J’appréhendais le moment où ce serait le tour de Mademoiselle Chloe de me frapper. Souvent, les personnes, un peu en retrait au départ, veulent faire leurs preuves. Aussi, elles se montrent encore plus sadiques. Dès le premier coup reçu de la main de Mademoiselle Chloé, je compris qu’elle voulait se montrer tout aussi capable que les autres jeunes dominatrices!
Impatience de Mademoiselle Chloé pour me punir
Elle avait demandé, d’un ton contrarié, aux autres jeunes dominatrices, si elle pouvait continuer. En fait, elle essayait d’affirmer son autorité.
Maîtresse Sybille sauta sur l’occasion pour mettre les choses au point :
- Quelle question ,Chloe! Montre à delphine, ce que peut être une fessée punitive bien administrée. Quant à toi, delphine, sache que je ne tolérerai aucune manifestation de ta part pendant toute la punition.Une punition a une vertu éducative. Elle sert à corriger les défauts et les erreurs de comportement. Essayer de l’amoindrir en poussant des cris de mijaurée est une insulte pour celle qui l’applique avec rigueur et abnégation. Donc si ces faits se reproduisent, la punition sera aggravée. Cependant, pour ce fâcheux contretemps, je propose à Chloe de réfléchir à une punition supplémentaire de son propre cru.
Chloe avait écouté attentivement Maîtresse Sybille. Elle s’adressa à moi d’un ton qui me stupéfia, tant il était en contraste avec la perception que j’avais eu de cette jeune fille. Je l’avais considérée comme une simple spectatrice, une voyeuse pour ainsi dire :
- delphine, j’exige qu’à chaque coup reçu, tu me dises « Maîtresse Chloe, je vous prie de bien vouloir me pardonner pour l’offense que je vous ai faites, et je vous supplie de frapper encore plus fort pour laver cet affront. Je vous remercie de m’accorder cette faveur.
Puis en direction de la leader du groupe, elle ajouta :
- Sybille, comme je suis néophyte, me donnes-tu l’autorisation d’ordonner à delphine de venir chez moi, tous les soirs de cette semaine pour qu’elle reçoive une fessée convenable, histoire de me faire la main. J’attendrai d’elle, en guise de reconnaissance, qu’elle boive mon pipi pour me faire honneur, et bien sûr proprement. La moindre goutte de travers lui vaudrait de passer toute la nuit à genoux au pied de mon lit.
Fin de la première partie de la punition
Bien entendu, Maîtresse Sybille accepta de suite cette proposition.
- Bravo, Chloe; nous allons former une super équipe.
Moi, par contre, je me suis demandé si je n’allais pas regretter mes anciennes jeunes dominatrices.
Mais je n’avais pas le temps pour méditer que je recevais déjà le second coup et que je devais ainsi prononcer la phrase de remerciement obligatoire.
Combien de temps cela allait-il durer ?
Et cela n’était que la première fessée !
Dans ma position allongée sur les genoux de Mademoiselle Chloe, je ne pouvais pas discerner les réactions de ses deux amies, qui devaient suivre avec la plus grande attention la séance qui se déroulait.
Certains peuvent penser qu’une fessée, bien que douloureuse, n’est qu’un châtiment corporel bas de gamme, comparé à d’autres punitions! Cependant, je vous prie de croire que je passais un moment effroyable. J’essayais de contenir mes cris et mes larmes pour me concentrer sur cette phrase humiliante, de surcroît, qui m’était imposée.
J’espérais que Maîtresse Sybille allait siffler la fin du premier supplice pour laisser la place aux autres.
Mais il n’en fut rien!
Il fallut attendre que Mademoiselle Chloe fut satisfaite de sa prestation et s’enquit du jugement de ses partenaires pour savoir si elle avait été digne dans l’exécution de sa tâche.
