Fête gynarchique du Nouvel An au domaine
Par un froid canadien et une neige abondante; je passais ma 1ère fête gynarchique du Nouvel An, aux pieds de mes Maitresses, dans ce domaine réservé exclusivement dédié aux plaisirs et bien-être de la femme, qu’elles soient dirigeantes, féministes ou gynarchique et où l’homme n’a sa place que tenu en laisse et à leur service.
Ainsi, entre 25 à 30 femmes étaient attendues ; ainsi que 5 soumises et 8 esclaves à leur service pour fêter la soirée du nouvel An.
Au programme de la soirée, il y avait :
- – Concours de danse en couple (Maitresse-Esclave)
- – Concours de dressage présentation d’esclave/soumises
- – Le tir des 12 coups de minuit
- – Concours de body painting sur thème imposé
- et pour finir, bataille de boules de neige et vin chaud
Les préparatifs
Le matin du 28 décembre, un camion arriva avec du mobilier en prêt. Maitresse Sandy, m’ordonna de m’habiller chaudement afin d’aider à décharger le matériel et autres décorations; ainsi que les tables, bancs et fauteuils avec mes deux compagnons prêtés par leurs Maitresses pour l’occasion.
Sous la direction de Maitresse Maylee, toujours de mauvaise humeur et de ses coups de cravaches, nous avons démonté les panneaux en bois amovibles de séparation entre le bar, et la salle de dressage. Ainsi, nous devions faire une grande salle avec un podium d’animation et placer 7 tables tout autour.
De chaque côté du bar, nous avons positionné 2 plateaux ronds (serre cou), fixé chacun par 4 chaines fixées au plafond. Cela permettait à un esclave « menotté à genoux » d’avoir sa tête au milieu du plateau. Ainsi, sa bouche pouvait servir de cendrier, crachoir, vide bouteilles ou poubelle de table. De plus, pour les esclaves mâles les testicules était attachées et fixées entre 2 planchettes. Ainsi la femme pouvait marcher dessus. La douleur nous faisait ouvrir la bouche.
Le jour de la fête gynarchique du Nouvel An, vers 16 heures, la plus grandes partie des soumises et esclaves était arrivée au domaine. Les esclaves étaient pris en charge directement par Maylee qui était responsable de la préparation des animations de la soirée. Solveig devait s’occuper avec les Soumises de préparer le buffet canadien.
La tenue de soirée
Juste avant la soirée du 31, Maitresse Solveig m’ordonne d’aller sous la douche puis une fois terminé, de mettre les main sur la tête. Elle effectue une fouille corporelle pour voir ma propreté, puis elle décide de m’épiler le sexe à la cire chaude. Maitresse Maylee, gromnèle dans son coin avant de me dire :
-ce soir tu coucheras avec ta maitresse Sandy petit connard insignifiant !
Une fois le supplice de l’épilation terminé, Maylee me jète les habits au visage et m’ordonne de m’habiller. J’enfile un short doré avec des lacets sur les côtés, une paire de babouches dorées, une cravate blanche ainsi que des gants blancs.
Quelques petits ajustements de mon sexe dans le short sont nécessaires car il a tendance à dépasser. Maitresse Maylee fixe mon collier en le serrant fortement autour du cou, puis le ferme avec un cadenas. Ensuite, elle procède au maquillage des lèvres et de mes joues puis elle épile les sourcils pour me rendre plus féminin.
Maylee a pris une cocarde avec le numéro 6, et une épingle à nourrice dans sa main. Après un moment de réflexion et un petit sourie en coin, elle décide de me le fixer sur mon téton du sein gauche.
Elle prend beaucoup de plaisir à me faire souffrir en perçant à plusieurs reprises mon téton pour le fixer. Lorsque que la douleur devient trop forte, je tombe. En effet, je n’ai pas l’habitude d’être percé à vif ainsi.
Après m’avoir autorisé à m’assoir 5 minutes, pour retrouver mes esprits, Maitresse Maylee m’ordonne de me rendre dans la salle pour servir. Je suis, en effet, préposé entièrement au service de la table N°6, une table pour 4-5 personnes.
