Ma nouvelle Maîtresse emporta une petite boite de macarons et quitta la pièce. Je la rejoignis, deux minutes, après avec son café. Elle étais assise sur le canapé en cuir. Il y avait une petite table basse en plexiglas devant elle avec les macarons et une boîte de La Maison du Chocolat. J’attendis avec la tasse à genoux auprès d’elle. Elle ne dit rien pendant une minute puis, elle se décida, enfin, à prendre la tasse me laissant la soutasse dans les mains. Elle sirota une petite gorgée, me tendit la tasse et me demanda de la reposer avec la soutasse sur la table. Je dûs, ensuite, lui présenter les chocolats pour qu’elle puisse en choisir un. L’odeur de chocolat était très forte et appétissante. C’était un supplice pour moi qui avait très faim.
- Retire mes chaussures maintenant, je vais m’allonger un peu.
A genoux, en train d’embrasser les pieds de ma sublime Maîtresse!…
Je hottai, délicatement, les escarpins de ma Maîtresse. Ses pieds étaient divinement beaux, bien cambrés avec des orteils magnifiques.
- Ils te plaisent mes pieds?
- Oui Maîtresse! Ils sont superbes.
- Embrasse les, embrasse les partout!
J’appliquai plein de baisers sur toutes les surfaces de ses pieds. Elle prit un macaron et me regarda amusée.
Tout à coup, elle me repoussa avec un pied sur la tête pour me dégager.
- C’est bon, ça suffit.
Elle s’allongea et me demanda d’ajuster la couverture sur elle.
- Tu vas nettoyer à fond la cuisine, elle en bien besoin. Je ne veux plus une seule tache de gras. Je veux des plaques nickelles, les faïences et l’inox qui brillent, un sol parfait, des marmites neuves bref une cuisine ultra propre. Tu as tout ce qu’il faut. Alors au boulot, je suis gentille tu as deux heures. En revanche pas de bruit, j’ai envie de me reposer et ne veux pas être dérangée par des bruits de vaisselle ou autre…
…nettoyage complet de la cuisine…
Le travail était particulièrement pénible. J’en avais vraiment marre. J’avais faim, il n’ y avait rien d’excitant à astiquer cette cuisine, mais il fallait que je le fasse. Je pensais à tout le travail qui m’attendait chez moi, pour la fac. Je n’avais aucune idée du temps que j’allais passer dans cette maison. Mais si j’abandonnais, c’était terminé pour moi et j’étais envouté par cette femme cruelle. Alors que plein de travail m’attendait chez moi, je continuais à me démener comme un fou, le ventre vide pour cette belle femme envoûtante, tranquillement allongée sur son canapé.
Régulièrement, je devais m’interrompre dans mon ménage pour lui apporter des choses. Un verre d’eau, une télécommande, réajuster la couverture… Elle n’avait absolument aucun scrupule.
- Jeune esclave, viens ici, aux pieds ! Qu’est-ce que tu fiches? Tu vas me masser un peu les pieds pour me détendre.
Elle était assise. Aussi, je me plaçai, à genoux, devant elle, assis sur mes chevilles. Elle me tendit son pied droit et posa le gauche sur ma cuisse. Je commençai par frotter le haut du pied en descendant lentement vers la plante. J’augmentai la pression en me rapprochant de la plante. J’utilisai ensuite mes pouces et je fis de petits cercles en exerçant une pression assez forte. Le frottement sur le nylon de ses chaussettes me brula un peu les doigts mais j’éprouvai un grand plaisir à m’occuper de ses pieds.
- Dis-donc tu te débrouilles bien…
- Merci Maîtresse!
- Continue, ne t’arrête pas!
…puis massage des pieds de ma nouvelle déesse!
Je massai depuis plus de quinze minutes.
- Retire mes chaussettes, et continue…
Le contact direct avec sa peau était beaucoup plus agréable. Je pris chaque orteil pour les étirer légèrement. Je glissai, également, mes doigts entre ses orteils.
- Tes mains sont douces, montre les moi!
