Cela fait plusieurs mois que nous n’avons pas fait l’amour avec Jessica, mon épouse dominante. Nous sommes pourtant mariés depuis six ans. Bien qu’elle n’ait que 34 ans et que nous n’ayons pas d’enfants, elle prétexte toujours avoir trop de travail et mes rares initiatives n’ont connu que peu de succès.
Jeune avocate brillante dans un cabinet parisien, il lui arrive de partir avant que je ne sois réveillé ou de rentrer quand je suis déjà endormi. Sa carrière a été fulgurante. La mienne est plus laborieuse. Nous nous sommes rencontrés sur les bancs de l’Université mais j’ai malheureusement échoué au concours du Barreau pour finir conseiller juridique d’une société qui ne m’intéresse pas vraiment. Jessica n’a jamais parlé de divorce mais il est loin le temps où j’étais le centre de son univers.
Tout juste si nous nous accordons encore quelques vacances pendant lesquelles elle passe le plus clair de son temps à dormir ou à travailler. Je n’ai pas mon mot à dire, j’ai beau avoir deux ans de plus qu’elle, c’est elle qui ramène le plus gros de l’argent dans notre couple.
Aussi, je fais avec. Je me masturbe régulièrement quand elle n’est pas là, mais je l’aime si follement que je le fais avec les sous-vêtements qu’elle a portés que je vais chercher dans le bac à linge. J’aime renifler son odeur, elle m’enivre. Mais après avoir joui, je me sens toujours triste. Je nettoie rapidement mes salissures, persuadé qu’elle n’ira jamais fouiller dans le linge sale. De toute façon, c’est moi qui m’occupe des lessives. J’ai longtemps espéré que cette situation figée allait évoluer. Je ne pensais pas qu’elle le serait de cette façon.
Le soir où ma vie a changé!
Le changement s’est produit il y a quelques jours maintenant. Nous devions aller dîner chez un de mes amis d’enfance, mais elle m’a dit qu’elle avait trop de travail et qu’elle allait rester à la maison. Je l’ai suppliée de bien vouloir m’accompagner, elle ne m’a pas laissé le choix. Alors je l’ai regardée froidement.
- Jessica, ça ne peut plus continuer.
- Ah bon? m’a-t-elle dit en souriant.
- Il faut que les choses changent… ça fait des mois que tu ne m’as pas laissé te toucher, tu ne viens plus à nos dîners, tu travailles jour et nuit…
Jessica, mon épouse dominante, a désigné du doigt notre appartement de plus en plus luxueux, notamment une statue de femme nue, en marbre, qu’elle avait acquise aux enchères la semaine passée et qui ornait magnifiquement notre salon.
- Il me semble que tu ne te plains pas de l’endroit où tu vis non? Il semblerait que mon travail soit plutôt rentable?
- Bien sûr mais…
- … mais quoi, tu peux en dire autant?
- Non, c’est vrai.
- Alors, laisse-moi, j’ai du travail. Tu veux que les choses changent, elles vont changer je peux te l’assurer. Maintenant dépêche-toi, tu vas être en retard. Nous en reparlerons ce soir.
Sur cette menace voilée j’ai quitté l’appartement, sans comprendre ce qu’elle voulait me signifier. J’ai traversé le dîner comme un fantôme, lui envoyant un message d’excuses auquel elle n’a jamais répondu.
A mon retour d’une soirée, découverte de ma femme en plein ébats sexuels!
Quand je suis rentré vers minuit, la porte était restée curieusement entrouverte. J’ai entendu des bruits dans la chambre, j’ai entrouvert la porte. À quatre pattes sur le lit dans une lingerie que je lui avais offerte, Jessica était en train de subir les coups de boutoir d’un homme de 50 ans et elle lui hurlait de la prendre encore plus fort. Jamais je ne l’avais vue si déchaînée. Je suis resté figé à la porte, tétanisé.
- Prends-moi ! Défonce-moi!
Ses cris résonnaient dans tout l’appartement. Contrairement à ce que j’aurais pu penser, j’ai senti mon sexe se tendre dans mon caleçon. Une envie incontrôlable de me masturber s’est emparée de moi. J’ai déboutonné mon jean, sorti mon sexe et l’ai branlé très fort en admirant cette queue protégée qui faisait de grands va-et-vient dans ma femme. Sa taille était sans commune mesure avec la mienne, bien que j’aie toujours pensé être plutôt gâté par la nature. Caché derrière la porte, je m’astiquais violemment quand j’ai entendu sa voix entre deux grondements de plaisir.
- Reste pas comme un idiot derrière la porte, entre donc!
Tétanisé, j’ai immédiatement arrêté de me masturber quand elle a repris :
- Tu me verras beaucoup mieux à l’intérieur de la chambre non?
