A genoux face à la juge
Je me trouvais à genoux, intégralement nu, face à la juge. C’était une femme mince, âgée d’une soixantaine d’année, portant des lunettes très strictes et une tenue noire serrée. Elle posait sur moi un regard impénétrable, telle une examinatrice dominatrice intransigeante.
A mes côtés se trouvaient deux agents des forces de l’ordre, les deux femmes qui m’avaient arrêté un peu plus tôt dans la semaine. J’avais été enfermé dans une cellule pendant plusieurs jours, privé de vêtements et nourri à l’eau et au pain sec, avant que l’on vienne me chercher pour que je comparaisse devant la justice.
La juge étala mon dossier sur son pupitre et le parcourut rapidement des yeux.
-James Allison, 18 ans, nationalité française, étudiant en physique. Vous avez été surpris il y a cinq jours à voler un téléphone dans un magasin. Vous avez été repéré par la vigile de l’entrée avant d’être remis à la gendarmerie. C’est bien ça ?
-Oui Votre Honneur. Je plaide coupable.
-Pourquoi avez-vous fait cela ? Vous êtes un jeune homme brillant provenant d’une famille plutôt aisée. Votre casier judiciaire était totalement vierge jusqu’à maintenant.
-J’ai été entraîné dans cette histoire par un groupe d’amis. Je ne les fréquenterais plus Votre Honneur.
-J’espère bien.
Lecture de la sentence
Je fus pris d’un frisson. La salle était parcourue par un courant d’air glacial et ma nudité n’aidait pas. L’extrémité de la cravache de l’une des agents à côté de moi était posée sur mon sexe, prête à frapper au moindre de mes mouvements. Des menottes me maintenaient les bras croisés dans le dos.
-Vous savez : dit la juge, j’aurais simplement opté pour une séance de flagellation publique pour quelqu’un d’autre. Mais au vu de votre profil, je tiens particulièrement à ce que vous ne recommenciez pas et que vous restiez dans le droit chemin, aussi vais-je être extrêmement sévère et vous infliger une peine très lourde pour ce que vous avez fait. Je vais donc vous condamner à un stage de redressement d’une durée de trois mois.
Je me trouvais à genoux, intégralement nu, face à la juge. C’était une femme mince, âgée d’une soixantaine d’année, portant des lunettes très strictes et une tenue noire serrée.
Vous serez confié à l’examinatrice dominatrice intransigeante, Claudia Tedler qui sera chargée de vous infliger une punition quotidienne de classe 3. Vous résiderez à son domicile pendant toute la durée de votre châtiment et ne pourrez pas en sortir sans son autorisation. Je vous prescris trente coups de martinet, trente de cravache et une heure de sodomie intensive par jour, ainsi qu’une correction lourde, donnée avec un fouet, par semaine. Votre examinatrice sera cependant totalement libre d’étendre la punition de la manière dont elle le souhaitera.
-Bien Votre Honneur.
L’examinatrice dominatrice intransigeante
Je fus autorisé à récupérer mes vêtements et à me rhabiller. Les agents me raccompagnèrent hors du bâtiment ou une voiture m’attendait. A l’intérieur se trouvait une femme d’une quarantaine d’année aux longs cheveux blonds et aux grands yeux verts. Elle était magnifique et présentait des courbes extrêmement excitantes.
Je compris qu’elle allait être mon examinatrice et l’exécutrice de ma punition.
Elle me fit signe de m’installer à côté d’elle. Son air était sévère.
-Tu sais ce qui t’attend n’est-ce pas ? : me demanda-t-elle.
-Oui Madame.
-Avec moi, ces trois mois risquent de te paraître très long. Je suis une examinatrice intransigeante et particulièrement dure. Crois-moi, ce n’est pas parce que ton crime est moins grave que ceux que j’ai l’habitude de traiter que tu ne recevras pas une punition exemplaire. Tes parents ont été prévenus, tu ne les reverras que dans trois mois. Les visites ne sont pas autorisées pendant la durée de dressage.
-Bien Madame.
Sa demeure
Sa demeure était somptueuse et très vaste. C’était un large pavillon entouré de jardins aux haies parfaitement taillées. Difficile de se douter en voyant la bâtisse depuis l’extérieur qu’elle contenait de multiples salles de torture pour mâles et que chaque jour, des hommes y étaient fouettés et sodomisés par l’examinatrice pour les dresser convenablement.
Elle me fit entrer et je fus impressionné par les proportions de son salon. En remarquant mon air stupéfait, Claudia laissa échapper un sourire.
-Tu sais, tu ne verras pas cette pièce très souvent pendant ton séjour. Tu passeras le plus clair de ton temps dans ma cave. Enfin bref, déshabilles-toi et suis-moi.