La soirée du nouvel an
A 20 heures, toutes les invitées sont déjà arrivées. Les soumises esclaves sont dirigées dans une pièce pour se mettre en tenue de service. Je dois servir le champagne de bienvenue. Dans le même temps, les femmes doivent tirer au sort le numéro de la table dans l’un des chapeaux. Elles peuvent choisir le chapeau blanc si elles désirent être servies par une soumise ou le chapeau noir pour avoir un esclave mâle à leur table. En effet, jusqu’à minuit 15, il n’y a pas de limite à l’utilisation de l’esclave/soumise. Dès minuit, l’esclave est libre de joindre la fête gynarchique pour le reste de la nuit.
Après un discours de bienvenue de la présidente puis de ma Maîtresse, le repas et les festivités peuvent commencer. L’alcool, bière, vin, champagne coulent à flot, au rythme de la musique et des stripteases improvisés mais aussi des concours de danses et scènes de dressage/obéissance et présentation de l’esclave/soumis.. . L’alcool est compris dans le prix de la soirée.
Deux heures plus tard, à la fin du repas, la fête a littéralement éclaté. Les femmes se sont totalement lâchées. Ainsi diverses scènes, très « Hard » ont eu lieu lors du Concours de danse et de de dressage, sous les encouragements et applaudissements des femmes.
Les plaisirs de ses dames
Ainsi à la table 3, la soumise a été mise à genou sur la table. Les maitresses de la table ont introduit le goulot de la bouteille de champagne débouchée dans l’anus de la soumise. Elles l’ont ensuite secouer fortement jusqu’à ce qu’elle supplie d’arrêter ce supplice. Sous les rires et applaudissements, la soumise a couru aux toilette avec le seau à glace entre ses cuisses; ce qui lui donnait un démarche plutôt cocasse.
A la table 1, les 3 femmes on décidé que l’homme serait un crapaud. Après l’avoir mis nu, elles lui ont attaché les membres de manière à limiter ses mouvements. Ainsi, il ne pouvait marcher que difficilement et accroupi, telle une grenouille. Ensuite, elles lui ont attaché les testicules avec une longue lanière afin de le trainer de table en table. Comme il ne bronchait pas, elles l’ont basculé sur le nez. Elles ont pris une longue bougie qu’elles ont beurré pour lui l’enfoncer dans l’anus avant de le remettre debout, tout en l’humiliant à fond.
Dans ma tête, je me demandais déjà à quelle sauce j’allais être servi. En effet, les 4 jeunes femmes étaient très complices et surexcitées avec une imagination débordante. De plus, elles étaient aussi bien alcoolisées. Ainsi, elles me disaient toujours :
-tu es trop appétissant, tu finiras dans l’assiette mon chou.
Dans le même temps, elles m’introduisaient des glaçons dans mon short et en tapotaient sur mon sexe pour me faire bander. Cela donnait l’impression aux autres que j’avais fait pipi dans mon froc. Cependant, minuit approchait et j’ espérais passer entre les gouttes.
Mon cauchemar de la soirée du nouvel an
Sur un morceau de U2, les femmes de ma table, se sont levées. Elles ont commencée à danser entre elles gracieusement; avant de me faire des signes de venir sur la piste de danse.
La danse langoureuse et gracieuse s’est transformée en une sorte danse burlesque de viol, humiliante. Ainsi, elles ont coupé les lacets de mon short pour me l’arracher et le jeter dans le public. Ensuite, elles m’ont prise par la cravate, et je suis passé d’une fille à l’autre. Les autre filles se transformaient en furie. J’ai eu le droit à des fessées, griffures, morsures des fesses, des tétons ou du pénis, une cigarette écrasée sur mes testicules. Elles ont versé de la cire de bougie bouillante sur mes seins pour coller des objets puis enfié des carottes et haricots dans mon anus. Elles ont fait rire toutes les invitées et esclaves/soumises compris.
