Comment devenir un homme soumis en 9 semaines (3)

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Semaine 8 – Etape 8 : La liberté d’action et plaisir de la Maîtresse (Y compris sexuelle)

Transformer un mâle en homme soumis/esclave ne doit pas devenir une contrainte pour la Maîtresse, au contraire, cela doit être après les premières semaines de dressage une totale libération de la Maîtresse. 

La Maîtresse, à partir de cette huitième semaine et après avoir appliqué ce plan de soumission, va enfin retrouver tous les plaisirs que l’on peut éprouver tant physiquement que moralement avec un minimum de contrainte. 

N’ayant plus aucune tâche ménagère à faire, tout le temps libéré lui appartient totalement. La Maîtresse n’a en aucun cas à informer ou justifier l’homme soumis de ses actions. Elle retrouve donc une totale liberté :  

  • Elle emploie son temps comme elle l’entend.
  • Elle rencontre les personnes de son choix aussi bien des hommes que des femmes et réalise avec eux tout ce qui lui fait envie sans que l’homme soumis ne puisse y trouver à redire. La Maîtresse pourra cependant en informer son soumis après toute action afin d’exacerber  sa jalousie et accentuer encore sa soumission. Chaque élan de jalousie étant sévèrement châtié.
  • Elle pourra partir en vacances, WE ou même quelques heures en laissant son soumis au domicile, comme chien de garde ou système de surveillance en lui prévoyant par exemple des travaux à réaliser (peinture, tapisserie, rangement…). La Maîtresse pourra laisser l’homme soumis dans l’ignorance de son retour (1heure, 1 jour, une semaine…) Le soumis restant ainsi sur le qui-vive et réalisant les travaux le plus vite possible
  • La diminution du budget nourriture, loisir, vêtement… de l’homme soumis sera entièrement consacré aux plaisirs de la Maîtresse. 
  • La Maîtresse retrouvera aussi toute liberté sexuelle, elle pourra flirter et même conclure avec une ou des personnes de son choix sans que le soumis y trouve à redire. L’inverse étant bien sûr exclu. Le soumis étant désormais condamné à une fidélité et une chasteté absolue. Il est à noter que l’homme soumis pourra participer à la préparation de la Maîtresse quand celle-ci aura un rendez-vous… même anodin. Des tenues, notamment sous-vêtements choisis avec soin, un maquillage ou même quelques préservatifs glissés dans le sac à main,  accentueront encore la soumission de l’esclave. A son retour d’une quelconque sortie, là encore la Maîtresse aura beau jeu d’exacerber la jalousie du soumis par des allusions, ou un slip manquant ou une marque sur son corps… Toute jalousie étant sévèrement châtiée. 
  • La Maîtresse est désormais débarrassée du principe de fidélité.

Utilisation intime de l’homme soumis

La Maîtresse disposera intimement  du soumis comme elle l’entend. 

  • Elle pourra lui montrer son corps ou lui cacher selon son envie. 
  • Elle pourra s’exhiber nue, en sous vêtement ou en tenue de son choix sans que le soumis n’ai la possibilité de dire ou faire quoi que ce soit. (un aspirateur réagit-il lorsque l’on passe nu devant lui ? )
  • Le soumis pourra être utilisé comme gant de toilette, porte serviette, masseur, porte douche, mais aussi, papier toilette, cuvette wc, godemichet vivant ou dans autant d’anilinctus ou de cunilingus que la maitresse désirera. Au retour de ses sorties, elle pourra utiliser la langue et la bouche du soumis pour se débarrasser des éventuels « dépôts » dont elle pourrait avoir bénéficié… 
  • Il n’y a aucune limite à l’utilisation du soumis pour le plaisir de la Maîtresse et sa liberté. 

homme soumis

Semaine 9 – Etape 9 : Fin de l’asservissement – Contractualisation

Le soumis n’a maintenant plus de vie propre. La Maîtresse n’a plus qu’à lui faire signer un contrat d’abord temporaire de 6 mois laissant ainsi au soumis l’espoir de mettre fin à sa soumission. Il va de soi qu’au bout de ces six mois, le contrat sera renouvelé automatiquement et le soumis deviendra de fait un esclave….définitivement pour son plus grand bonheur et  le plus grand bien de la Maîtresse. 

