Deshumanisation d’un homme soumis (7)

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Déshumanisation d’un homme soumis par sa Dominatrice (6)

 

La petite échoppe de tatouage s’appelait étrangement « Le cercle gris ». Une jeune femme très Dark Punk accueillit ma Maîtresse d’un grand sourire. Elles se firent la bise et discutèrent quelques instants. La jeune femme m’indiqua du doigt une porte et je la franchis, me retrouvant devant un siège très « gynéco »… Elle dit juste « à poil » pour que je me retrouve nu, assis les jambes écartées.

Installation d’une puce, d’un collier, d’une cage de chasteté…

Mes bras, mes jambes, mon torse et ma tête furent immobilisés par de simples bandes Velcro.

  • Tu n’as pas prévu de changer ça ?, dit la jeune femme en montrant ma cage, c’est très amateur.
  • Si tu as ce qu’il faut en stock, autant y aller, ce sera fait, tu la scelles bien sûr.
  • Elle a l’air petite, pas sûr que j’aie. Elle ne va pas manquer à grand monde celle là! Je vais regarder. Et le poids aux couilles, c’est un 900g c’est ça ?
  • Oui quand elles seront descendues de quelques centimètres, on ajoutera 3 ou 400g.
  • tu veux que je le sécurise quand même ? c’est ta marque de dressage ça hein ? les sous merdes avec les couilles au niveau des genoux…
  • Oui si tu peux le sceller… tu sais bien que ça m’amuse…
  • OK pas de problème. Bon, puce, tatouage, collier, boucle et cage si j’ai, c’est ok pour toi ?
  • Oui parfait!
  • Tu repasses d’ici deux, trois heures ? si j’ai fini, je le mets dans la cage, là.
  • Avec plaisir… tu as son matricule ?
  • Oui oui… ta demande était bien faite, dit elle sur un sourire.

Ma Maîtresse partit et la jeune femme me bâillonna, sans me regarder une fois.  Je n’avais rien d’humain à ses yeux. J’étais juste un mâle soumis de catégorie E, autant dire rien.

Elle commença par ajuster le collier qu’elle souda. Je ne ressentis qu’un peu de chaleur. Elle étais très professionnelle. Ensuite, elle en profita pour souder mon poids. Là, je fus sérieusement brûlé et je criai sous le bâillon sans qu’un seul de ses sourcils ne bouge. Elle enleva ma cage. Je sentis l’air sur ma queue.

…Tatouage de mon matricule d’homme soumis

Son seul commentaire audible « vraiment petite, pfff »… Elle joua un peu avec mon pénis, pas au mieux de sa forme, et lui lança « prêt pour ta prison à vie petit vers ? » et elle rit toute seule.

Plus tard, elle s’absenta et revint quelques minutes plus tard. Ma pauvre queue fût comprimée dans un tube recourbé qui la plaqua entre mes jambes. Elle la fixa, je ne sais comment. Je ressentis plusieurs douleurs vives sans comprendre ce qu’elle faisait. Elle avait un peu de sang sur ses gants et mon pénis me lançait. J’avais conscience que cela scellait ma vie sexuelle d’homme soumis dans l’oubli perpétuel.

Elle perça mon oreille droite et posa une boucle que je ne vis pas et enfin rapprocha le matériel de tatouage. Enfin, elle tatoua mon matricule d’homme soumis à l’intérieur de l’avant-bras droit, bien visible et pas du tout discret. Elle continua en faisant un autre tatouage sur l’épaule gauche et un dernier derrière l’oreille en remontant vers le crâne. Je ne risquais pas de l’oublier ou quelqu’un de se tromper.

Elle repoussa le matériel de tatouage et se mit devant son ordinateur. Elle pianota un moment et inséra un truc style grain de riz dans un petit boitier, pianota encore et sortit le grain de riz. Ensuite, elle se dota d’un appareil étrange relié à un système pneumatique, y inséra le grain de riz.

Elle posa ma main à plat, la fixant de quelques sangles et appuya l’appareil sur le muscle entre le pouce et l’index puis appuya sur une gâchette. Je sentis une perforation mais rien de très douloureux. Elle mit un petit pansement, juste pour éviter que je mette du sang partout j’imagine.

