L’apprentie soubrette en phase éducative

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apprentie soubrette

Tu viendras samedi,m’avait-elle dit,et tu m’appartiendras pour toute la journée et toute la nuit.Alors prépares-toi bien car j’exigerai un service impeccable

Ces paroles je les prenais très au sérieux car lorsque ma Maîtresse n’était pas satisfaite elle le faisait vite savoir,et les punitions pleuvaient, plus ou moins sévères selon son humeur,toujours empreintes de son goût poussé pour l’humiliation,qui selon elle était partie intégrante de l’éducation afin que le soumis n’oublie jamais où était sa vraie place.

Elle m’accueillit vêtue d’un joli peignoir qui laissait deviner en dessous une charmante nuisette: qu’elle était séduisante ma Maîtresse! Mais je n’avais pas trop intérêt à le montrer car elle me tourmenterait d’autant plus. Malgré tout je ne pus éviter de commettre l’erreur fatale,selon elle, de la regarder trop ostensiblement dans les yeux. Et vlan,je reçus une gifle magistrale et l’index pointé vers le sol me signifia immédiatement la posture que je devais prendre, ajoutant :

« je dois toujours garder les yeux et la tête baissés devant ma Maîtresse et je serai puni chaque fois que je manquerai à cette règle » .  » tu me copiera ça 500 fois! La journée commençait bien!

Je compris que ma Maîtresse avait décidé dès le départ de me mettre en condition et de me faire comprendre que la journée serait hautement éducative;que la formule « tu m’appartiendras » aurait tout son sens.

Elle me laissa donc à genoux,tête et yeux baissés un certain temps dans un coin en affectant de m’ignorer,mais l’ordre de ne point bouger rajoutait à l’inconfort de la situation.

Ses dernières paroles avant de me désigner le coin où je devais faire pénitence,avaient été de m’ordonner de me mettre complètement nu,et c’est ainsi qu’exhibé que je me retrouvais piteusement à attendre le bon vouloir de ma Maîtresse pour me donner des instructions. Il n’y a rien de tel que ce genre de situation pour méditer sur son statut,pour anticiper ce qui va suivre,même si on ne connait pas exactement le programme, on comprend que la journée va être fertile en évènements et on se concentre dans le but d’offrir à sa Maîtresse le service qu’elle est en droit d’attendre de son soumis.

L’attente parut interminable,puis après quelques petits coup de cravache sur les fesses pour me rappeler que l’ordre d’immobilité était toujours en vigueur,elle me dit de la suivre à quatre pattes dans une pièce pour me mettre en tenue. Je ne savais pas trop ce dont il s’agissait,mais je compris vite que les vêtements féminins posés sur une chaise étaient pour moi: une tenue complètement féminine! Cela me troubla car cela ne m’était jamais arrivé,j’avais déjà porté des blouses et tabliers pour le ménage sur son ordre mais là,cela allait plus loin,une nouvelle étape semble-t-il se profilait. Je savais qu’il faudrait obéir malgré la gêne,car l’emprise de ma Maîtresse était désormais trop forte sur moi pour oser une velléité de révolte,et de plus,je fus trahi par ma queue qui se dressa malgré moi à la vue de ces vêtements.

Il y avait une culotte blanche en dentelle, des bas résilles noirs avec un porte- jarretelles blanc,et même un soutien-gorge pour compléter le tout. Puis une jupette noire à volants très courte,enfin une petite blouse blanche presque transparente qui n’arrivait pas jusqu’au bas de la jupe. j’étais honteux dans cette tenue,alors que ma Maîtresse au contraire me raillait en disant : « j’étais certaine que tout cela t’irait à ravir,mais tu as oublié quelque chose ».