Je tendis mes mains vers elle. Elle ne les toucha pas mais les observa.
- Tes mains sont vraiment très belles.
- merci Maîtresse.
- Tu fais du piano?
- Oui Maîtresse.
- C’est bien ça… Continue à me masser les pieds!
Elle s’étendit un peu plus sur le fauteuil. Je reculai pour lui laisser la place et je repris mon travail.
- Hum… C’est vraiment très agréable… Quel bonheur… Continue !
Cela devait faire trente minutes que je lui massais les pieds.
- Malheureusement, tu vas devoir arrêter, n’oublie pas que j’inspecte la cuisine dans trente minutes.
Elle vit mon air paniqué. Le massage de ses pieds m’avait amputé mon temps de trente minutes et il me restait beaucoup de choses à faire.
- Bon… Comme je suis une Maîtresse très gentille et que ton massage était exquis je t’offre quinze minutes supplémentaires. Mais en tout cas, si tu arrives à finir avant tu peux revenir pour me masser… N’hésite pas !
- Merci Maîtresse
- Mieux que ça, baise mes pieds.
J’embrassai le dessus de ses orteils. Elle sourit et me tendit ses plantes de pieds jointes que j’embrassais de haut en bas.
- Allez remets mes chaussettes, j’ai froid.
Fin du nettoyage de la cuisine!
Pendant que je lui remis ses chaussettes de nylon délicatement, elle sourit.
- Je dois aller aux toilettes pour faire pipi… Dommage je ne t’ai pas appris encore à… Bientôt je ne serais plus obligée de me déplacer si j’en n’ai pas envie, tu va apprendre… Tu verras…
Elle se leva en éclatant de rire en voyant ma tête un peu interloquée pendant que je rejoignais mes corvées dans la cuisine.
Pour moi une course contre la montre commença. Même si j’étais très fatigué et que j’avais faim, je trouvai l’énergie nécessaire pour astiquer, nettoyer afin d’offrir une cuisine impeccable à ma nouvelle déesse. Je me dis que finir cinq minutes avant me permettrait de lui faire un massage qui lui ferait plaisir. De plus, elle serait contente de moi et ça m’aiderait beaucoup pour l’inspection.
- J’ai fini de nettoyer votre cuisine Maîtresse.
- Quelle heure est-il? Ah super, tu vas pouvoir me faire un petit massage.
Je commençai à m’agenouiller.
- Non tu vas me masser les épaules et les cervicales.
- Bien Maîtresse.
- Un peu plus fort. Oui c’est bien.
Cinq minutes plus tard, elle posa ses mains sur les cuisses, me regarda et se leva.
- Bon je me suis bien relaxé, on va jouer un peu… Allonge toi par terre devant moi.
Maintenant, place au jeu!
Elle posa son pied droit sur mon ventre puis elle appuya, progressivement, tout en me fixant du regard. J’essayai de ne pas trop grimacer. Elle lâcha un peu la pression. Tout à coup, elle mit tout son poids sur son pied droit et leva son pied gauche. J’eus le souffle coupé et lâchai un gros soupir. J’avais l’impression d’avoir reçu un gros coup de poing. Elle plaça son pied gauche sur la poitrine. Elle oscilla ensuite son poids du pied gauche au pied droit. J’avais très mal… Elle se plaça, ensuite, les deux pieds sur ma poitrine, face à moi et s’amusa à me regarder grimacer avec un sourire sadique.
- tu aimes mon petit massage à moi?
J’avais beaucoup de mal à respirer. Ma poitrine me brulait.
- j’entends rien ?
- oui… Maitresse…
- Dis merci alors !
- Merci… Maîtresse
Elle posa son pied gauche sur ma bouche et transféra tout son poids sur le droit. J’avais très mal au sternum qui était totalement écrasé.
Elle s’amusa à transférer son poids des orteils aux talons, et scruta mon regard.
- Arrête tes grimaces, souris un peu… Je suis lourde?
