Une charmante dominatrice et son ex-professeur soumis (10)

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Une charmante dominatrice et son ex-professeur soumis (9)

Vincent finit par partir et les Maîtresses  se souhaitèrent une bonne nuit. Je suivis Elsa, ma Maîtresse dominatrice, dans la chambre qui me dit d’une voix douce et sensuelle :

  • Tu m’as tellement excité en femelle qui branle, suce et se fait sodomiser pour la première fois. Dépêche-toi, monte dans le lit et lèche-moi, je n’en peux plus!

 

Bien sûr, lécher ma Maîtresse Dominatrice était toujours un cadeau. Cependant, elle jouit si vite que je fus frustré de me retrouver aussi vite par terre.

Soudain, Maîtresse Julie entra dans la chambre :

  • Elsa, désolée de te déranger, tu veux bien me prêter ton soumis, je suis trop excitée là.

 

  • Bien sûr, on a fini, prends-le avec toi!

Prêté par ma Dominatrice à Maîtresse Julie

Dominatrice

 

Maîtresse Julie m’emmena puis elle s’assit sur le canapé et ouvrit les cuisses. Ensuite, elle me donna des ordres :

  • Bouffe ma chatte, dépêche-toi! Je n’en peux plus. Cela m’a trop excitée de te voir te faire enculer!

Je lui bouffai la chatte, comme elle dit, et la fit jouir aussi rapidement que Maîtresse Elsa.

Maîtresse Julie me montra pour la première fois un peu de reconnaissance :

  • Tu as envie de te vider?

 

  • Oh oui Maîtresse!

 

  • Alors vas-y, branle-toi sur mes jambes et sur mes pieds!

J’étais confus d’être ainsi humilié, à genoux devant elle, les joues rouges, le sexe à la main, subissant son regard hautain. Cependant, j’avais trop envie pour résister et je me mis à me masturber sans retenue.

  • Ils sont beaux mes pieds. Regarde-les bien pour une fois que tu n’as pas à les lécher. Ils sont excitants hein ? Montre-moi que la seule vue de mes pieds peut te faire jouir!

 

  • Oui Maîtresse!

Ses mots m’excitaient tellement!

  • Oui c’est bien, astique-toi la queue, fais gicler ta bite de chien!

Et dans un râle de plaisir et de soulagement, je giclai sur son tibia, sa cheville, son pied. Je me tins à quatre pattes, immobile, tête baissée pour récupérer d’une jouissance aussi intense.

  • Allez, dépêche-toi, va chercher une serviette et essuie moi tout ça !

Je m’exécutai, soulagé de ne pas avoir à lécher tout ça car ce qui venait de moi me dégoûtait.

  • Allez, va te coucher!

 

  • Oui Maîtresse, merci beaucoup Maîtresse!

Je retournai me coucher par terre à côté de ma Maîtresse Dominatrice, exceptionnellement soulagé.

 

Le matin suivant, utilisé comme toilette par Maîtresse Julie

Le lendemain matin, Maîtresse Elsa m’emmena dans le salon où se réveillait doucement Maîtresse Julie.

  • Il est temps que je bouge moi, je suis invitée à déjeuner ! Elsa, tu crois que je peux encore utiliser ton soumis avant de partir?

 

  • Oui bien sûr, je t’ai déjà dit de ne pas demander, tu le veux dans quel rôle ?

 

  • J’ai envie de faire caca en fait ! Je lui ai pissé et vomi dans la bouche, alors il ne manquait plus que ça !

 

  • MDR, oui tu as raison, vas-y !

Maîtresse Julie tira ma laisse pour que je me glisse sous le siège-WC. Je dois dire que cette première avec Maîtresse Julie m’inquiétait et m’excitait à la fois.

J’eus le privilège de voir à nouveau, par en-dessous, Maîtresse Julie et ses poils blonds. Après quelques jets d’urine, son anus s’ouvrit rapidement. Une belle crotte apparut, comme une saucisse bien moulée. J’avais de la chance dans mon malheur, les deux Maîtresses avaient de belles déjections, ni trop molles, ni trop dures.

Elle tomba dans ma bouche, et je restai immobile, bouche ouverte et remplie.

Maîtresse Julie se leva et contempla ma bouche pleine par-dessus la lunette.