Je me demandais bien quoi,je me sentais doublement stupide,au point de rendre ma Maîtresse impatiente,ce qui n’était pas bon pour moi. Alors dit-elle ,furieuse, « comment complète-t-on la tenue d’une soubrette stylée et motivée pour offrir un service impeccable à sa Maîtresse? »

Le ton fut de nature à me stimuler pour proposer des réponses qui malheureusement ne feraient qu’augmenter mon humiliation,car en fait cela revenait à m’obliger à demander à ma Maîtresse d’autres accessoires pour ma panoplie qui pour moi était déjà suffisamment ridicule,mais la perspective de recevoir des châtiments sévères me poussa la mort dans l’‚âme après réflexion,à réclamer la coiffe réglementaire sur la tête,ainsi que des chaussures à talons hauts,dont je me demandais comment je pourrais les supporter . En effet triomphante ,elle m’apporta des escarpins noirs brillants qui faisaient bien 10 cm de haut et une fois perché je me demandais comment les femmes peuvent aimer porter de tels instruments de torture,mais ça n’ était pas la question du moment, d’autant que le ballet commença,ma Maîtresse exigeant que j’adopte une démarche gracieuse pour déambuler avec ces chaussures aux pieds.

Et il fallut,tourner,retourner,prendre des poses pour participer à une sorte de rituel initiatique qui signifiait mon intronisation comme « soubrette » au service de ma Maîtresse. Bien sûr,je savais qu’il faudrait,après la première faute du matin,constamment baisser la tête et les yeux,pour ne pas encourir une nouvelle punition, car quand j’étais puni pour une faute,celle infligée pour une récidive était toujours aggravée d’autant, et je n’y tenais pas. Ma Maîtresse put constater que tout au long de la scène où je m’exhibais devant elle dans mon accoutrement,la rigidité de ma queue était constante, ma tenue faisait que je ne pouvais rien cacher,encore moins quelques petites gouttes qui s’échappaient ci et là de ma petite culotte. Je me sentais un peu oppressé par ce soutien -gorge inutile qui m’emprisonnait,et le porte-jarretelles tirait fortement sur les bas, tout ce qu’il faut pour ne pas se sentir à l’aise,alors qu’en même temps l’on exigeait de moi une grâce exceptionnelle.

Ces gouttes m’occasionnèrent un nouvel ennui:

-« tu n’as pas honte,cochonne? » alors que la tête toujours plus courbée mais si rougissante,je balbutiais « si,Maîtresse »

Très bien,alors,pour la peine,quand tu feras le ménage,tu le feras à quatre pattes,comme une chienne que tu es,et perfidement elle ajouta :

« tu lécheras le plancher avec ta langue,et quand tu laveras les sols de la cuisine et de la salle de bains,toujours dans la même posture,tu frotteras avec cette petite brosse;j’aime le travail de précision « ,dit-elle en riant!

ça ne me faisait pas rire,je comprenais de plus en plus que la journée allait être rude,décidément. Mais je ne pouvais nier,que cette sévérité ne pouvait que contribuer à faire de moi,une soubrette des plus stylées,et que comme j’avais tout à apprendre,il faudrait bien en passer par des moments difficiles!

En attendant fit ma Maîtresse,
« fais-moi couler un bain,j’exige une température de 37,et ne t’amuses pas à oublier cette consigne ou alors il t’en cuira «  ,et la cravache dans sa main,je compris qu’il ne s’agissait pas de paroles en l’air.

Je me dirigeais vers cette salle de bain,dont je constatais qu’elle était assez grande pour que son nettoyage soit source de soucis,avec cette petite brosse ridicule comme unique ustensile pour exécuter cette tâche. J’eu beau prendre toutes mes précautions,mais lorsque je pus signifier à ma Maîtresse que son bain était prêt,et implicitement à la température requise,le fit-elle exprès ,mais toujours est-il que lorsqu’elle mit un doigt dans le liquide, facétieuse,elle s’enquit de vérifier que…. …. la température avait baissé de quelques dixièmes du fait qu’elle avait un peu tardé pour rejoindre la baignoire, sans doute à dessein.

Alors je ne pus échapper à l’incartade,mais prononcée sur un ton ambigu, à la fois menaçant,mais non péremptoire,dans lequel la colère aurait fait place à la moquerie

« je t’avais prévenu que je serais obligée de te punir,n’est-ce-pas ?  » ,comme si elle le regrettait, regret bien factice en réalité! Je fus obligé d’acquiescer une nouvelle fois,en articulant humblement et penaud « oui,Maîtresse »

« bien,tu me rappelleras plus tard,que je dois te punir,et tâche de formuler cela en des termes convaincants,pour que je choisisse une punition appropriée.