- non… Maîtresse…
- je suis légère, alors? Donc, je peux sauter?
Je paniquai.
- oui… Maîtresse…
- supplie moi de sauter?
- Je vous supplie… Maîtresse… De sauter sur moi…
- hum… Pas très convaincant… Non, je ne veux pas.
Elle éclata de rire.
- J’adore piétiner les hommes… Je veux dire les eclaves… J’adore sentir ton corps vulnérable trembler sous mes pieds. Tu es totalement à ma merci, sous moi, si supérieure, je peux t’écraser comme je veux, c’est très excitant, ça me fait beaucoup de bien…
Elle me caressa ensuite le visage. avec le bout de son pied.
– tu as un beau visage jeune esclave, c’est bien, c’est important… Je me demande s’il est confortable…
Assise sur mon visage!
Elle descendit enfin!
- assis toi par terre, tête posée sur le canapé, je veux m’asseoir dessus. Regarde le plafond… Enfin pour l’instant.
Toujours par terre, j’eus du mal à me lever. J’avais l’impression de sentir encore son poids sur moi. Je reçus un coup de pied sur les côtes.
- Dépêche toi, qu’est ce que tu fous, jeune esclave?
J’arrivai à l’installer. Elle se positionna, très vite, et elle laissa ses fesses à deux centimètres de mon visage. Prends ta respiration, respire bien.
Ses fesses étaient très belles mais j’avais peur…
- Elle est belle la vue, tu es prêt ?
Cinq minutes après, ses fesses s’écrasaient sur mon visage. Elle se releva une minute et se rassit. La pression était encore plus forte. Mon nez, mes yeux me faisaient mal. Ça me parut interminable. Je faisais des gros mouvements de tête pour la dégager. J’avais mal au coup. Elle se souleva.
- quinze minutes, c’est quoi ça ? Tu dois pouvoir rester quatre fois plus longtemps…
Elle recommença, je réussis à tenir 22 minutes. J’avais failli m’évanouir.
- ta tête est assez confortable pour mon cul, mais va falloir soigner ton souffle et ton mental…
Elle me caressa la joue.
- Tu as de belles marques, c’est mon pantalon… c’est bien tu as la peau douce, c’est important parce qu’en général je préfère le « face-sitting » cul-nul. Je n’aime pas sentir des poils sous mes fesses.
Elle se leva.
- bon on va aller voir cette cuisine… Tiens mets toi à quatre pattes jeune esclave, tu vas faire le cheval pour m’emmener.
Transformé en cheval pour transporter ma sublime Maîtresse!
Elle s’assit, tranquillement, sur mon dos, se positionna bien pour être confortable. Ensuite, elle me demanda d’attendre un peu. Ainsi, elle rangea des choses. Elle but un peu de son verre d’eau et prit un macaron. J’étais impressionné, je crois qu’elle était, totalement, indifférente à ma fatigue, ma souffrance, ma faim, ma soif. Je ne sais pas si elle en avait conscience, si elle faisait exprès ou si elle était, juste totalement, égoïste.
- Allez mon cheval, on y va, plu vite!
Je reçus un petit coup de cravache sur les fesses. J’arrivai enfin dans la cuisine. Elle me tapota la joue.
- c’est bien mon petit esclave. Ça m’a l’air pas mal du tout…
Elle avait l’air contente. Elle ouvrit les tiroirs des ustensiles, regarda les fenêtres, caressa les plaques, regarda partout…
- C’est très bien…
Elle me regarda puis elle réfléchit.
- mets toi à quatre pattes, jeune esclave, devant les plaques, tu vas me servir d’escabeau pour que je puisse nettoyer au dessus de la hotte.
Je m’exécutai. Elle se tint avec le plan se travail et elle parvint à monter debout sur mon dos. Je me concentrai pour ne pas m’écrouler. C’était très dure, mais je savais que c’était le dernier de ses soucis.
- il y a un petit peu de gras ici, pas beaucoup mais ce n’est pas complètement net, déplace toi un peu sur la droite. Sans me faire tomber! Oui dommage pas tout à fait net.