Sommé par mon épouse de rentrer dans la chambre…
Ma raison m’ordonnait de fuir, mon instinct m’a pourtant fait entrer dans la chambre. L’homme s’est retourné vers moi, pas surpris plus que ça par ma présence.
- Arthur, je te présente Tony, Tony, je te présente Arthur. Tony est le nouveau voisin du 4ème, on a fait connaissance dans l’ascenseur. Allez sois pas gêné comme ça ! Déshabille-toi!
- Mais enfin Jessica tu sais bien que…
- … je t’ai dit de te déshabiller. Alors tu te déshabilles. Tu m’as dit que tu voulais que les choses changent non?
- Oui mais…
Je l’ai regardée, incrédule.
- À poil! a-t-elle dit plus fermement.
Sonné, j’ai commencé à me déshabiller tandis que Jessica se retournait vers notre hôte.
- Et toi, dépêche-toi de jouir, j’ai pas que ça à faire ce soir!
L’homme a redoublé de vitesse et j’ai fini par me retrouver nu, la queue tendue, ne sachant plus comment me tenir dans cette chambre.
- À genoux par terre! Face à moi.
Je me suis mis à genoux, le visage au niveau du lit.
- Regarde mes seins, tu aimes comme ils se balancent?
…pour me masturber en la regardant, avec son amant du soir!
Oui, j’aimais. Ses seins sont magnifiques. Un 90C qu’on dirait taillé dans le diamant, avec de fines aréoles et des tétons de bonne taille que j’ai toujours aimé aspirer. Elle a légèrement pivoté sur le lit, Tony a accompagné son mouvement, et ses seins se sont retrouvés juste au-dessus de moi. Hypnotisé, je ne parvenais pas à les quitter des yeux.
- Masturbe-toi maintenant! Regarde comme il me prend bien. T’aimerais être à sa place hein?
- Oui ma chérie.
- Je ne suis pas ta chérie. Tu es incapable de me faire jouir, tu le sais non?
- Non… enfin je…
- Tu trouves normal que ta femme soit obligée de se faire prendre par le premier voisin venu plutôt que par son mari?
- Non, je ne trouve pas ça normal.
- Branle-toi plus vite!
J’ai commencé à m’astiquer violemment, les yeux toujours au niveau de ses seins. Elle parvenait à parler tout en encaissant des coups de rein de plus en plus brutaux. Elle gémissait, mais souriait aussi de me voir à ses pieds.
- Tu ne gagnes pas d’argent, tu ne me fais pas jouir et tu déposes ton sale jus dans mes sous-vêtements, tu penses que je ne suis pas au courant?
Je suis devenu tout rouge, incapable de répondre. Dans son dos, Tony a donné un dernier coup de rein et s’est vidé dans son préservatif, bien au chaud dans mon épouse chérie. Il a ralenti ses mouvements. J’étais moi-même au bord de la jouissance, Jessica l’a vu.
- Arrête-toi. Tout de suite!
Enfin, seul avec mon épouse dominante!
J’ai obéi. Dans cette situation c’était absurde d’obéir mais je n’arrivais pas à faire autre chose. Je suis resté à genoux dans la chambre, incapable de bouger, mon sexe tremblant appelant misérablement ma main pour qu’elle le soulage. Tony s’est retiré d’elle, elle lui a retiré son préservatif puis l’a congédié.
Sans un regard pour moi, il est venu l’embrasser sur la bouche puis après avoir dit un tonitruant, « salut Jess », il a quitté notre chambre et quelques instants plus tard on entendait la porte de l’appartement claquer.
Je n’osais toujours pas bouger, j’aurais pu disparaître.
- Je vais prendre une douche, toi tu bouges pas! a dit Jessica après avoir déposé le préservatif rempli sur la table de chevet, à un mètre à peine de moi.
Elle est sortie de la douche quelques minutes plus tard, cette fois totalement nue. Sa vision m’a terrassé d’amour. Elle venait de me faire subir la pire soirée de ma vie et bien sûr, elle n’avait jamais été aussi belle. Jessica est une blonde vénitienne d’1m70 aux yeux verts. J’ai déjà décrit ses seins. Ses fesses sont tout aussi belles, pleines et rebondies. Elle ne pèse pas plus de 58kg. En la voyant ce soir-là j’ai compris que je n’aurais jamais dû avoir la moindre chance d’être avec une femme pareille dans la vie. C’était un don du ciel. Elle est venue se mettre debout devant moi. Elle a collé son ventre contre mon nez.
- T’as toujours pas débandé à ce que je vois?
- Non, chérie.
A suivre
wouha quel beau debut de recit