Vanessa et S., magnifique dominatrice (10)

Vanessa et S., magnifique dominatrice (9)

Cela faisait maintenant près de trois semaines qu’il était entré au service de l’Amante de sa Maitresse Dominatrice. Cela s’était décidé très vite, lors du petit-déjeuner qu’ils avaient partagé tous les trois après leur première nuit torride. Ainsi que le lui avait ordonné son Épouse Dominatrice à l’issue de leurs ébats du matin, il était allé préparer le petit-déjeuner aussitôt après avoir replacé son sexe encore à moitié turgescent dans la cage métallique implacablement verrouillée par S…

Le Rituel Matinal de la Dominatrice

Vanessa avait fait part de ses préférences culinaires et sa Maitresse Dominatrice lui avait annoncé qu’il serait autorisé à partager leur table dans la cuisine. Intégralement nu comme il se devait, il avait installé trois sets de table côte à côte sur l’îlot central, placé couverts et serviettes, pressé les agrumes dont il avait équitablement reparti le jus dans trois verres. Il avait coupé quelques tranches de pain noir qu’il avait placées dans le grille-pain. Au moment précis où il commençait à faire couler les cafés, les deux Amantes avaient pénétré ensemble dans la cuisine, se tenant par la taille amoureusement. Vanessa avait semblé apprécier ce moment :

• Mmmm… ça sent tellement bon, et j’ai une faim de louve ! Sers-nous vite, zuma, s’il te plait.

 

• Tout de suite Mademoiselle, avait répondu O…, au comble de la servilité.

Il s’était retourné vers les deux femmes pour apporter les jus d’agrumes, le pain grillé et les cafés. Elles avaient toutes deux pris place sur les hauts tabourets de la cuisine, plus désirables que jamais. S… avait enfilé son habituel peignoir en soie que refermait à peine la ceinture portée de façon très lâche et qui laissait largement échapper son sein droit, exposant aux regards le mamelon sombre.

Elle avait prêté à Vanessa le yukata qu’O… et elle, avaient rapporté du Japon quelques années auparavant. Ce yukata parvenait à grand peine à contenir l’opulente poitrine de la jeune femme qui, au contraire de S…, avait serré la grande et large ceinture d’une façon qui lui marquait la taille presque exagérément. Dieu qu’elles étaient belles, avait pensé O… Il se sentait incroyablement chanceux d’être en présence de ces deux femmes superbes. Il avait pris place à la droite de S… qui se trouvait ainsi encadrée de son Amante et de son mari.

Les Liens Cachés du Trio

 

Le courant passait bien entre les membres de ce trio et la conversation était animée et enjouée, passant d’un sujet à l’autre avec le même entrain.

N’eut été la nudité intégrale d’O…, nul n’aurait pu soupçonner, en les voyant et les entendant discuter, les relations très particulières qui les liaient les uns aux autres. O… avait proposé aux deux Amantes de leur servir un autre café, ce qu’elles avaient accepté très volontiers.

Il les leur avait préparés. Ensuite, pendant qu’elles terminaient ainsi leur petit-déjeuner, il avait commencé à desservir la table, rangeant tasses, verres et assiettes dans le lave-vaisselle et rinçant les couverts à l’eau claire.

Une pensée soudaine avait traversé l’esprit de Vanessa qui n’avait pu se retenir de dire, le regard tout-à-coup devenu sombre :

• Voir ton mari ranger et faire la vaisselle me rappelle que ma femme de ménage m’a laissée tomber la semaine dernière, il va falloir que je rentre pour ranger l’appartement et faire un peu de ménage. Et je déteste faire ça !

 

• Oh ma pauvre, avait aussitôt répondu S…, sincèrement désolée pour son Amante. Mais tu vas vite en trouver une autre, non ?

 

• Ce n’est pas si facile, figure-toi. Je cherche quelqu’un uniquement pour le ménage et le rangement, et pas pour le repassage car je donne tout au pressing. J’ai, à peine, commencé à chercher mais ça ne semble pas si évident. En effet, je n’ai besoin que d’une dizaine d’heures par semaine et cela n’intéresse visiblement personne. En plus, je n’ai pas trop le temps de faire ça en ce moment, j’ai énormément de boulot. Bref, je suis dans la panade !