Examen de mon fessier par ces jeunes dominatrices
C’est l’examen scrupuleux de mon fessier qui fit office de barème en la matière. J’eus le droit à des remarques moqueuses et enjouées. Mademoiselle Chloe ne m’avait pas autorisé à quitter ma place. Elle semblait savourer ce moment pendant lequel, un homme soumis était à sa merci dans cette situation humiliante.
- Oh, la belle peau rouge que voila, pouffa Maitresse Marie-Sophie.
Puis, elle ajouta, en faisant un clin d’oeil, à Mademoiselle Chloé :
- Il y a quand même encore quelques petites zones jalouses d’avoir été mises à l’écart. Je suis persuadée que tu as pensé à moi pour combler ce manque.
Maîtresse Sybille, elle, supervisant le travail, en experte affichée, donna une mention « très honorable » tout en scrutant les portions à améliorer .
- Il y a en effet encore de la place pour obtenir la couleur que je préfère après une vraie fessée. Je veux voir de l’écarlate partout «
Combien de coups ai-je reçus au final?
Je ne savais pas. Aussi, quand Mademoiselle me posa la question. Je ne sus pas répondre. C’était affreusement vicieux comme question. En effet, minorer le chiffre pourrait suggérer une rallonge, mais l’exagérer pouvait avoir aussi un effet négatif.
J’optais, donc, pour un piteux,
- Je ne sais pas Maîtresse Chloe.
La réponse de cette dernière ne se fit pas attendre!
- Vous entendez, les filles, delphine ne sait pas compter ! Elle est incapable de mesurer l’ampleur du bienfait dont elle bénéficie!
Désormais, certain de vivre un enfer avec mes nouvelles éducatrices
Maîtresse Marie-Sophie, intervint, alors, à propos :
- eh bien, on va lui apprendre ! delphine, tu prendras une feuille de papier et écriras tous les nombres jusqu’à mille, avec une écriture parfaite; voyelles en rouge, consonnes en noir. Tu auras ainsi le temps de bien les intégrer dans ta tête. Ensuite, tu remettras à chacune d’entre nous un exemplaire de ton travail, qui devra être impeccable. Je suis personnellement une maniaque de l’écriture. Si c’est trop mal écrit, ça sera à refaire, mais prolongé jusqu’à 2000.
Cette sanction fut saluée par des applaudissements nourris. Maîtresse Sybille, une nouvelle fois, loua cette bonne indée.
- C’est super, vous prenez des initiatives, spontanément, et judicieuses en prime. On ne va pas s’ennuyer!
De mon côté, je n’aurais pas repris les mêmes termes, mais peu importe. J’avais, désormais, la certitude que j’allais vivre un nouvel enfer.
J’attendais toujours la permission pour pouvoir me relever. Cependant, Maîtresse Chloe continuait à tapoter gentiment mes fesses pour me montrer que j’étais toujours à sa merci. Il s’agissait vraiment d’une séance d’humiliation. J’avais même peur de bouger un peu la tête.
C’est dire si j’étais subjugué par la nouvelle éducatrice, qui avait parfaitement gagné ses galons.
Convaincue elle-même, elle condescendit à m’octroyer ce que j’attendais avec impatience, ne serait-ce qu’un moment, car la suite n’était pas synonyme de libération. J’espérais juste avoir un petit moment de répit avant la reprise des hostilités.
Un petit moment de répit…
De fait, je pus bénéficier, quand même, de ce moment de répit. Ainsi, en me redressant, je vis que Maîtresse Sybille avait écrit un certain nombre de choses pendant ma séance de punition.
Elle prit, donc, la parole, ce qui permit une petite transition avant que ma punition se poursuive.
Une transition, certes, mais, il ne me fut pas permis d’en profiter avec un confort minimal, car l’insatiable Maîtresse Chloe me rappela à l’ordre,
- delphine, à 4 pattes, tête contre le sol et lèche-moi les pieds, pendant que ta Maîtresse nous parle.
En effet, Maîtresse Sybille annonça qu’elle avait rédigé quelques notes pour faire un compte rendu plus fourni sur l’entretien avec mes anciennes éducatrices.