Elle savait que cela me procurait les plus vives contrariétés,car outre l’humiliation d’avoir à demander une punition,si je le faisais en des termes « peu convaincants » comme elle disait,je risquais une sanction plus forte;mais si au contraire,je me chargeais un maximum en augmentant la gravité de ma faute, elle pouvait très bien dire

« tes paroles me touchent,tu désires vraiment être très sévèrement puni pour faire pardonner ta faute! »

alors de toute façon cela revenait ,une fois de plus, à me faire comprendre, que tout reposait sur son humeur,et visait à me fragiliser en permanence.

Une femme dans son bain est toujours en soi un spectacle érotique,et celui d’une Maîtresse que l’on admire,l’est d’autant plus,mais devant une Maîtresse il est conseillé de garder son sang-froid!

Je reçus l’ordre,alors,pendant que ma Maîtresse désirait se prélasser et se détendre, de m’occuper donc de cette corvée de « lavage de plancher » puis de laver le carrelage de la cuisine dans les conditions déjà évoquées ,peu enviables. Je savais que dans ces conditions,lorsque ma Maîtresse sortirait du bain, ces travaux ne seraient pas terminés,et qu’elle aurait le loisir de contempler mon humiliante souffrance ménagère.

Bien entendu elle ne tarda pas trop à m’appeler,pour que je vienne la frotter,et mon émoi fut grand en voyant ce joli corps de femme,si fière d’elle dans sa pose altière ,qui présidait à ma destinée si naturellement,et ce corps j’avais le droit de contribuer à son bien-être mais sans jamais dévier du chemin autorisé,ce qui était une sorte de supplice de Tantale.

Elle le sentait bien,ma Maîtresse,l’état de fièvre dans lequel je me trouvais, et elle ne faisait rien pour diminuer mon supplice, bien au contraire;et je devais tenir coûte que coûte,les sécrétions s’accumulant au fur et à mesure dans ma petite culotte. Je ne pouvais pas faire mieux,déjà éviter de m’abandonner complètement était en soi une performance.

Elle était gracieuse,charmante,ma Maîtresse,mais je devais strictement m’en tenir à la lettre aux instructions qui sortaient de sa bouche, de façon si douce,et dans de tels moments on ne se serait pas douté que cette aimable personne pouvait cacher une impitoyable dominatrice,qui estimait que la place des hommes était d’ être aux pieds et au service des femmes et que ceux-ci n’avaient juste qu’à être éduqués correctement. Je devenais une apprentie soubrette.

Je crois qu’il est assez connu,que lorsque la Maîtresse,est sûre de son pouvoir,elle peut se payer le luxe,ultime triomphe,de s’exprimer avec une extrême politesse ,teintée de douceur charmeuse. Cela est aussi de nature à provoquer le soumis en proie à l’excitation qui le mine,qui le frustre,car il sait avant tout,qu’il devra se contrôler,au lieu de se soulager.

Puis il fallut passer avec une extrême délicatesse les huiles aux parfums essentiels dont elle raffolait puis la sécher,à la fois efficacement,mais sans non plus la rudoyer ce qui aurait été interprété comme un manque de respect. Je remarquais que la cravache n’était jamais très loin d’elle donc pas question de déraper,mais l’équilibre n’en n’était pas moins difficile à trouver. Elle avait parfaitement vu l’évolution de mon trouble et des conséquences sur ma tenue,avec de petites taches qui avaient apparu sur ma jupette,elle pointa sans rien dire dans cette direction,mais ce silence voulait tout dire!

Je fus totalement pris de court quand elle m’ordonna de la coiffer,car je n’avais jamais imaginé accomplir une telle besogne;non que je méprisais cela,mais je ne savais pas comment m’y prendre,et j’avais trop peur de commettre d’irréparables maladresses;mais le ton n’admettait pas la réplique.