Ensuite, elle approcha son téléphone de ma main et j’entendis un « bip ». Elle regarda son téléphone, satisfaite.

Récupéré par ma Maîtresse

homme soumis

Après, elle me détacha et me prit par le collier pour me faire pénétrer dans une cage au sol où je tenais à peine à quatre pattes.

  • Brave bête !, fut son seul commentaire.

Ma Maîtresse vint me rechercher bien plus tard et me ramena, apparemment satisfaite.

Je finis mes dalles, pressé par quelques nouveaux coups de cravache. Le collier à mon cou entrait dans ma vie, pas douloureux, juste présent, présent jusqu’à la fin de mes jours. Etrange sensation.

Le soir, je pus me reposer aux pieds de ma Maîtresse tandis qu’elle mangeait. Puis elle m’installa, allongé sur le dos, la tête entre deux coussins du canapé, renversée. Elle s’assit sur moi, me laissant à peine respirer et je passais la soirée à lécher la raie de ses fesses et son anus. J’apprenais le goût âcre d’un anus que je connaîtrais sous peu par cœur.

J’étais apaisé, la mâchoire douloureuse, la langue exténuée mais apaisé car je me sentais à ma place de mâle soumis, enfin.

Le lendemain, après un nouveau petit déjeuner de pisse aux céréales, je nettoyais de nouveaux les dalles de l’entrée. Les mains encore attachées, la serpillère immonde, Sysiphe et sa brosse à dent. A midi, je finissais les dalles, fier de moi. Je ne fus pas puni.

Je servis de tabouret au repas de midi et j’eus le droit à quelques restes.

  • C’est assez étrange, tu es vieux, mais tu t’imprègnes de ta nouvelle vie d’homme soumis à une vitesse surprenante. Ce devait être en toi depuis si longtemps que ton cerveau intègre tout cela comme si c’était évident. Je vais accompagner le mouvement.

Elle n’en dit pas plus. Je passais l’après midi à lessiver à la main ses dessous délicats, à faire le ménage de la chambre de manière conventionnelle (avec les mains !), puis de la salle de bain.

Annonce d’un séjour de trois semaines dans une ferme pour moi

En fin d’après-midi, ayant terminé la dernière tâche qu’elle m’avait confiée, je vins me mettre à ses pieds.

  • Tu es chanceux, j’ai pu avoir une place à la ferme pour la fin de semaine. Tu y resteras trois semaines. Je pense que tu y laisseras le peu d’égo qu’il te reste et que tu reviendras avec une augmentation significative de tes compétences de base. Il y avait de la place pour le stage « toilettes ». On en profitera pour réduire encore ton coté humain, il y a un chenil avec de beaux dogues allemands.

Je ne compris pas tout, mais toilette sonnait comme urinoir.

Je passais de nouveau la soirée à lécher le cul de ma Maîtresse, soirée parfaite pour ce que je devenais. Mais me posais-je vraiment la question ?

Mon rythme de travail s’accéléra chaque jour un peu plus. Levé dès cinq heures, je travaillais jusqu’au moment où je pouvais lécher son cul pendant qu’elle lisait ou regardait un film. Lorsque ma langue peinait, quelques coups de cravache sur les couilles compressées par le poids venaient la réveiller et lui redonner de l’ardeur. Si ma pauvre queue se rabougrissait dans sa cage, nul doute que ma langue se renforçait un peu chaque jour.

Le vendredi arriva très vite.

Je retrouvais un moment les habits de l’humain, même si mes habits d’esclaves, cage, plug, poids, collier ne me quittaient pas.

Elle me donna un billet de train et je partis à pied à la gare Montparnasse. Ses recommandations furent sommaires.

  • On t’attendra à la gare d’arrivée, tu obéis et tout ira bien. En revenant, tu seras moins humain et ta vie sera plus simple.

Emmené avec deux autres soumis…

Je m’étonnais de marcher seul dans la rue, d’aller prendre le train, comme un homme normal et non comme un homme soumis.

