Ma femme dominatrice marque son territoire !
De retour à la maison, je croise Nat, ma femme dominatrice, qui part à son cours de fitness. Elle me donne un long baiser langoureux.
-À tout à l’heure mon doudou.
-je t’aime ma chérie !
A son retour, encore toute essoufflée, mouillée de sueur, elle baisse immédiatement son pantalon de jogging. Je lui fais avec plaisir un cunnilingus sur son sexe odorant, et comme souvent entre deux plaisirs, elle précise ou modifie ses consignes.
-C’est contradictoire tu déclares que je ne t’appartiens pas, mais tu m’appelles « ma chérie, mon amour etc. ». Cours de grammaire : mon et ma sont des possessifs. Tu ne me possèdes pas. Je ne suis pas à toi, donc tu changes tes habitudes. Devant nos connaissances, je suis Nathalie. Devant les amis et la famille, Nat passera mieux. Et dans l’intimité, tu m’appelles Princesse car maitresse, je n’aime pas.
Elle me fait allonger sur le dos à même le carrelage. Ensuite, elle se place au-dessus de moi et m’urine dessus! Elle m’arrose méthodiquement tout le corps de son liquide chaud, pas désagréable.
-Je marque mon territoire, comme les animaux. Tu es à moi. Ouvre la bouche et avale tout ce qui reste ! Tu pourras noter deux croix oranges qui correspondent aux humiliations, une pour l’humiliation publique devant mon amie, et une pour la douche que je viens de t’imposer .
Puis elle a deux très beaux orgasmes supplémentaires. Elle me dit qu’un jour elle me testera pour voir où sont mes limites de gros cochon.
Drogué à ma femme dominatrice !
Le lendemain, je lui pose une question qui me taraude depuis quelque temps. Pourquoi me donne t’elle les nouvelles règles entre deux orgasmes ?
-Tu attends que je sois prête pour un autre orgasme. Je n’ai pas besoin de te dire « c’est le moment vas y ». Tu l’as toujours senti. Je ne sais pas comment. Peut –être par tes frôlements de mon clitoris avec ta lèvre ou tes doigts ? En tout cas, c’est super agréable. Tu es concentré, attentif, réceptif. Aussi, je suis sûre que tu es à mon écoute et que ce que je te dis sera entendu. Ainsi, je n’aurai pas besoin de le répéter. Et puis tu as la bouche occupée. Tu ne peux donc pas contester : s’esclaffe-t-elle,! En fait, tu aimes tellement me faire plaisir que là tu acceptes tout. Tu es un drogué ! Et je t’inocule ta dose. De plus, je me suis rendue compte que le côté sadique de mes nouvelles règles est un amplificateur pour mon orgasme qui suit.
Elle dépose un baiser sur mes lèvres puis passe sa mains sur mon sexe. Je bande déjà !
– On est à 15 jours sur 30 de frustration et tu t’allumes au moindre contact, baiser ou regard ! Il suffit que je parle sexe et hop ! Tu bandes, pas moyen de la voir au repos. Jamais tu ne tiendras le coup. Tu vas me faire des bêtises !! Met toi nu, je reviens.
La cage de chasteté
Je m’exécute. Peux t’être va t’elle lâcher du lest ? Je bande comme un malade. Je l’entends fouiller dans la chambre puis bricoler dans la cuisine et dans la buanderie. Elle revient. Surprise ! Elle a ses gants de ski, et la petite glacière. Ensuite, elle s’installe sur une chaise, me fait signe d’approcher puis plonge la main gantée dans la glacière. Elle en sort une poignée de glaçons et m’en frictionne le sexe. Ce n’était pas se que j’espérais ! Elle rit en voyant le résultat et n’arrête que lorsque mon sexe douloureux est vraiment tout petit, contracté.
Ensuite, elle sort son téléphone et prend une photographie avec une cigarette à côté « pour donner l’échelle » dit elle.
-Rhabille-toi ! Fini pour aujourd’hui !
Finalement, elle disparaît dans le bureau et me rappelle deux fois dans la nuit pour des croix bleues.
Deux jours plus tard, je reçois un colis à son nom. J’attends sa permission pour l’ouvrir. Quand elle le voit, elle dit :
-je crois que c’est pour toi, ouvre !
Une cage de chasteté ! C’est sa solution pour me faire tenir ! Je crois que je blêmis. Elle rit :
-ne t’inquiète pas ! C’est juste pour quand je dois m’absenter. Surtout que, je pars deux jours la semaine prochaine. Je veux t’éviter une bêtise. Moi aussi je suis impatiente de faire l’amour avec toi. Tu es puni, il faut assumer. Ne compte pas sur moi pour être faible ! On essaie tout de suite je suis impatiente !
Elle est tout excitée.
Toujours en cage de chasteté !
Elle choisit l’anneau à la bonne taille, met en place la coquille et le cadenas. Je la trouve vraiment petite ! Elle admire, prend une photographie puis éclate de rire.
–c’est trop facile ! C’est toi qui te mettras en cage dorénavant. Moi je cadenasse et je garde la clé. Mais le plus dure c’est maintenant. En effet, je veux un orgasme, avec toi en cage.
Il suffit qu’elle prononce ces mots pour que je commence à bander. Confiné dans la cage en plastique, je ressens, immédiatement, une douleur. Cependant, en me concentrant sur son plaisir, je réussis à l’oublier partiellement. Pour le second orgasme, elle me met sur le dos, s’installe sur ma bouche et joue avec la coquille jusqu’à son plaisir. Puis elle retire ensuite ma prison. Le contenu est plus gros que le contenant. Mon sexe est bleu violacé, douloureux. Il a le droit à quelques photographies, moqueries et un massage énergique.
-mais pendant ton absence, s’il m’arrive un problème, je fais quoi avec cette coquille, chez un médecin par exemple ?
-Je te confirai le double, mais dans une boite scellée, attention si tu la brises, je le saurais ! et, quelque soit ton explication, je considérerais que la faute est des plus grave. Ma punition sera terrible. Attention….
Même si elle part au fitness pour deux heures, je suis en cage.
Même si je sors pour faire des courses, je suis en cage.
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L’aboutissement de la complicité et fidelite