Deuxième journée pour le jeune étudiant soumis !
Enfin, j’entends Maîtresse Isabelle rentrer dans la chambre. Elle enlève enfin mon bâillon et mon bandeau. Elle est toute souriante, enveloppée dans sa robe de chambre en satin rouge.
-C’est très bien Warrita, tu n’as pas bougée.
Elle passe une chaîne reliée à une laisse dans mes deux anneaux de tétons et m’entraîne vers la cuisine ou le même repas que la veille m’attend.
Je la suis, nue, le plus prés possible pour diminuer la pression sur mes tétons.
-Tu lapes toute ton assiette et tu attends mes ordres ! Ce matin tu feras le ménage, habillée en soubrette, des petites clochettes accrochées à tes seins. Ainsi, je saurais toujours où tu es et si tu travailles.
Après avoir fini de lécher mon assiette, je passe dans ma chambre pour m’habiller. Je passe un corset, une petite culotte en dentelle et des bas noirs. J’enfile ma robe noire de soubrette et termine en chaussant une paire d’escarpins.
Mon sexe est toujours emprisonné dans sa cage de fer et me donne bien des tracas quand il gonfle échappant à tout contrôle.
Le jeune étudiant soumis fait le ménage !
Je me présente dans le salon devant Maîtresse Isabelle.
-Parfait Warrita! Commence tout de suite !
Avec un gentil sourire, elle prend une lanière de cuir et lie mes genoux ensemble afin de m’obliger à faire de petits pas.
-Ce serait dommage que tu finisses trop vite, j’aurais l’impression que tu bâcles le travail. Au travail, maintenant!
Cette dernière contrainte devient vite un réel supplice et m’handicape lourdement dans mes déplacements. Malgré cela, je passe l’aspirateur, lave les carreaux et fais les poussières pendant toute la matinée.
Dès qu’elle n’entend plus rien, elle arrive, la cravache à la main, pour voir comment travaille sa soubrette.
Enfin, vers 15 heures, elle me fait boire un bol de lait, puis me prend par la laisse et me traîne comme si je n’existais pas, jusque dans sa chambre.
« Colson » obligatoire pour le jeune étudiant soumis
-Cet après-midi, massage intégrale ! Mets-toi nu. Va dans ta chambre, mets-toi un bâillon et bande toi les yeux ! Tu te fixes aussi un colson à la base de chaque téton. Je veux les voir grossir et devenir bien rouge à vue d’œil. Dépêche-toi, je t’attends !
Une bonne paire de gifles me fait comprendre que je dois m’exécuter prestement. Arrivée dans ma chambre, je place un colson à la base de chaque téton, avant le piercing, en ayant soin de ne pas les serrer trop fort. Je sais que Maîtresse décidera de la pression finale suivant son humeur. Puis Je me mets un foulard sur la bouche et un autre sur les yeux. Ensuite, je reviens lentement dans sa chambre.
Subitement, une violente douleur vrille ma poitrine. Aucun son ne sort de ma bouche. Maîtresse isabelle est occupée de vérifier que je ne vois rien, et elle me tord les tétons pour vérifier le bon fonctionnement du bâillon. Au moindre bruit, elle me collera en plus dans la bouche une grosse balle en caoutchouc…Ce qui me fait peur car je sais par expérience qu’elle pourra me la laisser une heure, une après-midi ou pire encore!
Jeune étudiant soumis totalement sous contrôle !
Ensuite, d’un geste lent et ferme, elle resserre de quelques crans les colsons. Je connais le résultat d’avance. Dans peu de temps, j’aurais 2 grosses excroissances toute rouges et gonflées qu’elle pourra martyriser comme elle le souhaite.
Maîtresse Isabelle passe un long bandeau en soie dans les anneaux perçant mes tétons. Ensuite, elle relie les deux bouts par un nœud et garde l’extrémité du bandeau dans sa main. Ainsi, sans bouger, elle peut faire comprendre, au jeune étudiant soumis que je suis, ses désirs, augmenter le rythme, continuer, revenir à une zone déterminée, ne pas m’approcher de son intimité… Chaque secousse sur le bandeau transperce ma poitrine de douleur, me fait ajuster mes caresses et me force à m’appliquer de plus belle.
Je commence, tout doucement, à en avoir marre de toujours être constamment bâillonnée et de ne jamais pouvoir lui dire si j’ai trop mal ou éventuellement ce que j’aime aussi.
Long massage pour Maîtresse Isabelle !
Je la masse longuement, comme elle aime bien. Il me semble que je la masse depuis des heures. Je ne sens plus ma poitrine. Tous mes sens sont en feu de pouvoir toucher sa maîtresse sans aucun espoir d’en retirer le moindre plaisir personnel. Une paire de gifles vient parfois me rappeler ma condition de soumise !
Sinon, elle ne dit rien, parfois juste un soupir de bien-être.
Enfin, après une éternité, elle bouge, elle se lève….enfin nous allons pouvoir passer à autre chose.
Elle revient et accroche deux poids à mes anneaux de tétons, resserre encore d’un cran les colsons et met deux nouveaux colsons autour de mon sexe. Quelques pichenettes sur mes seins me font tressaillir de souffrance.
Un claquement de doigts.
-On recommence tout depuis le début. Et, tu t’appliques ! Je te dirai quand tu peux t’arrêter.
Elle s’allonge et tire d’un coup sec sur le bandeau de soie. C’est le signal de départ.