Le contrat de soumission reprendra les règles et les lois que le soumis aura désormais à respecter. Le soumis signera le contrat et acceptera par avance toutes les règles que la Maîtresse jugera bon d’ajouter. En outre il acceptera toute punition lui permettant de progresser. 

 

Ci-dessous un contrat de soumission type : 



Ce jour . . . . . . . . . . . . , il a été conclu, entre Maîtresse ………, ci-après désignée comme  » La Maîtresse  » et . . . . . . . . . , ci-après désigné comme  » l’esclave « , le contrat de soumission suivant.

1 –  La Maîtresse est l’incarnation de la supériorité d’essence divine. L’esclave le sait, l’admet et en tire toutes les conclusions inhérentes. Il reconnaît notamment qu’à partir du moment où il accepte la domination de la Maîtresse, Elle seule devient titulaire de droits, lui n’étant plus soumis qu’à tous les devoirs que la Maîtresse estimera bon de lui imposer.
Conscient de ces conditions et des risques que cela inclut, l’esclave, après réflexion, choisit néanmoins la servitude et supplie la Maîtresse de bien vouloir l’admettre au rang de Ses esclaves les plus soumis.

2 – L’esclave reconnaît que le corps de la Maîtresse est sacré, qu’il ne peut le toucher ni même l’effleurer sans son autorisation expresse. Toute infraction à cette règle fondamentale permettrait à la Maîtresse d’infliger à l’esclave, toute punition qu’elle estimerait opportune, sans égard à une quelconque règle de modération, qui aurait pu être conclue entre Eux. 

3 – L’esclave doit à la Maîtresse un respect permanent et sans limites. Il doit manifester ce respect dans tous les actes de sa vie, dans tous les propos qu’il adresse à la Maîtresse ou qu’il tient sur Elle. Notamment, il ne peut s’adresser à Elle qu’à la troisième personne ou, le cas échéant, en la vouvoyant. En présence de tiers ou en public, même si la Maîtresse n’exerce pas, pour des raisons de convenance sociale, de domination perceptible sur l’esclave, celui-ci doit toujours manifester la plus parfaite déférence à l’égard de la Maîtresse, multiplier les signes de politesse envers Elle, rester attentif à toujours la mettre en valeur, veiller à Sa réputation, Sa fierté, Sa gloire et Son honneur. Si le contexte le permet, il doit illustrer l’excellence du dressage que sa Maîtresse lui impose. De même, il doit respecter une discrétion absolue sur la Maîtresse, sauf si Celle-ci l’autorise à faire état de leur relation de Maîtresse à esclave. 

4 – L’esclave reconnaît que dans la relation SM qui le livre à la Maîtresse, Elle seule a droit au plaisir, au confort, au bien-être, au repos, à l’amusement et à la distraction, au luxe, aux vacances, à la paresse, à la fierté et à l’orgueil, à la gourmandise, à l’égoïsme . . . . Et plus généralement à tous les plaisirs de la vie. L’esclave a pour fonction de se mettre à la disposition de la Maîtresse pour l’aider à profiter de tous ces avantages qui résultent de sa qualité de Femme Supérieure.

5 – L’esclave s’engage à se présenter devant la Maîtresse toujours impeccablement propre, douché, rasé, cheveux lavés, ongles nets, dans un état d’hygiène irréprochable. Tout manquement à cet article entraînerait une sanction immédiate par la Maîtresse.

6 – Dès qu’il se présente devant Elle et se trouve seul devant la Maîtresse, l’esclave doit se prosterner devant Elle, à genoux, front contre terre, à ses pieds.

7 – Le corps de l’esclave est à l’entière disposition de la Maîtresse qui peut en user et en abuser à son gré. L’esclave n’a plus droit à aucune pudeur ni aucune intimité en présence de la Maîtresse. Celle-ci peut notamment utiliser sa bouche, son sexe, son anus pour tel usage qu’il Lui plaira dans les conditions qu’Elle fixera.