A la fin de la musique, les filles m’ont ramené à la table par la cravate, tel un sac de patates, sous les ovations du publique. Elles étaient devenues les reines de la soirée. Encouragées par la foule, l’une d’elle proposa un pari et demanda :
-selon vous, combien de temps faut t’il pour faire pleurer un esclave Mâle résistant ?
Les réponses variaient entre 45 à 120 minutes ! Les paris étaient ouverts à 5$ par personne. La foule était très enthousiaste. Après concertation entre elles et au bout de 10 minutes, les filles ont annoncée :
-moi je vous parie que l’esclave, ici présent, pleurera avant minuit, soit dans moins de 25 minutes.
Le pari des sœurs
Avant que je n’ai eu le temps de dire ouff, j’étais menotté et bâillonné avec ma cravate. les filles ont approché 2 tables puis la foule m’a littéralement soulevé et allongé dessus. Ensuite, elles m’ont immobilisé et attaché. Je sentais les mains de la foule qui me touchait les diverses parties de mon corps. En effet, les filles étaient très intéressées par l’anneau qui était fixé à mes testicules ainsi que par la plaque accrochée à collier, où il était écrit « Lickerdog, your pussy cleaner« .
Puis la fille a dit :
-il me faut une bougie d’anniversaire ou un cierge fin et un peu d’huile ou beurre. Elle a allumé une cigarette et m’a regardé en disant :
–Je t’avait dit que tu finirais dans mon assiette !
Mon téton saignait et me faisait souffrir, suite au traitement subi lors de cette danse. La fille me regarda dans les yeux puis mon téton. Tout en amusant avec la cocarde, et dit :
-Mmme tu souffres mon chou ?
J’ai fait non de la tête par habitude puis elle a répliqué d’une voix ironique ;
–tu vas pleurer mon chou et me supplier à genou ! Tu ne veux pas que je perde mon pari nooo ? .
Ensuite, elle a versé du champagne sur mon téton tandis qu’elle le tournait et tirait dessus.
L’une des soumise présente s’est exclamé :
–regardez la pauvre petite chose, elle se retire dans sa coquille !
Elle parlait de mon sexe puis elle a enfilé 2 doigts dans mon anus et m’a massé. Ensuite, elle a pris mes testicules dans la bouche pour les sucer et les lécher, ce qui m’a fait à nouveau bander.
Dilemme « pruneaux ou saucisse »
Dans le même temps, l’autre fille, après avoir enlevé la cocarde, dit ironiquement :
–mesdames s’il n’a plus son numéro, on n’aura plus de serviteur à notre table! ; je propose de le remettre, mais où?, il n’a plus un morceau de tissu sur lui !
Puis elle se tourne vers ses amies et dit : «
-Mesdames, je propose au choix ; les pruneaux ou la saucisse?
A l’unanimité, la foule a crié :
–la saucisse ! la saucisse !
La fille a répliqué avec humour :
-saignante ou bien cuite? On va se la faire médium, une bougie svp !
Je transpirais comme une bête. J’étais transit de peur car je ne pouvais ni bouger ni parler. Les 4 filles n’avaient plus de limites sous l’emprise de l’alcool et de leur popularité !
Après avoir pris le cierge et versé de l’huile dans mon canal du sexe, elle a enfoncé le cierge, ce qui était déjà douloureux. Pire encore, elle y a mis le feu et la cire a coulé dessus. Ensuite, l’autre fille a pris la cocarde et a piqué à travers le dessus du sexe et la bougie. Cependant, cela ne lui plaisait pas. Après plusieurs tentatives, mes larmes coulaient abondamment et mon corps s’est mis à sangloter.
Les 4 jeunes femmes se sont misent à jubiler. Elles ont réussi leur pari en 20 minutes. Une fois détaché de la table, elles m’ont ordonné de me mettre à genou sur le podium, à côté d’elle. Je devais les supplier publiquement d’arrêter puis de faire le tour des tables sur les genoux afin de demander pardon à toutes les femmes présentes qui ont perdu leurs paris. Ainsi, je devais embrasser leur pieds sous les rires et moquerie de la foule.