« ehbien,ma fille,(c’était la première fois qu’elle m’appelait ainsi,manifestant son attachement à l’idée de me traiter en véritable soubrette) ne sauriez-vous pas qu’une bonne soubrette se doit d’accomplir tout ce qui a pour but de rendre sa Maîtresse plus attirante? »

Il fallait toujours répondre « oui,Maîtresse »,chaque fois qu’une question était ainsi posée,et je ne fis pas exception à la règle. Je connus alors une période intense de vexation,me fis traiter de maladroite,de gourde,et j’en passe; je fus congédié,et invité à repartir dans un coin,à genoux,et sur une règle,cette fois,pour augmenter l’inconfort,avec bras écartés sur lesquels reposaient deux livres épais,avec en plus une de ses culottes dans ma bouche :

toujours l’humiliation en prime.!
Il s’agissait de me faire comprendre que j’avais tout à apprendre,mais je devrai en passer par là,et que mon éducation serait longue,mais continuelle.
J’en avais déjà connu de belles en ce début de journée ,et une fois libéré de ma douloureuse posture,non sans être victime de raillerie une nouvelle fois, mais il fallait que je m’acquitte donc de ces tâches ménagères dont je ne serai pas exempté ,et qu’il fallut reprendre, cette fois sous le regard inquisiteur de ma Maîtresse,qui me suivait pour contrôler la perfection de mon travail,et qui riait de voir mes difficultés dans l’accomplissement de mon travail,vu l’instrument minable entre mes mains,qu’elle m’avait imposé.

Et ce fut prétexte à une nouvelle humiliation,car j’eu le malheur justement de lui suggérer qu’il était difficile d’avancer plus vite et de faire mieux dans ces conditions; j’eu droit alors ,en infamantes représailles , à devoir nettoyer la baignoire,avec une petite brosse à dents!! Cela se ferait après que j’aie terminé les tâches déjà engagées .

Ma Maîtresse entre temps s’était faite un repas dont je ne fus pas totalement exclu,mais je devais de temps en temps,toujours à genoux et tête baissée,prendre un peu de nourriture qu’elle avait posée dans le creux de sa main,et c’est dans cette nouvelle posture que je dus la remercier pour avoir eu la bonté de m’apporter à manger. il fallait quand même que je prenne des forces pour assurer tout ce que l’on m’ordonnait de faire;et si la scène de ravitaillement avait eu un côté hautement symbolique,la quantité de nourriture n’était pas suffisante pour me sustenter correctement,ce qui fait que j’eu droit de prendre ensuite mon repas,mais dans une gamelle posée au sol,et les mains au dos,à genoux!! Le temps passait assez vite malgré tout,tant je n’avais que peu de répit entre mes activités,si éprouvantes physiquement. Ma Maîtresse avait de larges baies vitrées,et ce qui devait arriver arriva,lorsqu’il me fut donné l’ordre de laver ces vitres,avec comme consigne de les faire briller avec éclat.

Il faisait chaud déjà,et donc ce nouvel épisode fut d’autant plus pénible,et me prit beaucoup de temps, ma Maîtresse s’étant absentée sachant que l’essentiel était lors de son retour, que tout soit impeccable,et je savais ce que cela voulait dire,d’où le temps passé nécéssaire pour parvenir au résultat escompté et attendu.

Je devais attendre ma Maîtresse, à genoux,tête sur les genoux,dans le hall d’entrée ,une fois mon travail terminé,et ne sachant pas l’heure du retour,je devais être en position car cela pouvait se produire à tout moment,et je savais que ce genre de scène faisait partie de rituels très stricts qu’il n’était pas question de négliger. C’était une nouvelle pause pendant laquelle on avait tout loisir de méditer sur sa condition,et en l’occurence de faire déjà le bilan sur ce qui s’était passé dans la journée qui s’était bien avancée.

Je me demandais quelles nouvelles épreuves m’attendaient,d’autant qu’une qualité particulière des Maîtresses était de surprendre leurs soumis,surtout en phase éducative!

J’avais une punition écrite à faire,infligée le matin que j’aurais bien commencée,mais il fallait que je reste bêtement dans la posture exigée à l’endroit requis,pour ne pas encourir de nouvelles foudres,j’en avais déjà eu pour mon grade,sans préjuger de la suite.