8 – L’esclave s’engage à apprendre, à se perfectionner, à se discipliner pour répondre aux attentes de la Maîtresse, quelles que celles-ci puissent être. Il apprend à vivre à genoux, à ne pas offenser la Maîtresse par des regards déplacés, à disparaître de Sa vue dès que cela se révèle souhaitable. Il assume notamment toutes les corvées que la Maîtresse lui assigne et qu’il exécute à la perfection sous peine de sévères sanctions.

9 – En présence de la Maîtresse, l’esclave doit solliciter Son autorisation pour tous les actes de la vie courante, notamment l’alimentation, le sommeil, la toilette, la sortie du lieu où se trouve la Maîtresse. Toute autorisation octroyée par la Maîtresse est ponctuelle : elle n’ouvre aucun droit à l’esclave, qui doit la solliciter de nouveau, chaque fois qu’il est nécessaire. Toute autorisation renouvelée ou tacitement accordée habituellement reste révocable, à tout moment, par la Maîtresse sans qu’Elle n’ait à fournir la moindre justification. Toute autorisation de ce type reste une faveur de la Maîtresse, que l’esclave se doit de remercier comme il est normal. L’esclave ne peut en aucun cas se prévaloir d’un droit acquis par l’habitude.

10 – La Maîtresse peut exercer toutes les contraintes physiques qu’Elle juge nécessaire sur l’esclave. Cela inclut notamment les liens, les colliers ou les menottes, le bâillon, les gifles, la cravache, le martinet ou le fouet. Il n’est pas nécessaire que la Maîtresse invoque une faute quelconque de l’esclave pour y avoir recours. Elle peut notamment les utiliser pour Son Seul plaisir ou pour tester la résistance et la soumission de l’esclave.

11 – L’esclave doit toujours rester à sa place. Il n’a droit à aucun sentiment de jalousie à l’égard de la Maîtresse, il sait qu’Elle dispose du droit élémentaire de rencontrer qui Elle veut, quand Elle le désire, l’esclave est informé dès le départ de leur relation, qu’il ne sera jamais que l’énième esclave dont la Maîtresse peut user à sa guise. Elle peut exiger qu’il La serve en même temps et concurremment avec d’autres esclaves. De même, La Maîtresse peut exiger que l’esclave La serve en présence de tiers, notamment de tiers initiés aux relations S/M. Toutefois, et par libéralité gracieusement octroyée, la Maîtresse accepte d’éviter cette hypothèse dans le département où l’esclave exerce habituellement ses fonctions professionnelles, pour lui éviter tout désagrément dans le cadre de son emploi.

12 – Les termes du présent contrat s’appliquent dès qu’il aura été signé par les Deux parties.

13 – La Maîtresse s’engage à éviter de le mettre dans une situation périlleuse dans la sphère professionnelle et familiale. Il ne s’agit que d’une précaution de moyens et en aucune façon d’une obligation de résultat. Si la situation de l’esclave se modifiait entre-temps, il devrait en informer la Maîtresse et le présent contrat pourrait être modifié en conséquence.

14 – L’esclave dégage expressément et totalement la Maîtresse de toute responsabilité dans les conséquences de sa soumission qu’il assume pleinement. Notamment, il sait que toute trace physique durable ou définitive, toute affection contractée pendant ses fonctions d’esclave de la Maîtresse, toute conséquence sociale ou professionnelle résulterait non pas d’une maladresse, d’un défaut de précaution, d’un excès de celle-ci mais de la conséquence inéluctable de sa soumission extrême, de sa propre perversité, de son, attirance pour tout ce qui est moralement interdit, douloureux, sale, humiliant et qu’il pouvait l’éviter en résistant à ses pulsions d’esclavage comme il est dit à l’article 2.

15 – La Maîtresse peut mettre fin au présent contrat de soumission quand Elle le désire, sans avoir à s’expliquer. L’esclave ne peut mettre fin à ce contrat : Il doit honorer tous les engagements pris précédemment et pour lesquels la Maîtresse a pu élaborer des projets précis

16 – Dans tous les cas, la Maîtresse et l’esclave s’engagent sur l’honneur à une discrétion absolue sur leur relation S/M et à ne jamais tenir devant quiconque de propos blessants à l’égard de l’Autre.

Fait à . . . . . . . . . . . . le . . . . . . . . . . . . . . . . .

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