maintenant, ton cul de pute bien relevé, et marche !
Surpris et inquiet devant l’autorité naturelle de la jeune vendeuse!
L’autorité dont elle a fait preuve m’a fait trembler. Je me mets à quatre pattes, relève les fesses au maximum en cambrant mon dos.
- Promenez-le avec le gros collier en cuir et la laisse en or.
- Bien Madame!
Maîtresse Lucie commence à me faire faire des tours de la remise pendant que j’entends les commentaires humiliants qu’elles partagent.
- Je ne sais pas, je trouve que l’or est un peu too much non ?
- Vous préférez que j’essaie le cuir ?
- Non, je pense que je préfère la laisse en métal argenté. Le collier est très bien en revanche… on le fera graver.
Maîtresse Lucie fait le changement. Mon épouse dominatrice apprécie.
- Parfait ! Il fait très pute comme ça vous ne trouvez pas ?
- Oui, une sacrée pute même…
- Où en est sa queue?
Maîtresse Lucie se penche pour m’observer.
- Toujours bandée, Madame.
- On va arranger ça, je peux voir les gamelles ?
- Voici.
- La bleue et blanche est très jolie, on va pouvoir la tester, vous avez quelque chose à lui faire boire ?
- Il n’y a malheureusement pas de robinet dans cette remise…
- C’est embêtant… j’ai bien une idée mais…
- … j’ai bien compris votre idée et je pense qu’elle est excellente ! En revanche si ça ne vous dérange pas, je suis assez pudique, je préfère ne pas faire ça devant vous.
- Bien sûr, de toute façon mon assistante doit me rejoindre, rappelez-moi quand vous serez prêts tous les deux pour que je puisse faire mon choix définitif.
- Parfait, Madame!
Maîtresse Lucie raccroche. Elle me tient toujours par la laisse mais c’est comme si je n’étais déjà plus un humain à ses yeux.
A suivre
Etre rééduqué par son épouse fait partie des plus belle chance d’un soumis.
nous ne sommes que des chiens. notre rôle est de servir les Femmes.
Quand une Epouse accepte son mari comme soumis, Elle lui fait un énorme cadeau. Elle lui laisse l’opportunité de Lui apporter du plaisir au quotidien.
j’espère que ton collier te vas bien orfeo. tu as beaucoup de chance.