Je savais que ma Maîtresse parfois avait un réel plaisir à punir,même sans raison précise,mais pour montrer qu’elle avait tous les droits sur son soumis,et que cela participait à son excitation et à son plaisir. J’en eu une preuve immédiate dès son retour! Elle ne regarda même pas l’état des vitres,alors que je m’étais donné un mal énorme pour parvenir à la satisfaire,sa pensée était ailleurs.

Elle s’installa sur son sofa,alors qu’elle me fit signe de la suivre dans cette direction à quatre pattes juste par une simple mimique,mais si expressive.

J’eus alors la permission de relever légèrement la tête,pour comprendre à son expression du visage,que j’allais encore devoir pâtir de quelque caprice de son cru témoignant d’une malicieuse suprématie! Puis après un court silence,un ordre sec:

« déshabille-toi,mets-toi vite toute nue (au féminin,encore) « , ce qui fut fait avec célérité,mais non sans angoisse. Puis enfin,je dus m’étaler le long du sofa,mes fesses reposant sur ses genoux,et je compris qu’une mémorable fessée allait s’ensuivre, s’agissant pour ma Maîtresse de se libérer de l’excitation qui avait cru en elle tout au long de la journée.

Elle aimait donner la fessée qu’elle considérait comme très érotique,les fesses de son soumis totalement à sa merci était pour elle un spectacle des plus jouissifs,et je dus à chaque coup,à haute et intelligible voix,dire « merci,Maîtresse » . Les fesses bien rougies,ce fut le retour au coin,pour que je me repose,dit-elle,sans rire,mais ça ne dura pas trop,c’était comme si elle cherchait à réfléchir à d’autres tourments,alors qu’elle se délassait toujours sur son sofa.

Et l’acte qui suivi sonna comme une surprise,quand elle me demanda:

« viens me réciter,ta récitation! « 

il s’agissait d’un poème qu’il avait fallu écrire en l’honneur de ma Maîtresse,il y a quelque temps,et si je savais que ma Maîtresse y attachait une grosse importance,car elle m’avait dit qu’il devait toujours être présent dans mon esprit,je ne m’attendais pas à devoir le réciter en un tel moment. Bien sûr,je pouvais me faire le reproche de ne pas y avoir pensé avant,et m’y préparer avant de venir pour cette journée  » de service »,mais voila c’était trop tard,et c’est en de bien mauvaises conditions que j’eus à tenter de rassembler tous mes efforts de mémoire pour parvenir à reconstituer ce puzzle,du texte que, avec effarement,je n’étais plus en mesure de recomposer pour l’heure. J’eus droit à quelques minutes pour ce faire,plus encore quelques autres minutes généreusement octroyées,mais en fait cette fausse générosité ne pouvait que se retourner contre moi,puisque je suis convaincu que ma Maîtresse en jouant sur la surprise,savait pertinement que mon effort serait vain!

Malgré ma crainte,qu’il me tombe sur moi un verdict de  » leçon non su » par lequel j’encourais, les châtiments les plus exemplaires, ma mémoire avait atteint ses limites,et je me trouvais incapable de présenter à ma Maîtresse,narquoise sur son sofa,un texte digne de ce nom.

Alors elle hurla, « tu me le copieras 100 fois et tu me l’apporteras au bureau devant mes subordonnées (elle dirigeait un service)!  » tu as une semaine(car le pensum était d’importance) puis elle enchaina :

« tu vas mettre des pinces à linge sur tes couilles,et sur tes tétons pendant que je vais manger au resto,tu termineras les restes de midi,dans la même posture,ou plutôt,non je vais t’attacher au lit,et étroitement,tu verras ce qu’il en coûte de vexer sa Maîtresse!! Elle était déchainée sur le coup,et je n’en menais pas large, l’attente dura des heures,moi recroquevillé au pied du lit,suppliant intérieurement ma Maîtresse de revenir au plus vite,même si je risquais de nouvelles épreuves pénibles.

Ce moment arriva, alors que sa colère était retombée. Elle m’enleva les pinces,et la douleur à la poitrine fut vive lors du retrait,mais elle fit tout pour paraître douce, comme si elle avait voulu manifester une pointe de regret pour sa sévérité précédente.

