Avant de vous raconter cette soirée avec cette dominatrice, il me semble nécessaire de vous cadrer le contexte de notre rencontre. C’était une chaude soirée d’été, sur la côte ouest dans un petit port Français. J’étais installé en terrasse avec deux amis. Nous étions en train de discuter lorsque la patronne du bar vint prendre notre commande. C’était une femme brune élancée, les cheveux courts, légèrement bouclés. Elle commença à énumérer le menu pendant que je continuais à raconter une histoire à un de mes amis, ce qui le fit rire aux éclats.
Elle répliqua d’un ton sec et directif :
- Si vous n’en avez rien à faire de ce que je vous dis, vous pouvez changer de terrasse.
Son ton me glaça le sang et je ne pus que me taire et baisser les yeux devant elle, tellement j’étais gêné. je m’excusai et passai la commande pour moi et mes deux amis. Elle répondit a1 cela sur le même ton que précédemment :
- Bien je vous apporte ça.
J’étais encore troublé par le ton qu’elle avait utilisé. Il m’avait bloqué net. Ensuite, un ami s’exclama:
- Et bien elle a du caractère!
Je ne sais pas pourquoi mais ses paroles m’ont fait rougir. Je comprendrai, plus tard, pourquoi.
Mes excuses auprès de la patronne dominatrice!
Une fois nos consommations bues, je pris mon courage à deux mains pour aller régler la note au comptoir.
La patronne était toujours là, dressée derrière son comptoir, les bras croisés. Elle me vit arriver et m’adressa un regard sombre qui me fit baisser les yeux devant elle. A peine la note posée sur le comptoir, elle rétorqua avec son ton habituel :
- Et bien plus courageux que je ne le pensais! D’habitude les gens laissent la note payer sur la table et partent en courant.
Je ne pus m’empêcher de m’excuser, à nouveau, ce à quoi elle répondit :
- tu aurais été chez moi, ça ne se serait pas passer comme ça.
- Comment ça chez vous ? Je ne comprends pas!, dis-je sur un ton interrogatif.
- Et bien chez moi on ne me manque pas de respect crois moi! Tu aurais pris une bonne correction, répondit-elle sur un ton amusé. Tu en aurais bien besoin, de correction.
J’étais devenu rouge écarlate, je ne savais plus quoi faire.
- Je sais que je t’ai intrigué, que tu as été touché par mon ton et mon caractère. Tu ne sais pas encore pourquoi mais je peux te le faire découvrir.
Elle écrivit sur un post-it qu’elle me tendit.
- Écris-moi demain un sms a 10h pile si tu veux que je t’ouvre les yeux, sinon ne remets plus les pieds ici!
Elle prit la note et le règlement, fit volte face et partit dans sa réserve. Je saisis le post-it et partis rejoindre mes amis qui m’attendaient à la sortie du bar. Je leur servis un mensonge, que je devais rentrer. J’étais troublé par ce numéro et par les dires de la patronne.
Premier SMS et une révélation! Je suis un homme soumis!
La nuit fut courte. Ses mots tournaient dans ma tête sans trouver de réponse. L’heure avançait. Il était 9h50 et ma décision n’était toujours pas prise. Pourquoi étais-je troublé par cette patronne de bar, pourquoi ses mots m’avaient paralyser ? Il fallait que je sache. A 10h pile, je lui envoyai un sms. Il me fallut attendre jusqu’à 17h pour avoir une réponse. Elle me disait de rentrer chez moi, de m’assoir dans la canapé et d’attendre son message.
Je courus chez moi et à 18h, son message arriva. C’était un sms de plusieurs lignes que je dus lire deux fois tellement j’étais étonné de lire ses mots. En effet, elle décrivait, parfaitement, mon caractère sans me connaitre. Elle avait deviné ma timidité envers les femmes. Enfin, elle terminait son sms ainsi : TU ES UN HOMME SOUMIS.
Je ne savais plus quoi dire. En effet, j’étais encore plus perdu qu’auparavant. A 18h30, un second sms arriva, » Je sais que tu es perdu, laisse moi te guider! »
Elle me laissait, également son adresse, puis elle terminait ainsi: « Viens seul demain à 18h30! téléphone éteint, bien habillé et propre sur toi! »
Convoqué chez la patronne dominatrice!
Il est 18h30. Je suis devant chez elle, bien habillé et rasé de prés. Enfin, je sonne à la porte. Une voix me répond d’entrer et d’attendre à l’entrée. J’entre et referme la porte derrière moi. Ensuite, j’entends des bruits de talon dans la maison. Cette Maîtresse dominatrice surgit dans l’encadrement d’une porte, magnifique bien coiffée, vêtue d’un chemisier blanc et d’une jupe moulante en cuir, de jolis bas, rehaussés par de jolie escarpins.
J’étais bouche bée et le seul mot qui sort de ma bouche est « Bonsoir ». Elle me répond sur un ton calme et posé:
- Bonsoir, c’est bien tu es ponctuel et tu respectes les consignes. C’est déjà ça. Entre et viens t’asseoir avec moi dans le salon!
Je la suis et elle m’invite à m’asseoir en face d’elle sur une petit fauteuil sans dossier. Cette femme dominatrice m’impressionne! Je n’arrive pas à la regarder dans les yeux. Elle entame la discussion en m’ouvrant les yeux sur mon coté soumis. Ensuite, elle me rassure en ajoutant que c’est en moi et qu’une fois au grand jour, je serai un « homme » soumis heureux.
