Ce récit s’adresse à ma nouvelle Maîtresse dominatrice. Je raconte ce que j’ai ressenti lors de notre première rencontre, qui a eu lieu dans un cadre professionnel.
Première rencontre dans votre magnifique appartement
En tant qu’agent immobilier, je suis, toujours, à la recherche de biens immobiliers à vendre Votre appartement est idéalement situé. Ainsi, un jour, je décide de tenter ma chance.
Vous me recevez en tenue assez sexy.
Je me présente et vous explique les raisons de ma visite. Votre magnifique appartement a retenu mon attention.
Je me rends très vite compte que vous commencez à me draguer. J’ai l’impression que vous voulez flirter avec moi. Aussi, j’essaye de vous expliquer, avec tact, que je suis fiancé et que je vais me marier. et suis très très amoureux. Ce que je vous dis pas, c’est que même si je suis très amoureux, je n’ai encore jamais fait l’amour. En effet, je suis très croyant et je préfère attendre d’être marié pour le faire.
A partir de là, votre comportement change et vous me proposez de me faire visiter l’appartement.
Nous regardons (très ) rapidement les pièces de la maison puis en arrivant devant une porte , vous m’arrêtez. Vous me dites que vous ne souhaitez pas me montrer ce qu’il y a dans la pièce. C’est confidentiel, mais il faut la traverser pour voir les dernières pièces.
Vous me demandez alors si j’accepte de porter un bandeau sur les yeux. Je trouve ça surprenant car c’est la première fois que cela m’arrive mais j’accepte.
Après m’avoir bien bandé les yeux, je ne vois rien. Vous me prenez par le bras et m’emmenez dans la pièce .
Je ne le vois pas mais je passe dans votre donjon.
Et vous, vous avez bel et bien une idée derrière la tête. Comme je refuse vos avances et que vous n’avez pas l’habitude qu’on vous résiste, vous allez me contraindre .
Découverte de votre Donjon de Maîtresse dominatrice
Ainsi, vous avez très envie de jouer avec un homme. Comme je suis là, vous avez décidé que ce sera moi.
Si je ne suis pas d’accord, ce n’est pas grave. Vous allez me contraindre et faire de moi votre esclave sexuel. C’est votre passion et le fait de m’y contraindre est finalement un petit plus excitant pour vous. De plus, vous avez deviné que je suis vierge, c’est encore plus alléchant pour vous.
Dans la pièce, sans que je me rende compte vous m’approchez donc du mur et m’amenez vers des crochets et chaînes. Sans que je puisse faire quoique ce soit, vous me bloquez les poignets puis les chevilles avec ces chaines.
Vous me bâillonnez également rapidement alors que je commence à élever la voix .
Comme je bouge encore beaucoup, vous me contraignez encore plus avec des cordes au niveau de mes coudes et genoux. Je me retrouve, complètement, ligoté, contraint et sous votre coupe. Vous profitez de ce moment pour m’enlever mon bandeau sur les yeux.
Je découvre alors ce fameux donjon et votre petit sourire machiavélique de Maîtresse dominatrice. Vous aimez voir ces yeux craintifs et plein d’appréhension chez vos nouveaux soumis.
Attaché et ligoté, à votre merci!
Vous me parlez, alors, avec douceur mais avec une autorité naturelle :
- Alors comme ça on va se marier, on est amoureux , nanana nanana…On ne veut pas accepter les avances d’une belle Maîtresse dominatrice? Et bien saches que moi personne ne refuse mes avances et si on n’accepte pas, j’impose. Donc si j’ai envie de ta bite, je la prends. D’ailleurs ce n’est pas ta bite que je veux mais ton sperme car figure toi que j’adore ça, d’autant plus le sperme d’un puceau ! Et là j’en ai envie !
Je fais non de la tête car je ne veux pas tromper ma fiancée. Cependant, vous ouvrez puis descendez alors mon jean et boxer pour laisser apparaître mon sexe déjà tout tendu.
- Et bin en plus, il semblerait que je ne te laisse pas indifférent, petit coquin. Je ne vois pas pourquoi tu te refuses à moi. Pour quelqu’un de vierge, tu es vite excité à ce que je vois. On va purger tout ça.
De là, vous vous agenouillez et me faites une fellation jusqu’à que j’éjacule dans votre bouche, assez vite vu mon état d’excitation. Vous léchez tout, ne laisser rien et appréciez chaque goutte.
Ensuite, vous me laissez là, attaché et bâillonné. Vous me remettez même le bandeau sur les yeux .