« Lève la tête dit -elle en riant » Ce que j’interprétais comme une marque de relaxe à mon égard,et alors qu’elle avait ôté sa jupe et son chemisier,trônant devant moi sur son lit,avec seulement sur elle sa petite culotte et son soutien- -gorge. Puis en s’amusant, « alors, tu as envie de voir ta Maîtresse,dépouillée de ces vilains bouts de tissus,n’est-ce- pas? » « oui,Maîtresse  » (toujours la réponse obligatoire) « très bien,alors tu vas m’ôter cela avec tes dents,s’il te plait » !

Ce « s’il te plait  » était pire qu’une gifle, j’allais donc être encore une fois affreusement humilié,et surtout dans cet exercice inédit et insolite,je me demandais comment j’allais m’en sortir.

Je ne cacherai pas que ce ne fut pas chose simple,que de contorsions pour parvenir à mes fins,et plus mes essais étaient infructueux,plus ma Maîtresse riait,mais voyait aussi mon excitation prendre des proportions énormes,ce qui ne l’encouragea pourtant pas à me permettre de me soulager, ça n’était pas l’heure,visiblement. Combien de temps me fallut-il,franchement, je ne saurais dire,mais ce fut physiquement et moralement une vraie épreuve,et j’en suais à grosses gouttes. Je savais qu’avant d’obtenir la permission tant désirée,je devrai d’abord effectuer la toilette intime de ma Maîtresse,et elle aussi était dans un état extrême après toute cette intense journée de mise en scène où elle avait exercé les pleins pouvoir sur un être à sa merci.

Et quand l’ordre fut donné,c’est une mouille hyper abondante qui dégoulina de sa chatte;ça n’était pas étonnant,mais je sus que le travail à faire serait une fois encore,assez conséquent,et bien sûr, fatiguant,surtout après une telle journée. Mais ce dernier rituel était sans doute celui qui ne souffrirait d’aucune négligence,je le savais parfaitement,et il n’y avait pas de fatigue qui tienne.

J’espérais après un soigneux travail qui eu l’air de la contenter,au cours duquel des gémissements s’échappaient de temps à autre,mais qui m’encourageaient à persévérer, je serais récompensé peu ou prou,mais elle était intraitable. Elle me congédia sèchement pour me demander de lui apporter à boire et d’amener la bouteille et le verre sur un plateau que je devrai lui présenter à genoux. J’eus peur de tout renverser tant je me sentais épuisé,mais la force d’une Maîtresse c’est de vous obliger à vous surpasser et dépasser ces moments d’accablements,

servir sa Maîtresse étant quels que soient les termes, un honneur,et donc je finis par triompher de cette dernière difficulté. Reprenant ma posture humble au pied du lit,je dus attendre encore,que ma Maîtresse finisse une lecture d’un magazine pour qu’elle se souvienne de moi,qui n’osait rien dire,bien entendu. Alors seulement,consentit-elle à me dire,tu as mérité un repos,aussi,tu auras l’honneur de dormir au pied de mon lit,mais comme tu as encore beaucoup à apprendre,chienne indocile,je vais quand même t’attacher les pieds et les mains, ainsi tu ne pourras pas te caresser,puis de nouveau menaçante:

 »ne t’avise pas de souiller mon tapis,car tu aurais à le regretter,crois-moi! « 

La cravache était de nouveau à proximité,et je compris qu’il faudrait accepter cette ultime frustration,pour clore cette journée épique,mais la maîtrise de ses pulsions sexuelles est également un devoir pour le soumis et je compris que je devrai m’y faire. Je crus qu’au moins, j’allais trouver un repos définitif après tant d’émotions, d’épuisement, d’humiliations, de frustrations,mais c’était sans compter sur la capacité de sa Maîtresse à toujours vouloir surprendre son sujet,ainsi c’est quasiment groggy que j’entendis ma Maîtresse,réveillée au beau milieu de la nuit,me dire:  » viens ici immédiatement,je veux que tu me lèches des pieds au bas ventre,et tâche de ne rien oublier entre les orteils « , et la cravache dans l’une de ses mains,me fit comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un rêve,mais bien de la réalité!!

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