L’idée fait son chemin dans ma tête. En fait, j’ai enfin les réponses à tant de questions que je m’étais posées dans le passé. Avant que je n’ai le temps d’ouvrir la bouche et de répondre, elle me demande sur un ton plus directe d’aller lui servir à boire. Ne sachant quoi faire, je pars en direction du bar en lui demandant ce qu’elle désir. Sa seule réponse est:
- Tu vois! Tu obéis déjà.
La soirée continue sur ce ton. Je finis de préparer à manger puis je la sers à table. Elle m’autorise à manger avec elle. Cependant, elle me précise que ce sera la première mais aussi la dernière fois.
Suite de la soirée, nu et à genoux devant cette dominatrice!
Le repas terminé, elle m’ordonne, pour la première fois, lors cette soirée, d’aller remplir le lave vaisselle et de nettoyer la table. Je m’exécute, directement et je l’entends partir dans le couloir et fermer une porte derrière elle. Plusieurs minute passent, la table est propre et le lave-vaisselle est en marche. La porte s’ouvre et d’une voie forte, elle me donne un ordre:
- Déshabille toi et reste en sous vêtements debout au milieu de la salle, les bras dans le dos et tourné vers la cuisine!
Je ne me suis jamais déshabillé aussi vite de ma vie. Ainsi, tourné vers la cuisine, je ne vois plus le couloir dans lequel elle est partie. Je n’entends plus de bruit de talons, juste le glissement des pieds sur le sol! Une main se pose sur ma fesse, l’autre sur mon épaule et sa voix dans le creux de mon oreille:
- La première chose que tu dois savoir et que tout m’appartient! La seconde c’est que maintenant, tu seras à genoux devant moi!
Elle appuie sur mon épaule et ma fesse pour me mettre à genoux brusquement! Ses paroles retentissent en moi! Et mon sexe durcit! Elle le remarque en tournant au tour de moi puis elle me gifle sans prévenir.
- Ce ne sont pas des manières à avoir devant moi! Ton éducation va être rude et longue mais tu feras un bon petit soumis. Viens avec moi dans le salon! Nous allons finir cette soirée. Tu as bien mérité une récompense après tout ses efforts.
Elle me fait bien comprendre que je dois la suivre à quatre pattes en pointant son doigt vers le sol. Je suis obnibulé par ses magnifiques jambes, vêtues de bas et de sa démarche gracieuse. Je n’ai même pas encore remarqué qu’elle ne porte plus sa jupe et son chemiser mais un porte-jarretelle assorti à ses dessous noir en dentelle. Elle remarque mon regard sur ses pieds et me demande si ils me plaisent. De la tête, je fais signe pour dire oui. Elle me stoppe et me dit:
- Et bien embrasse les si ils sont à ton gout!
J’avance, délicatement, ma tête vers ses magnifiques pieds sur lesquels, je dépose, enduite, des baisers tendres et langoureux. Je ne me reconnais plus mais tout cela me plait beaucoup.
Congédié après avoir donné du plaisir à ma nouvelle Maîtresse dominatrice!
Elle continue son chemin vers son fauteuil, s’assoit puis elle écarte les jambes sur les accoudoirs. Ensuite, elle saisit mes cheveux et me colle la tête sur son sexe. Enfin, elle me dit:
- Profite! ça ce mérite et tu n’y aura pas le droit souvent. Imprègne toi de moi et fais moi jouir! C’est ta récompense pour ce soir.
Elle écarte sa culotte et me laisse apercevoir son magnifique sexe, d’un rose éclatant! Ensuite, elle colle ma bouche sur son clitoris et me dit:
- LÈCHE!
Ma langue se met en action. Son lubrifiant m’envahit la bouche, délicieusement gouteux! Je suis aux anges! Mes coups de langue sur son clitoris la font sursauter. Ses jambes me serrent contre son intimité. Son lubrifiant devient abondant dans ma bouche. Je prends chaque goutte que je peux sur ma langue. Elle commence à gémir.
Je suis en transe et je veux la satisfaire! La pression de ses jambes est de plus en plus oppressante. Son clitoris gonfle sous ma langue. J’ai perdu la notion du temps. Elle se crispe sur ma tête, et dans un cri de plaisir, elle finit par jouir! Ensuite, elle frotte son sexe sur ma bouche par des mouvements de bassins jusqu’à ce que le plaisir retombe. Je reste, là, bloqué entre ses jambes.
Les bas me caressent le cou et puis l’emprise se libère. Ma tête recule et un de ses pieds vient pousser ma tête me faisant perdre l’équilibre et tomber en arrière. Elle rigole de me voir ainsi à terre et me lance d’un ton doux et tendre:
- très bien tu sais te servir de ta langue! C’est tout pour aujourd’hui habille toi et rentre chez toi! On verra la suite plus tard.
Elle se lève et part dans le couloir. Ensuite, j’entends au loin:
- Ha oui! Au fait, maintenant quand tu t’adresses à moi, ce sera MAITRESSE, allez pars maintenant!
Je m’habille et je sors. Le chemin jusqu’à chez moi est très long. Je ne me rends pas encore compte de ce qui vient de se passer.
A suivre
j’adore le recit et la situation.
Un reve de croiser ainsi une Femme dominatrice