Jeune étudiant soumis à genoux, mains sur la tête !
Non, pas tout recommencer…mais si ! Je n’ai pas le choix, je n’entends plus rien et Je perds toute notion du temps. Je masse, je caresse, attentif à donner le maximum de douceur et de bonheur. Depuis combien de temps je suis occupé, je n’ai aucune idée quand soudain j’entends sa voie me murmurer
-Parfait Warrita, tu peux me laisser me reposer. Tu as réussi à me fatiguer. Va m’attendre à genoux dans un coin de ta chambre, les mains sur la tête. Ne t’avise surtout pas de bouger sans mon autorisation. Je ne veux rien entendre…et ne touche surtout pas aux colsons ni aux poids ; je le verrais de suite
Déçue, dépitée, je rejoins tristement ma chambre à tâtons en espérant qu’elle ne m’oubliera pas. Je m’installe dans le coin et une longue attente commence.
Le soir est tombé quand elle vient me chercher. Elle est d’excellente humeur. Elle me donne la permission de me lever et d’enlever toutes mes entraves. Je regarde affolée mes tétons. Ils sont devenus énormes, rouge et hyper sensibles. Son regard, me dit, que cela lui plait…
Séance bondage pour le jeune étudiant soumis !
Il y a quelques temps, j’avais émis quelques critiques sur ses choix télévisuels, elle décide que je passerais la soirée en position hog-tied devant la télévision sous sa surveillance.
-Et, de toute façon, comme les programmes que je regarde ne t’intéressent pas, je te banderais les yeux.
Comme elle reste près de moi, elle se livre à un bondage vraiment sévère. En nuisette, avec une petite culotte en dentelle rose, j’ai dû enfiler des escarpins aux talons démesurés. Incapable de marcher ou de me tenir debout, je suis allongée sur le ventre, les pied et genoux liés ensemble ainsi que les mains et le coudes. Je sens mes seins maltraités qui me font mal dès que je m’appuie trop dessus ou que je remue un peu.
Elle me bâillonne avec un foulard. Ensuite, elle relie le nœud du bâillon directement à une cordelette qui passe derrière les talons de mes escarpins. Mes pieds sont ramenés dans mon dos et la cordelette se tend. La position est fort inconfortable. Soit je laisse aller mes pieds et mon bâillon me rentre encore plus dans la bouche soit je dois garder mes pieds pliés.
Dès que je bouge ou gémis, un coup de cravache me rappelle que je dois rester immobile pour ne pas l’ennuyer quand elle regarde son film. J’attends patiemment la fin du film. Enfin, la musique finale. Comme rien ne bouge, j’émets une petite plainte pour lui rappeler mon existence. Un bon coup de cravache me fait comprendre que la punition n’est pas finie.
Le jeune étudiant soumis dort au pied du lit !
Ce n’est que longtemps après la fin du film que Maîtresse isabelle me délie enfin, puis m’envoie au lit.
-Tu montes dans ta chambre, tu te bâillonnes et tu te bandes les yeux comme hier, mais cette nuit tu prends la couverture dans l’armoire et tu dors au pied de ton lit et sans oreiller ! Ce lit est trop bien pour toi. Cela se mérite aussi. Fais bien attention à toi, je passerai peut-être à l’improviste pour voir si tu as bien respecté toutes les consignes.
-N’oublie pas d’enfiler ta nuisette et de te mettre un lange. Je ne sais pas quand je te réveillerai demain.
J’essaye de dormir depuis un certain temps mais pas moyen de trouver le sommeil. Le sol est dur, je ne trouve pas une position correcte. Je n’ose pas enlever le bandeau, et, le bâillon me rappelle constamment ma condition. Finalement, je craque et je me glisse dans le lit et ne tarde pas à m’endormir.
Une grande claque me réveille. Je suis poussé hors du lit et je me retrouve au sol.
-C’est comme cela que tu obéis !
Elle me fixe le collier et la laisse et me traîne derrière elle dans le couloir. Toujours aveuglée et incapable de dire un mot pour m’expliquer, je la suis tant bien que mal en trébuchant.
Jeune étudiant soumis pour désobéissance !
Arrivée dans la buanderie, elle m’attache les mains dans le dos et fixe la laisse au pied d’un radiateur. Je suis obligée de me tenir à genoux, accroupie ou allongée sur le sol. Aucun moyen de me libérer !
Elle me jette la couverture sur moi !
-Tiens désobéissante, débrouille-toi avec ça. Et je suis encore trop bonne.
D’un coup de pied, elle envoie la couverture hors de ma portée. Avec les mains dans le dos, et les yeux bandés, pas moyen de retrouver cette couverture. Tant bien que mal, je tâtonne avec mon menton et je la cherche avec mes pieds, mais je ne sens rien. Finalement, épuisée, je me prépare à passer la nuit comme elle le désire, sans aucun confort au pied du radiateur, seule dans la buanderie..
-mrmmmmm, grmm….
J’essaye une dernière fois d’attirer son attention et de l’attendrir. Peine perdue, sans plus un regard, elle me laisse seule pour la nuit avec mes regrets.
-Arréte de gémir. Ce n’est qu’un début, tu verras ce qui t’attend demain.
Jamais je n’aurais cru qu’elle repasserait par ma chambre…
Très beau récit, j’attend la suite avec impatience.
Merci, la suite arrive…