Première punition…
Elle descendit.
- Alors, jeune esclave?
- je suis désolé Maîtresse…
- Je m’en fous que tu sois désolé. Moi aussi je suis désolée, c’est dommage, c’était pas mal mais je vais devoir te corriger…
- pitié Maîtresse…
- je n’ai pas le choix… Il faut bien que je te dresse pour que tu apprennes. Allez ne me fais pas perdre mon temps, retire ton tablier et ta chemise et prosterne toi à mes pieds. Allez, un peu de courage, ne fais pas l’enfant… Tu comptes les coups.
J’attendis fébrilement le premier coup, les yeux à deux centimètres de ses orteils.
- Ah !!!
- tu comptes et tu remercie, j’ai dit.
- « 1 », merci Maîtresse
- trop tard, on recommence, tu feras un petit bisou sur chaque pied…
Elle s’arrêta à cinq. J’avais l’impression que mon dos était en sang…
- Bon on va faire autre chose, ça va aller plus vite et ça sera moins fatiguant pour moi. Va me chercher mes talons dans le salon.
Je posai avec précaution ses escarpins à ses pieds.
- tu vas mettre tes mains à plat par terre, les paumes vers le plafond.
…puis ma sublime Maîtresse debout sur mes mains avec ses talons!
Elle se plaça devant moi, chaque talon au centre des mains. Elle était sur les pointes mais elle appliqua, petit à petit, son poids sur les talons. Ça me faisait terriblement mal, j’avais l’impression que mes mains allaient être transpercées.
- chut… Oui ça fait mal ça…
- pitié Maitresse… Je ne peux plus…
- Ne t’inquiète pas, je l’ai déjà fait ça ne craint rien… Il paraît que ça fait mal, c’est vrai. moi je ne ressens rien dans ces chaussures elles sont très confortables. Allez baise mes chaussures, ça va t’aider à oublier la douleur.
Des larmes coulaient de mes yeux. Je ne pouvais me contrôler. Elle le vit et elle me sourit tendrement, sans bouger.
- Tu pleures mon jeune esclave. Oh… Ca va allez, ne t’inquiète pas… Tu t’es pas mal débrouillé jusqu’à présent.
Elle me caressa les cheveux et plaqua ma tête en larmes contre son pantalon.
- Chacun son rôle, chacun sa place tu sais. Je suis obligé de punir pour que tu apprennes, tu te souviennes. Tu es là pour souffrir et moi pour te faire souffrir.
Elle s’accroupit tout en laissant mes mains sous ses talons puis elle me fit une bise sur le haut du crâne. Ensuite, elle saisit ma tête, me fixa en souriant, m’embrassa une première fois sur le front puis une deuxième sur les lèvres.
Elle libéra, enfin, mes mains et regarda son « œuvre »…
- Ah oui quand même… Ce n’est pas grave, tu vas te souvenir de moi comme ça… Un peu de crème et dans quelques jours ça ira mieux… Bon je n’ai plus beaucoup de temps, j’ai rendez-vous dans pas longtemps avec une amie pour un ciné. Tu vas juste ranger un peu le salon et tu passes rapidement l’aspirateur. Tu viens me voir quand tu as fini, je suis dans la salle de bain. Plus d’inspection pour aujourd’hui.
Elle me sourit d’un air moqueur mais tendre.
….crachats dans ma bouche!
Une fois mon travail achevé, je la retrouvai dans la salle de bain où je pouvais sentir est son parfum extraordinaire. Elle se coiffait, elle avait l’air vraiment heureuse. Je me mis à genoux et la regardai. Elle me regarda à travers son miroir et sourit. Qu’est-ce qu’elle était belle !
Elle se brossa ensuite les dents soigneusement. Ensuite, elle se retourne vers moi, me saisit la tête, approcha sa bouche de la mienne et cracha tout. Elle reprit, de suite de l’eau, se gargarisa et recracha à nouveau dans ma bouche.