De façon assez formelle, elle débuta son discours par,
- Il y a beaucoup de choses à raconter. Cela va nous aider à accomplir à notre mission, car cela en est bien une, dans les meilleures conditions possibles. Mais dors et déjà, après ce que les quatre demoiselles m’ont confié, je peux vous dire que delphine aura besoin d’une prise en main d’une sévérité extrême. Cela passera par une attention constante, avec aucun relâchement possible. En effet, la demoiselle est vicieuse. Aussi, êtes-vous prêtes à relever ce défi noble? Je vous rappelle que cette mission sert la cause féminine. J’espère qu’un jour, nous assisterons, à une remise complète de l’homme à sa place.
- Avant de reprendre la punition, êtes vous d’accord sur le premier principe? Même si je conserve le titre de propriété que j’ai acquis sur delphine, vous vous engagez à un contrat de cinq ans minimum pour parfaire son éducation à mes côtés, notamment lorsque je n’aurai pas la totale disponibilité pour mener à bien cette mission?
Le ton était volontairement solennel, et la réponse l’accompagnant sans ambiguïté .
Contrat accepté par ces jeunes novices
C’est avec enthousiasme que le contrat fut accepté. Maîtresse Chloe s’exclama,
- Tu as entendu delphine? Tu nous appartiens pour au moins cinq ans! Crois-moi en ce qui me concerne j’ai déjà de grands projets pour toi!
Et Maîtresse Marie-Sophie ajouta,
- C’est justement le moment de concrétiser par des actes ces excellentes dispositions !
D’une voix dure, elle s’adressa à moi,
- delphine, vite, sur mes genoux! A chaque coup, qui devra être compté, ça sera « merci Maîtresse Marie-Sophie d’avoir la bonté de m’éduquer »! Je suis gentille. Ainsi, je te préviens, tu auras 50 coups, mais si tu te trompes en cours, on recommence à zéro! C’est clair ?
Tandis que je reprenais mon humiliante position, je n’avais plus qu’à dire « oui, Maîtresse Marie-Sophie »
Comment expliquer cette acceptation, alors que je venais de subir une vrai châtiment corporel, assorti d’humiliation, dont les brûlures sur mon derrière étaient encore vives et cuisantes?
J’aurais pu profiter de la disparition des quatre personnes qui m’avaient envouté, percé mes faiblesses au point de m’en remettre à leur toute puissance et de dire : « fin de partie, j’ai assez donné » .
Pourtant, j’en redemandais. De nouveau, j’étais conquis par ce nouveau trio de jeunes dominatrices. Elles avaient su prendre le relai de mes anciennes éducatrices. Ces deux jeunes filles, apparemment novices dans l’art de la domination, donnaient l’impression d’avoir exercé leur talents depuis leur naissance. En effet, leur autorité s’exprimait aussi naturellement.
…Reprise de la punition!
Mon esprit soumis était resté longtemps enfoui. Il s’était révélé à la faveur de circonstances favorables, alors que ces demoiselles venaient inversement de découvrir avec ravissement leur disposition pour un exercice qui ne les avait pas, ou si peu, effleuré, jusqu’à la veille de ce jour mémorable.
Nul doute désormais, qu’elles allaient s’employer à vivre cette nouvelle vie avec frénésie pour mon plus grand malheur. Enfin, était-ce un si grand malheur! En refusant d’admettre ma nature profonde de soumis, essayais-je de me mentir à moi-même ?
Je me demandais quand même, avec cet épisode surprenant, si beaucoup de ces jeunes demoiselles d’aujourd’hui, qu’on qualifie de « modernes », n’étaient pas toutes des dominatrices qui s’ignoraient!
Pendant que ces pensées me traversaient l’esprit, des nouveaux coups de cravache s’abattirent sur mes fesses.
Ces deux novices voulaient faire leur preuve et démontraient l’étendue de leur capacité!
A suivre