  • Humm, quel spectacle fascinant !, dit-elle simplement.

Maîtresse Elsa revint et lui dit:

  • Ça y est, tu as fini ? Ça t’a plu ?

 

  • J’ai adoré, ce sont des moments uniques, chier dans la bouche d’un mec. C’est juste incroyable! Je trouve ça super excitant !

J’écoutais leurs commentaires, la bouche pleine, peinant à déglutir.

 

Départ de Maîtresse Julie

Finalement, Maîtresse Julie alla chercher du papier toilettes et prit le contenu de ma bouche qu’elle alla jeter dans les WC.

Maîtresse Elsa intervint :

  • Tu es bien gentille dis-donc, même pas un petit morceau à lui faire manger ?

 

  • Non je dois partir, mais n’oublie pas que tu as dit que tu me le prêterais, il ne perd rien pour attendre !

Rires!

« Pas de soucis, je te fais confiance ! »

De nouveau, des rires!

  • Mais il va quand même devoir me nettoyer le cul, vite fait bien fait !

 

  • Ah je me disais aussi !

Maîtresse Julie se rassit et je mis sur les avant-bras, coudes au sol pour approcher mon visage de ses fesses à travers la lunette. Ensuite, je léchai sans réfléchir, en appuyant ma langue assez fortement sur et autour de son anus afin de faire disparaître toute trace. Enfin, j’enfonçai ma langue et fouilla son intérieur du mieux que je pus.

Maîtresse Julie se leva, partit dans la salle de bains et en revint satisfaite :

  • C’est bien, tu as été rapide et efficace, je suis bien propre.

Et elle ajouta en s’adressant à Maîtresse Elsa :

  • C’est quand-même infiniment plus doux, plus pratique et confortable que le papier toilette !

 

  • Je suis entièrement d’accord avec toi !

Les Maîtresses se dirent au revoir, et Maîtresse Elsa me dit :

 

  • Viens, on va se reposer, la suite risque d’être fatigant pour nous deux, différemment bien sûr !

 

Nous nous couchâmes, elle confortablement dans son lit, sous sa couette, moi par terre sur ma couche de chien, avec un plaid sur ma peau nue.

Arrivée du jeune amant de ma Dominatrice

Quand Maîtresse Elsa se réveilla, l’après-midi s’était écoulé.

  • Ce soir sera un peu différent, en particulier pour toi. En effet, je vais recevoir mon « sex friend ». Alors toi tu passeras la soirée sous le lit. Tu sais qu’avec les grandes couettes qui le couvrent, personne ne pourra te voir en dessous. Comme je n’ai pas l’intention de l’inviter à rester toute la nuit, je te ferai sortir ensuite.

Je restai ébahi.

Bien sûr je n’étais pas son chéri mais son soumis. Elle m’avait demandé de respecter sa vie privée, mais je ne savais pas que j’en serais témoin. Curieusement j’en ressentis une certaine jalousie.

Lorsque le jeune homme en question arriva, j’étais sous le lit. Je pouvais entendre vaguement leur conversation. En milieu de soirée, ce fut le silence. Je me dit qu’il était peut-être parti. Cependant, comme je n’avais entendu ni « au revoir » ni la porte d’entrée se fermer, je me dit qu’il devait, en fait, se câliner, s’embrasser…

J’aurais tout donné pour être à la place de ce jeune homme.  Quelle chance il avait de poser ses lèvres sur la jolie bouche de Maîtresse. Elle devait le caresser tendrement, l’exciter aussi, il devait la toucher, la peloter un peu partout. Quelle chance…

Finalement, la porte de la chambre s’ouvrit. Je ne pouvais qu’entendre mais je devinais ce qui se passait au fur et à mesure que je voyais les vêtements tomber à leurs pieds.
Ensuite, ils s’allongèrent sur le lit. Je pouvais voir le dessous du lit s’affaisser puis je les entendit gémir. Quelques instants plus tard, ce fut la chevauchée fantastique ! Il devait la prendre avec force car le bas du lit venait jusqu’à moi à chaque coup de rein, et les gémissements amplifiaient au point de m’exciter terriblement!