Puis, elle continua de se maquiller comme si rien ne s’était passé, tout était naturel.
J’étais choqué. Elle ne me regarda pas et mit son rouge à lèvre puis elle se maquilla les yeux.
- Cela va un peu mieux tes mains, tu arrives à bien bouger tes doigts?
- Oui Maîtresse, ça me fait très mal, mis ça va un peu mieux.
- C’est un peu gonflé, tu vas avoir des bleus mais ça va passe. C’est le métier qui rentre. Enfin je ne sais pas comment on dit pour un jeune esclave? Tiens tu vas me passer un peu de crème sur les mains si tu arrives à bouger tes doigts.
Je lui massai ses belles mains manucurées pour bien faire pénétrer la crème.
- Tes doigts sont toujours aussi doux, c’est agréable. En plus j’adore le parfum de cette crème. Bon il faut que je me dépêche je suis en retard. Le taxi arrive dans cinq minutes.
Nettoyage des bottes avec ma langue!
Je l’accompagnai vers un immense dressing. Il y avait des étagères remplies de chaussures de toute sorte. Elle choisit de superbes bottes en cuir noir. J’étais heureux de l’aider à les enfiler.
- Elles sont belles, n’est-ce pas?
- Oh oui Maîtresse.
- Mais elles ne sont pas nickelles et ça désormais ça sera ton travail… Lèche la semelle en attendant.
Je lêchai de haut en bas chaque semelle en lui tenant les mollets. Mes blessures au mains me faisaient très mal.
- C’est bien jeune esclave, lèche bien les bottes de ta Maîtresse, c’est bien mon chien.
Elle rit.
- Il faudrait me les faire briller un peu maintenant. Tiens, tu n’as qu’à prendre ton pull. C’est dommage, il est beau mais tu n’auras qu’à le laver.
Je frottai les bottes énergiquement avec mon pull pour les faire briller.
- Bon, désolé mon jeune esclave mais il faut y aller maintenant, le taxi devrait déjà être là.
Accepté par cette sublime Maîtresse en tant que son jeune esclave!
On se mit à l’entrée de la porte et on attendit.
- Je suis d’accord pour continuer avec toi jeune esclave. Aussi, je veux que tu me fasses un emploi du temps avec tes disponibilités. Je ne veux pas t’empêcher de faire tes études mais tu dois pouvoir me consacrer une dizaine d’heures par semaine. Tu prends ce temps sur tes loisirs, ton repos, tes repas, ce que tu veux tu te débrouilles… Je suis certaine que tu peux y arriver. Tu es d’accord, tu veux continuer?
- Oui Maîtresse.
- C’est bien, alors on va se revoir souvent.
- Merci Maîtresse.
- Tu peux emporter ta blouse avec toi. Il faudra la laver. Ah oh fait, tu me dois 27 euros, tu peux me payer la prochaine fois.
Je n’en croyais pas mes oreilles. En effet, je venais de passer des heures à nettoyer sa maison gratuitement et elle me demandait de rembourser la blouse. Je savais que cette somme était dérisoire pour elle(mais pas pour moi), que ce n’était rien du tout mais elle voulais m’humilier, me rabaisser le plus possible.
- Tu as un peu souffert mais tu vas pouvoir repartir en te disant que tu as pu m’apporter un peu de plaisir et me faciliter la vie. Je déteste le ménage, je trouve ça terriblement ennuyeux, je n’aime pas me fatiguer pour rien et grâce à toi j’ai une salle de bain, une cuisine, des toilettes, un salon bien propre. C’est super, non?
- Oui Maîtresse.
- Et puis on s’est bien amusé tous les deux.
- Merci Maîtresse
- C’est bien, baise une dernière mes bottes, le taxi arrive.
On sortit tous les deux. Elle monta dans son taxi et elle me dit à très bientôt. Je me dirigeai vers le métro. J’étais sonné comme un boxeur KO, tout se mélangeait dans ma tête
J’étais heureux d’être libre mais, dans le même temps, j’étais pressé de la revoir.
A suivre