J’entends alors que vous bougez dans la salle. Vous en sortez, puis revenez. Bougez des choses, j’entends des bruits de chaînes, des talons (vous vous êtes changé ?), Des tiroirs qui s’ouvrent se referment…bref, je ne sais pas ce qui m’attend.
Mon sexe, enfermé dans une cage de chasteté
Ensuite, j’entends les talons s’approcher de moi. Je vous sens près de moi. Vous me caressez le torse avec un objet en cuir. Enfin, toujours sans un mot de votre part, je sens que vous prenez mon sexe, mou cette fois, et l’enfermez dans une sorte de cage ainsi que mes boules.
Je grogne dans mon baîllon, mais qu’est ce que c’est que ça !
Vous enlevez alors mon bandeau sur les yeux. Je vous découvre, changée. Vous avez mis une tenue de cuir sexy, clairement, une tenue de Maîtresse dominatrice. Ainsi, vous avez des bottes à talons et une cravache dans la main.
Je découvre également que mon sexe est enfermé dans une cage de chasteté avec un cadenas.
C’est à ce moment là, voyant encore ma peur dans mes yeux, que vous reprenez la parole :
- Mon chéri ne t’inquiètes pas. Tout va bien se passer. Pour être franc, je me suis demandé quoi faire de toi après avoir eu ce que je voulais au départ, juste ton sperme.
Puis je me suis dit que dès lors que tu avais trompé ta fiancé de cette manière, je tenais alors un secret important et donc un poids certain pour t’imposer ce que je voulais si tu veux encore te marier.
À la maison en ce moment je suis toute seule et j’aurais bien besoin de quelqu’un comme toi qui soit là quand j’en ai besoin, pour me servir, me divertir ou tout simplement être une présence.
Je t’ai bien observé et tu me sembles parfait pour ce rôle. Physiquement tu me plaît, tu as de belles fesses et j’ai aimé le goût de ton sperme. Je sens aussi que tu es un soumis dans l’âme et que tu sauras m’obéir comme il se doit.
Désormais, considéré comme votre propriété
Vous marquez une pause avant de poursuivre.
- Je vois aussi en toi un beau potentiel de féminité, c’est parfait. Bref, je me suis décidé! Tu deviens à compter de cet instant ma propriété. C’est un engagement et un changement pour toi bien sûr mais aussi pour moi car maintenant, je suis responsable de toi.
Ne t’inquiètes pas, si tu te comportes comme je le souhaite, tu auras toujours la possibilité de vivre ta vie rêvée avec ta fiancée en parallèle. Comme ça, tout le monde est content hein ?
Vous m’annoncez ça de but en blanc comme si tout était fait et naturel. Je prends ça de pleins fouet. Cependant, même avec peu de cerveau disponible pour réfléchir, je me rends compte que je n’ai pas le choix. Qu’arriverait-il si vous alliez expliquer ce qu’il s’est passé à ma fiancée ? Mon rêve serait brisé. Je n’ai pas d’autre choix que de vous obéir.
À partir de là, vous adoptez un comportement encore différent. Sûre de votre autorité sur moi, vous parlez beaucoup maintenant. Vous m’expliquez tout ce que vous faites, ce qu’il va se passer et ce que je dois savoir. Ainsi, vous vous comportez, un peu, comme une maman qui éduque son fils :
- Allez, je vais te détacher maintenant. Ensuite, on va s’occuper de te trouver une bonne tenue pour rester ici et t’accessoiriser un peu. Tu as vu que je t’ai déjà mis une cage hein. Ça c’est pour une meilleure compréhension de ton éducation. En effet, il faut mettre de côté ta propre excitation pour mieux assimiler ce que tu dois faire et être plus focus sur mes désirs à moi. Seuls mes désirs de Maîtresse dominatrice seront désormais ta priorité, bien avant les tiens. Désormais, c’est moi qui déciderai de tes priorités. Tu vas voir, ça te rendra meilleur et tu feras un super mari grâce à moi aussi.
Obligé à marcher à quatre pattes avec un collier et une laisse…
Ensuite, vous continuez à commenter tous vos faits et gestes.
- Je te détache les mains et les chevilles mais je te rattacherai rapidement derrière hein. J’aime bien que tu sois attaché. On changera ton bâillon aussi. J’ai une meilleure idée pour que tu te familiarises avec mon intimité. Allez déshabille toi complètement et rejoins moi à quatre pattes vers mon fauteuil. Je vais te mettre ton collier de propriété.
J’obéis. Je n’ose absolument pas me rebeller. Malgré le fait que je ne sois plus attaché, que vous avez été très douce dans vos paroles, je n’ose rien. En fait, je suis sous emprise et naturellement je me mets à nu, puis à quatre pattes pour vous rejoindre.