Puis ce fut le silence …

 

Témoin auditif des ébats de ma Dominatrice avec son jeune amant

Ils discutèrent tranquillement puis plus rien. Ils étaient, probablement, en train de se câliner à nouveau. Une demi-heure plus tard, le rythme infernal reprit. J’imaginais toutes les positions dans lesquelles il pouvait prendre ma sublime Maîtresse. J’enrageais d’impuissance.

Une fois de plus, des gémissements partagés et un bref silence.

Mais cette fois, j’entendis ma Maîtresse Dominatrice lui dire qu’elle devait se lever tôt le lendemain et qu’elle préférait qu’il rentre chez lui. Probablement à contre cœur, il se rhabilla et la quitta après un ultime tendre baiser.

Maîtresse me dit alors de sortir du dessous du lit et me lança d’un air victorieux :

Dominatrice

  • Tu as tout entendu, ça t’a fait quoi ? Tu aurais bien voulu être à sa place, n’est-ce pas ?

 

  • Oui Maîtresse

 

  • Je m’en doutais, et ça m’excitait d’autant plus de te savoir en dessous, témoin auditif de nos ébats, impuissant et frustré. Mais je vais te faire partager mon plaisir… Je veux que tu bouffes le sperme de mon amant qui dégouline de ma chatte.

J’étais sidéré !

Après le départ du jeune amant, enfin seuls

 

Ainsi, elle joignit le geste à la parole en s’accroupissant au-dessus de mon visage. Je vis le blanc du sperme couler doucement de ses lèvres puis tomber dans ma bouche, mélangé à sa mouille. J’en eus un haut le cœur, le goût du sperme me dégoûtait.

  • Allez, il a joui dans ma belle chatte, alors réjouis-toi, déguste!

J’étais vraiment dégoûté de devoir goûter au plaisir d’un inconnu qui avait joui dans ma Maîtresse que j’admirais tant.

  • Ça m’excite beaucoup de te voir bouffer son sperme, il a bon goût ?

 

  • Non, Maîtresse!

 

  • Tant pis pour toi… de toute façon tu en boufferas bien d’autres car j’aime le changement !

 

Je ne savais même plus quoi penser, je n’étais même plus conscient de mes ressentis si contradictoires.

  • Allez, nettoie moi bien, passe ta langue partout!

Et je m’exécutai, je léchai toutes leurs traces mêlées, tout ce qui était liquide entre les cuisses de ma Maîtresse, tout ce qui était en train de se solidifier. Je fis abstraction de toute retenue pour rendre ma langue la plus efficace possible.

  • Humm, c’est bien, quel enthousiasme ! Je pense que je suis toute propre là ! Mais je n’ai pas oublié ma promesse de te récompenser ! Monte sur le lit et allonge-toi sur le dos !

Maîtresse vint s’allonger à côté de moi, un coude sur le lit, sa main retenait sa tête, et de son autre main, elle prit mon sexe. J’avais déjà connu ce contact mais pour me malaxer sans ménagement, là c’était doux, sensuel…

 

Une masturbation comme récompense

Maîtresse me masturba, je n’en revenais pas, sa jolie main qui s’agitait sur mon sexe, quel honneur, quel privilège, quel bonheur et quel plaisir !
De temps en temps elle arrêtait et prenait mes testicules avec douceur et insistance à la fois, trop bon !
Son bras, sa main se firent plus rapides, voir ça était un cadeau ! Elle regardait tour à tour mon sexe et mon visage, qui devenait l’expression même de l’extase !

Voir son visage si proche me torturait intérieurement tant j’avais envie de l’embrasser, je pouvais sentir la chaleur de son corps nu presque contre moi, quelle tentation insupportable !
Mais c’était tellement bon, tout son corps remuait au rythme de sa main, elle me secouait avec frénésie !
Je jouis si fort que j’explosai littéralement et giclai partout dans un râle retentissant!

Un soulagement profond s’en suivit, aussi cérébral que physique.

  • Merci Maîtresse!

 

  • Tu as encaissé le vomi de Julie puis tu t’es fait sodomiser par Vincent. Enfin, tu as bouffé le sperme de mon amant, et tant d’autres choses… je suis fière de toi et je fais toujours ce que je dis, que ce soit une épreuve ou un plaisir… Allez, va t’essuyer !

 

  • Bonne nuit mon bel esclave!

 

  • Bonne nuit ma Maîtresse adorée!
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