A la sortie de la gare, une petite gare de campagne, un fourgon attendait. Une femme avec un panneau « E24K273 » à la main attendait. Je la rejoignis et je n’eus pas besoin de parler. Elle ouvrit l’arrière et je me retrouvais avec deux autres soumis, déjà nus, à quatre pattes et attachés par le coup à une chaîne.

Son seul commentaire fût:

  • à poil et comme eux!

Il ne me fallut qu’une seconde pour enlever chaussures, pantalon et pull qu’elle fourra dans un petit sac poubelle avec une étiquette et mon matricule inscrit dessus. Une chaîne fut cadenassée à mon collier et le fourgon s’ébranla. On aurait dit une bétaillère.

Moins d’une heure après je pense, il s’arrêta et la porte arrière s’ouvrit. Notre conductrice détacha les chaînes et nous nous retrouvâmes dans l’herbe devant une bâtisse longue avec de nombreuses dépendances.

Une autre femme vînt scanner ma main, me passer une laisse dans le collier puis elle me tira. Je la suivis, pas habitué à marcher à quatre pattes sur un sol inégal et naturel.

J’entrai dans une dépendance de la grande bâtisse carrelée de blanc. Cela ressemblait à un cabinet de vétérinaire, avec cages, ustensiles médicaux et une femme obèse en blouse blanche.

  • Véro, c’est le remplaçant de la sous merde qui vient de caner… tu t’en occupes ? Sonde, et traitement PREP et anti-urée.
  • Avec plaisir… on va enfin avoir un urinoir utilisable !

Mon instinct ne m’avait pas trompé, j’allais ingurgiter.

…dans une ferme spécialisée dans la déshumanisation de mâle soumis

Je reçus plusieurs piqûres tandis que la docteure m’expliquait…

  • Le PREP, c’est au cas où, mais comme tu vas lécher et ingurgiter beaucoup de fluides, tu dureras plus longtemps. L’anti-urée c’est pour limiter la dégradation des tes capacités intellectuelles dues à l’urée. C’est à effet limité, mais ce serait bien que tu continues à comprendre les ordres qu’on te donne, sinon, tu ne sers déjà pas à grand-chose.

Puis elle inséra une sonde avec difficulté dans ma queue encagée qu’elle laissa pendre dans le vide. Enfin, elle prit une bombe aérosol de peinture et dessina un énorme WC sur mon torse et je suppose la même chose dans mon dos.

Elle me sortit et attacha ma laisse à un anneau, me laissant seul dehors, comme un chien abandonné.

Je vis entrer et sortir d’autres « choses » à quatre pattes. Leurs seuls points communs étaient le collier et la tenue, tous étaient nus. Certains étaient couverts de marque de coups, d’autres avaient la queue qui pendouillait quand certains n’avaient juste plus de queue, ou d’autres encore plus de couilles. Aucun ne bronchait, parfois, quelques cris de douleur s’échappaient de la pièce à coté.

Je fus récupéré par une autre femme que je n’avais pas encore vue qui m’amena dans la grande bâtisse. Des sous hommes briquaient le sol à quatre pattes, d’autres soumis servaient de porte manteau. Je montai à l’étage et entrai dans de vastes toilettes carrelées.

Installé pour devenir un urinoir humain

Je m’agenouillai sous la pression de la femme dans un trou carré contre un mur. Cela mettait ma bouche sans doute au niveau souhaité. Le tuyau de la sonde fut enfoncé dans un trou au sol. Mon collier fût relié à une chaîne très courte qui me laissait à peine bouger tandis que mes mains furent attachées au mur dans mon dos, limitant encore mes possibilités de mouvement.

Ensuite, mon gode fût enlevé sans précaution, remplacé par un tube fixé au mur, d’un diamètre plus gros, ce qui provoqua quelques larmes. Mon bas ventre était ainsi quelque peu mis en avant.

Des pinces, comme celles pour manger les escargots furent posées sur chacune de mes couilles et reliées par des fils électriques à un bornier au mur. Des électrodes furent aussi posées sur chacun de mes tétons et je sentis qu’elle farfouillait derrière moi avec d’autres fils.

Elle se recula pour contempler son « œuvre » d’un air très professionnel.