-Je dois me mettre…
-Tout nu, oui. Je me chargerais de ranger tes vêtements dans un coffre scellé, tout à l’heure, et tu les récupèreras dans trois mois. Ta peine inclut le fait que tu dois rester nu pendant toute la durée de ta punition, il ne te sera pas permis de porter le moindre vêtement. Allez, dépêche-toi !
J’obéis rapidement et me retrouvai nu face à mon examinatrice. Dans cette situation, je ne pus empêcher mon sexe de se durcir et de se dresser. Claudia examina mon érection d’un œil amusé et saisit mon pénis brusquement.
-Tu as de la chance mon garçon, la plupart de ceux que je punis ne sont pas autorisés à bander. Mais cette condition ne figurait pas dans ta condamnation, uniquement celle de ne pas jouir. Ejaculer sans mon autorisation sera considéré comme une faute grave et verra ton séjour prolongé de deux jours à chaque fois que cela se produira. C’est clair ?
-Oui Madame, très clair.
-Je te permettrais de jouir une fois par mois, et uniquement une fois par mois. Allez, viens, je vais te présenter l’endroit dans lequel tu vas vivre désormais.
La salle de torture
L’examinatrice me conduisit dans le sous-sol de sa demeure. Nous descendîmes un escalier étroit débouchant dans une très vaste salle de torture, presque deux fois plus grande que le salon. Elle était équipée de tous les appareils les plus haut-de-gamme : Chevalets, croix de Saint-André, carcan métallique, pilori, chaînes…
Sur un mur étaient accrochés une vingtaine de fouets et de martinets de différentes tailles et de matières diverses. Au plafond pendaient des chaînes et des instruments de toutes tailles. A ma gauche, je pus voir une table en inox où s’alignaient des godes multicolores et des colliers de chien.
L’examinatrice m’en fit enfiler un et le boucla autour de mon cou à l’aide d’une clé qu’elle enfouit dans sa poche.
-Il y a une puce électronique à l’intérieur qui permet de savoir où tu es à n’importe quel moment. C’est prévu pour éviter les évasions, tu dois t’en douter.
Elle se promena quelques instants dans la salle avant de s’asseoir dans un fauteuil en cuir rouge.
-Approche, me dit-elle. Et met toi à quatre pattes. Nous allons commencer ta punition.
J’obéis.
-Ôte mes bottes et renifle mes pieds. Ils ont particulièrement transpirés aujourd’hui. Tu n’imagines pas à quel point c’est difficile de porter des bottes aussi serrées toute la journée. Un véritable supplice. Loin d’être aussi désagréable que ce que tu vas vivre pendant ces prochains mois mais tout de même… Je ne le souhaiterais à personne.
Je retirai doucement les chaussures de mon examinatrice et les déposai respectueusement à ses côtés. Elle présenta ses deux pieds et je les saisis avec délicatesse.
-Hummm, dit-elle. Tu sais y faire on dirait. A moins que ce soit naturel chez toi ?
-Naturel je pense… J’ai toujours été très doux et affectueux.
Fétichiste des pieds
Sans prévenir, elle m’asséna une gifle en travers du visage.
-N’oublies pas de ponctuer chacune de tes phrases par « Madame », fit l’examinatrice avec un ton beaucoup plus dur. Je laisse couler pour cette fois mais la prochaine fois, tu recevras une correction supplémentaire.
-Désolé Madame. Je vous promets que cela ne se reproduira plus.
J’enfouis mon nez entre ses orteils et inspirait profondément. Ses pieds étaient chauds et moites. Ils dégageaient une odeur très forte et très âcre de sueur et de cuir. C’était la première fois que je sentais les pieds d’une femme, aussi en fus-je très excité et eut beaucoup de mal à me contenir.
Avec fébrilité, je parcourus la voûte plantaire humide que l’examinatrice me présentait et m’imprégnait de sa senteur. Claudia prenait visiblement un grand plaisir à me voir inhaler l’odeur de ses pieds.
D’une dernière inspiration, j’emplis mes poumons de ce parfum entêtant. Claudia sourit.
-Bien, bien… Tu te débrouilles mieux que les précédents que j’ai eu à dresser. Vu le plaisir que tu y as pris, j’ai comme l’impression que tu es fétichiste des pieds, non ?
-Oui Madame. J’ai toujours été très attiré par les pieds féminins.
-Je m’en doute. Le dernier type que j’ai dû punir éclatait en sanglot à chaque fois que je lui ordonnais de me sentir les pieds. J’imagine que tu sais ce que tu dois faire maintenant ?
-Vous les lécher ?
-Exact.
Bsoir ,
Quel lyrisme ! La personne qui a rédigé l’article , a beaucoup d’imagination ! On s’y croirait presque ! Mdr ! Petite précision, devant un juge en France , on dit : Mr le Juge !….C’est « hérité » de l’habitude stupide de ces traductions de l’Anglais !
Ce « Franglais » provoque beaucoup de dégât dans nôtre langue .
Bien à vous .
Pierre