Les 12 coups de minuit
Chaque table a reçu un seau d’eau avec 12 éponges végétales. Les esclaves soumises étaient alignées dans la salle de dressage, dos au le mur avec une ardoise de type pour jeux de cartes. Chaque ardoise était numérotée de 1 à 12 à la craie et était attachée autour du cou. Une grosse ligne jaune avait été tracée au sol à 3 mètres des esclaves.
Le jeu consistait à essayer d’effacer le numéro sur l’ardoise correspondante au gong de la radio. Chaque table avait un coup par ardoise, bien entendu le plaisir de ses dames était non pas d’effacer l’ardoise mais de tirer principalement sur les esclaves. L’activité s’est déroulée avec beaucoup de fou-rires et a fait l’unanimité des plaisirs de la foule.
La fête gynarchique du Nouvel An, pour toutes et tous
A Minuit et quinze minutes, comme promis, Maitresse Sandy a annoncé que les soumises et esclaves étaient libres pour le reste de la soirée afin de joindre la partie. Ils n’avaient plus d’obligations de servir mais elle rappela que la femme est toujours reine dans ce domaine. Ainsi les règles de bonne conduite restent en rigueur. Ensuite, elle nous a remercié pour le bon service et l’animations de la soirée. La fête gynarchique du Nouvel An était une réussite grâce à nous et à notre engagement. Pour finir elle nous a informé, qu’un panier repas ainsi qu’une des bouteilles de champagne seraient distribués à chacun des serviteurs dans le local de dressage par les Maitresses Sandy, Maylee et Solveig. Ensuite, à 01H00, tout le monde a été invité dans la cour pour la bataille de boules de neige, serviteurs contre Maitresses avant partager le gâteau du nouvel an.
On s’est rendu à la salle de dressage. Tous les esclaves et soumises étaient plus ou moins habillés, à l’exception de moi. Mon short a été découpé et la cravate jetée, donc je me suis mis de côté pour manger et ne pas me faire humilier par les autre soumises. À peine j’avais commencé à manger, que 2 des quatre filles me cherchaient déjà ! Les deux sœurs avaient un petit faible pour moi visiblement ! Quand elles m’ont vu, elles se sont assises à côté de moi et m’ont nourri, caressé et couvert de compliments sur mon « éducation. Ensuite, je leur ai donné ma bouteille de champagne en échange d’un gros câlin. Après le traitement subi, j’en avais besoin !
Sauf pour moi ! l’ esclave du domaine
Les filles m’ont demandé :
–alors lickerdog ainsi tu aimes lécher nos chattes ? Mmmm; tu dois être doué de la langue »
J’ai répondu que c’était l’un de mes jobs au domaine mais que là, je n’étais plus de service.
Alors l’autre fille a agrippé mes testicules et a pointé du doigt la bague d’appartenance au domaine puis elle m’a dit :
–tu t’es engagé formellement à obéir sans limites de temps, à servir toutes les femmes qui se trouvent au le domaine. Tu es la propriété du domaine!, donc je te donne un ordre et toi.. tu obéis ! c’est aussi simple que cela ! »
Ensuite, elle a murmuré :
–j’était là à ton serment !
Puis elle s’est levé et s’est assis sur mes cuisses, et a pris ma tête :
–tu me réponds quoi lickerdog ?
J’ai répondu :
–OUI Maitresse !
Elle m’a donné une petite tape sur la joue puis elle s’est levé :
–suis nous, j’ai une idée !
On est parti dans sa chambre, au 1er étage du bâtiment.
Elle m’a ordonné de m’assoir au centre de la pièce pendant que sa sœur m’attachait les mains à mes chevilles pour que je ne puisse plus bouger de la position assise. Ensuite, les filles ont été prendre la chaise rembourrée qui se trouvait près du lit et l’ont posé au-dessus de moi contre mon torse. Sa sœur m’a regardé et a dit :
–parfait; on a une super machine hummm !
Ensuite, elle est parti enfiler sa chemise de nuit avant de s’assoir.