  • Bon, très bien. C’est simple, très simple, même pour une sous merde de soumis comme toi. Un humain vient devant toi, il souhaite soit uriner, soit se faire lécher quelque part, soit se faire sucer. Donc tu bois, tu lèches ou tu suces. Si tu hésites, laisses fuiter de l’urine ou autre fluide, lèches mal, suces mal, tu te prends des décharges dans les couilles, les tétons ou le cul. Le goût, l’odeur, l’état de propreté, l’âge de l’humain, son apparence ou autre n’ont aucune importance. Tu ne cries pas, tu ne parles pas. Tu ne penses pas. Tu peux pisser quand tu veux.

Fin des explications.

Première Dominatrice à uriner dans ma bouche!…

soumis

Elle s’approcha, retroussa sa jupe et, ne portant pas de dessous, approcha sa chatte rousse de ma bouche. J’ouvrais et la pisse afflua dans ma bouche, me faisant tousser et m’étouffer. Elle arrêta d’uriner, tandis la main vers le mur et mes couilles furent broyées par une décharge électrique. Je hurlais et recevais en prime une gifle monumentale.

Je pleurais, incapable de penser, de savoir quoi faire pour que tout cela s’arrête.

Elle me laissa me calmer quelques instants.

  • Bon. C’est normal. Tu vas merder pendant quelques jours. Tu vas donc avoir très mal. L’astuce est de recourber la langue pour que le jet, s’il est puissant, ne vienne pas taper le fond de ta gorge sinon tu tousses, tu t’étrangles. Mais il faut quand même avaler rapidement sans fermer la bouche. Tu n’y arriveras pas tout de suite. On est une vingtaine ici, dont quelques grandes buveuses d’eau ou de tisane, donc tu vas pouvoir beaucoup t’entrainer, ne t’inquiètes pas !

De nouveau, elle s’approcha  et je tentais de briser le jet et d’avaler, mais une partie du liquide m’échappa. Elle continua quand même, me laissant avaler ce que je pouvais, je ne toussais pas…

A la fin, elle me regarda et appuya sur un autre bouton pendant cinq secondes, juste le temps pour mes tétons d’avoir l’impression qu’on les arrachait à vif. Je criais, incapable de rester silencieux à cette torture. Deux gifles magistrales vinrent clore la discussion puis la femme s’en alla tranquillement.

Mes couilles en feu, mes tétons tétanisés, mes joues rouges et le goût, l‘odeur de la pisse partout sur moi. Je réalisais à cet instant que ma Maîtresse m’avait dit « trois semaines ».

…puis plusieurs autres femmes

Ce fût la docteure qui vint ensuite. Je devais rapidement apprendre que c’était une des plus grosses buveuses mais aussi une des plus grosses vessies de l’équipe. Elle n’était pas non plus rasée, très poilue et sentait la sueur.

J’ingurgitais autant que je le pouvais, j’évitais de tousser mais ne put tout boire, mon corps se couvrait de pisse et c’est mon anus, cette fois ci, qui prit une décharge hallucinante. Pour se faire « pardonner » de m’avoir fait mal, elle « m’autorisa » à lécher son énorme cul, se reculant sur mon visage pour l’enfouir totalement. Je léchais longtemps, ma tête et ma langue tirant sur la chaîne pour pouvoir lécher partout cet énorme cul. Elle ne s’arrêta que lorsqu’une autre femme arriva, à priori très pressée… je bus encore, à la limite de vomir et commençait moi-même à uriner, mon ventre gonflé de toute cette pisse.

Evidemment, encore des fuites, la décharge revint à mes couilles, pas encore remises…

Je ne sais combien de litres je bus ce premier jour. Le soir venu, j’étais exténué et une femme vint me passer au jet d’eau glacé, cela me fit malgré tout du bien.

Mon ventre allait exploser, je le sentais ballonné, énorme, j’avais envie de vomir en permanence.

On finit par me détacher et je repartais tant bien que mal à quatre pattes. Je regardais au sol et sentis bien tôt l’herbe sous mes mains. Je fus enfermé dans un enclos grillagé. La femme qui m’enferma me dit juste…

  • Essaie de dormir. Si tu te laisses faire, ça ira plus vite, ils sont dressés pour ça, ne leur en veux pas. Et après tu pourras dormir un peu.

 

Puis elle partit.

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