Le fantasme du dressage par une cavalière dominatrice (2)

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cavalière dominatriceNettoyage de la monture par la cavalière dominatrice

Après ma punition, cette cavalière dominatrice me dit de la suivre. Mes fesses me faisaient souffrir atrocement et j’avais des crampes dans les cuisses. C’est à peine si je pouvais bouger. J’obtempérai comme je pus, mais pas assez vite à son goût.

-Viens ici. A quatre pattes !

Elle se dirigea vers le tuyau d’arrosage au milieu de la pelouse. Alors, je me traînai péniblement vers elle. Elle alla ouvrir le robinet :

-c’est l’heure du nettoyage de la monture, il faut que tu sois bien propre !

Elle m’aspergea avec de l’eau froide. C’était plus désagréable que douloureux. Ce n’était rien en comparaison de la punition de tout à l’heure et de ce qui allait suivre.

Elle prit alors une brosse à récurer et commença à me frictionner le corps. Elle passa la brosse sur mon dos. Ensuite, sur mes épaules, cela devenait un peu douloureux. Sur mes fesses blessées, cela devenait insupportable.

-Pitié ! : m’écriai-je.

Enfermé par la cavalière dominatrice

Alors, elle mit ses deux jambes autour de mon cou et les serra pour m’immobilier. Elle continua alors de frictionner vigoureusement. Je pouvais à peine respirer et encore moins crier. Au bout de quelques minutes, elle s’arrêta :

-c’est mieux, dit-elle, tu dois apprendre à supporter la douleur ! Je vais te mettre une pommade pour que tu cicatrises plus vite. Ce sera plus amusant pour la suite !

Elle prit un tube et massa consciencieusement chacune de mes fesses en les palpant, en les pénétrant un peu, en me pinçant la peau mais c’était plutôt agréable après ce que je venais d’endurer.

Après ce nettoyage en règle, elle me fit rentrer dans l’écurie. Il y avait deux seaux par terre. Elle versa de l’avoine dans l’un des deux et mit de l’eau froide dans l’autre.

-Voilà ton dîner !

Je reviendrai te voir plus tard. Elle claqua ses talons, ferma la porte et je l’entendis tirer le verrou de l’extérieur. Resté seul, je repensais à cette journée. J’étais réellement fasciné par cette cavalière dominatrice, par sa beauté, par son assurance, par l’animalité qu’elle m’imposait mais dont je rêvais depuis si longtemps. J’avais envie d’être son cheval. J’aurais voulu lui demander de me garder pour toujours, de parfaire mon dressage et de faire de moi sa chose.

Inspecté par la cavalière dominatrice !

En même temps, j’avais froid. Mes épaules et mes jambes étaient endolories, mes fesses me faisaient souffrir… En contemplant le seau d’avoine qui m’attendait, je me demandais si c’était vraiment ce que j’avais voulu. Je commençais alors à goûter l’avoine, c’était fade et peu appétissant… Néanmoins, je ne voulais pas la décevoir. Je me forçais alors à avaler quelques bouchées de céréales et à quelques gorgées d’eau. Cela m’avait donné soif !

Une heure, environ, s’était écoulée quand j’entendis un bruit de talons à l’extérieur. La porte s’ouvrit. C’était la cavalière dominatrice qui revenait m’inspecter. La nuit était déjà tombé mais j’avais perdu toute notion du temps. Je ne la voyais pas très bien mais sa voix résonnait curieusement.

-Alors, voyons si tu as fait honneur à ton dîner, dit-elle avec une certaine ironie. Mais tu n’as rien mangé… Il faut que tu prennes des forces pour demain !

Je lui dis alors que j’en avais pris un peu que je n’y arrivais pas… C’était vraiment trop fade…

-Vraiment ? Il te faudrait peut-être un grand restaurant ! Mais puisque tu trouves cela fade, je vais te faire une faveur.

Petit cadeau de la part de la cavalière dominatrice !

Elle déboutonna son pantalon. Je la dévorai des yeux. Elle se rapprocha de mon visage, enleva sa culotte. Imperceptiblement, j’approchais mon visage de ses cuisses magnifiques. Mais elle posa sa main sur ma tête et arrêta mon mouvement :

-Non, il faut que tu sois sage. Ce sera pour plus tard… si tu es sage.

Elle s’assit alors sur le seau et commença à pisser. Cela dura bien une minute.

-Comme c’est la première fois, je te fais une faveur. Ton repas aura plus de goût.

Elle me dit alors de me mettre à quatre pattes et de commencer à laper.

-Ce sera ton dessert !  me dit-elle.

Pendant ce temps, elle passa sa main entre mes cuisses et saisit mon sexe qu’elle serra fort. J’avais vraiment l’impression qu’elle me possédait.

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