Machine à plaisir
Elle a mis ses jambes par-dessus mes épaules. Ma tête était coincée entre ses cuisses puis elle s’est positionné sur la chaise afin que ma bouche et mon nez sois bien calé à son vagin. Elle a mis sa chemise de nuit par-dessus ma tête et a crié :
-lèche mon chien ! en me saisissant ma tête des deux mains pour diriger la langue.
Après quelques minutes des petits cris, gémissements et sursauts de plaisirs se faisaient entendre. Puis, tout à coup, elle m’a bloqué la tête et a crié : arrêt !
Ses deux copines avec un esclave sont entrées dans sa chambre. Après quelques minutes de discutions, elle a soulevé sa chemise pour me laisser respirer. Quand sa sœur est sorti de la salle de bain, elle a crié : c’est mon tour !
Cependant, sa sœur ne voulait pas céder la place. Ainsi, elle lui a demandé d’attendre son tour. Ensuite, j’ai recommencé jusqu’à sa jouissance complet et elle a laissé la place à sa sœur.
Entre temps, les deux copines se sont préparées pour leur tour. Elles étaient moins pudiques et se sont mises toutes nues. Ensuite, l’une d’elle s’est adressée à l’esclave :
-arrête de baver et rend toi utile ! va masser ses seins et que ça saute !
La copine a joui et crié tellement fort que cela a rameuté d’autres filles qui ont également voulu tester la « machine à lécher ». Ainsi durant plus d’une heure, j’ai léché et sucé 14 filles et été arrosé 4 fois par des femmes fontaines.
Fin des festivités
Après m’avoir libéré de mes liens, les deux sœurs ont décidé de me bichonner sous la douche avant de me faire une « gâterie au lit « . Une fois terminé, je me suis allongé sur le lit, et j’ai été rejoint rapidement par les deux sœurs. Elles se sont immédiatement endormies dans mes bras, sans la gâterie prévue, ce qui m’arrangeait fortement, car j’avais trop mal à mon sexe. Je suis parti rejoindre les autres au bar.
Arrivé au bar, il ne restait plus que 5 personnes. Ma maitresse me fait un signe de la rejoindre et de m’assoir à ses pieds. Ensuite, elle me présenta un couple de femmes, la trentaine, de San Francisco dont l’une était médecin et l’autre PDG. La femme m’a demandé de me mettre debout, les bras écartés, et m’a examiné entièrement. Ensuite, elle a dit à Sandy qu’il ne s’agissait que de quelques ecchymose mais rien de grave et que j’étais en bonne forme.
Maitresse Sandy m’a demandé de leur expliquer mon parcours scolaire, professionnel et maladies connues dans ma famille. Ensuite, la doctoresse m’a demandé si j’étais d’accord de passer à San Francisco pour faire des tests et que tous les frais étaient payés. J’ai répondu :
-j’ai vendu mon corps et ma vie au domaine et à ma maitresse. C’est elle qui décide de tout, mon corps et même avec qui je dois coucher ».
Maitresse Sandy répliqua:
-comme vous avez vu ce soir, il est très motivé et vous donnera pleinement satisfaction, ainsi que tous les plaisirs que vous lui ordonnerez. Alors n’hésitez pas à abuser de lui, il adore. Son sperme a déjà donné satisfaction à 2 membres de la communauté féminine qui l’avait loué à cette effet.
Sandy m’ordonna d’aller chauffer son lit ; tandis qu’elle est partie avec les deux femmes; la fête gynarchique du Nouvel An se termina dans les bras de ma Maitresse Sandy; qui a fortement apprécié ma collaboration.
Cette histoire est très intéressante qui me séduit pour devenir un soumis ou un esclave .
Je demeure au Canada, vous êtes mieux structuré en France pour vivre cette vie gynarchique.
L’ histoire mentionne la soirée se déroulait dans un manoir dans mon pays.
Est-il possible de pouvoir solliciter un entrevue avec une de ces mesdames Sandy, Maylee ou Solveig pour adhérer à ce milieu de domination et disposer à une mise à l’épreuve aux exigences
de ces déesses.
Je suis financièrement autonome et très mobile