Vous ne le montrez pas mais vous en êtes fière. Vous avez réussi votre coup. Soumettre un non soumis en une rapidité éclair.
Après m’avoir attaché un collier puis une laisse en m’expliquant bien ce que celà représentait, vous vous attelez à me trouver une petite tenue.
Vous aimez bien les soumis nu mais aussi avec une touche d’accessoires ou de féminité pour mieux les humilier et rabaisser naturellement. Vous m’ajoutez alors simplement un petit bout de tissu tiré d’une robe de soubrette qui vient cacher ma cage de chasteté devant mais laisser bien en évidence mes fesses à l’arrière.
Puis vous me mettez des bracelets aux chevilles et poignets pour « m’attacher plus rapidement aux différents mobiliers en cas de besoin ou d’envie » même si vous me dites apprécier d’autant plus me voir ligoté par des cordes. Ce sera des jeux pour plus tard.
D’abord, il est temps pour moi d’être éduqué à vos principes et à ce que vous attendez de moi.
…puis à lécher vos pieds
Vous me dites être adepte du « learning by doing ». Aussi, le plus simple, c’est de faire comme si nous vivions une journée normale. J’apprendrais sur le tas en obéissant et faisant ce que vous me demandez.
Comme ce seront des premières fois, vous serez assez tolérante sur les erreurs mais choisirez quand même de me punir selon vos envies. L’apprentissage vient comme ça.
Pour commencer vous avez soif, ainsi, vous souhaitez retourner à la cuisine.
Comme je suis mains et chevilles attachés, vous donnez plus de longueur aux chaînes et m’apprenez à marcher tel quel, à quatre pattes à vos côtés pendant que vous tenez la laisse.
J’y arrive tant bien que mal. Au niveau de la cuisine, pendant que vous récupérez un verre et vous servez du vin, vous me demandez de me mettre à vos pieds et embrassez vos bottes.
Puis, vous m’ordonnez de remonter jusque vos fesses et les embrasses, les lécher.
- C’est bien, bon garçon. Tu vois c’est facile d’être un bon garçon. Autant j’aime bien moi-même lécher les sexes ou le corps des hommes autant l’inverse est vrai aussi. Je te demanderai donc régulièrement de venir m’embrasser ou me lécher. Ta langue va se muscler avec moi, tu verras.
Ma première punition…
Cela vous fait rire. Vous me retirer la tête de vos fesses et me ramenez cette fois en silence dans votre donjon. Ensuite, vous m’enlevez mes chaînes pour me coucher, ventre sur votre chevalet en cuir . Vous me raccrochez les poignets et chevilles au chevalet, me demandez de relever les fesses.
Puis vous allez chercher un martinet en cuir accroché sur le mur.
Vous utilisez ce temps là pour m’expliquer ce que vous allez faire :
- Tu vois, je vais t’infliger ta première punition. Alors pourquoi me diras-tu ? Et bien tout simplement parce que je considère que tu ne m’as pas assez bien léché l’anus. Tu es resté dans des petits baisers sur mes fesses. Mais moi, j’ai besoin de plus et je veux que tu utilises ta langue lorsque que je te demande de me lécher, c’est clair ?
Alors oui j’aurais pu te le dire tout à l’heure et t’apprendre à le faire. Mais je pense que cela aura plus d’impact si je te punis maintenant. Je suis sûr que tu ne feras plus jamais l’erreur. Donc apprête toi à recevoir 10 coups de martinet.
…Dix coups de martinet
Premier coup, je ne m’y attendais pas et la douleur me fait crier un « aïe ».
Vous vous arrêtez tout de suite :
- ah non ! Pas de ça hein. Quand je te punis, je ne veux pas t’entendre. Tu acceptes et assumes sans rien dire. Tu ne le savais pas, tu le sais maintenant.
Deuxième coup, j’essaie de me retenir mais un petit gémissement sors encore.
Vous vous arrêtez une fois de plus.
- Bon, je vois que tu vas avoir besoin d’aide pour te taire. Et bien pas de soucis, je devais te proposer un nouveau bâillon et bien le moment est venu.
Je vous vois enlever votre culotte en cuir devant moi et mes yeux médusés puis vous la mettez en boule et me l’inserez dans ma bouche. Vous allez récupérer un foulard à côté et passez le foulard au dessus de ma bouche et mon nouveau bâillon :
- Voilà, avec ce bâillon artisanal, tu vas pouvoir te familiariser un peu plus avec mon intimité. Profites en.
Quant à moi je vais reprendre de 0 ta punition…
Et vous voilà parti pour m’asséner dix coups de martinet…
À suivre…