 

• Et je ne peux pas vraiment t’aider. Ma femme de ménage, que j’ai depuis des années, n’a pas une heure libre dans son emploi du temps !

L’Offre Inattendue de la Dominatrice

Vanessa ajouta:

• Oh mais je ne disais pas ça pour que tu m’aides. C’est juste qu’il va vraiment falloir que j’y aille. Je serais bien restée un peu plus longtemps avec vous ce matin.

 

S… avait pris la jeune femme par la main et s’était penchée vers elle pour l’embrasser tendrement. Alors qu’elle entendait O… qui finissait de ranger, une idée lui était tout-à-coup venue à l’esprit.

• Tu as besoin d’une dizaine d’heures dis-tu, et sans repassage ? avait-elle dit soudain, sa voix trahissant une forme d’excitation.

 

• Euh… oui, c’est bien ça, mais je ne vois pas ce que…

 

S. l’avait interrompue, de plus en plus excitée,

• J’ai une idée. Je crois que j’ai ce qu’il te faut !

 

• Vraiment, tu es sérieuse ?!

 

• Oui, vraiment, avait répondu S…

 

Puis, se tournant vers O… qui n’avait rien perdu de la conversation :

• zuma, que dirais-tu de devenir l’homme de ménage de Vanessa ? Tu as le temps pendant la semaine, il me semble.

A ces mots, le rouge était monté au front d’O… Il ne s’était pas du tout attendu à cette proposition. La surprise se mêlait à une forme de honte de se voir ainsi rabaissé au rang de domestique potentiel. En même temps, n’était-il pas déjà un esclave, pour son épouse dominatrice? Son statut n’était-il pas déjà bien inferieur à celui d’un homme de ménage ?

Et d’autre part, sa Femme Dominatrice n’avait-elle pas raison? N’avait-il pas largement le temps de caser une dizaine d’heures de ménage dans un emploi du temps hebdomadaire laissé par ailleurs assez libre ? Sa réflexion n’avait pris qu’un instant, et il avait très vite répondu, devant une Vanessa restée bouche bée.

Un Arrangement Domestique Sur Mesure

• Vous avez raison Madame, je pense en effet avoir le temps pour cela, et je serais honoré de devenir l’homme de ménage de Mademoiselle, si Elle m’accepte.

 

• Et voilà ma chérie, avait fait S…, triomphante, ton problème est résolu.

 

• Merci infiniment, mais vous n’êtes quand même pas sérieux tous les deux, si ? J’aime beaucoup zuma mais il a quand même surement mieux à faire. D’autant que j’aurais besoin que les heures en question soient aussi régulières que possible. Et puis je suis quand même assez maniaque. C’est d’ailleurs sans doute pour ça que la précédente m’a lâchée. Je ne doute pas qu’il soit très doué, mais tout cela me semble un peu compliqué. Qu’en penses-tu ma chérie ?

 

• Eh bien j’en pense que rien de tout ce que tu nous dis ne me semble insurmontable. Pour ce qui est des horaires réguliers, il faut qu’on en parle tous les trois. Cependant, cela me parait jouable, j’ai une petite idée là-dessus. Là où tu as raison, c’est sur les talents de zuma pour les activités ménagères. Il est parfaitement nul pour tout ce qui est repassage, et je crois que c’est sans espoir de ce côté-là. Mais c’est justement ce dont tu n’as pas besoin d’après ce que tu dis. Pour le reste, nettoyage, ménage, rangement, il est tout aussi maniaque que moi – et visiblement que toi – et il est toujours très appliqué dans les tâches domestiques. Il doit certainement apprendre un peu le métier pour aller plus vite, mais je pense franchement que ça peut le faire. Cela dit, je ne veux pas te forcer et je comprendrais très bien que tu ne souhaites pas l’employer. En plus, c’est sûrement un peu bizarre d’avoir un homme de ménage…

 

L’Embauche Audacieuse de l’Esclave

Vanessa répondit sans hésiter:

• Mmm, non, ça ne me dérange pas du tout, pour être honnête, soyons modernes ! Et à la réflexion, je trouve très séduisante, voire excitante, l’idée que ton esclave vienne faire le ménage à la maison. Serais-tu d’accord pour qu’il soit nu chez moi comme il l’est chez toi, avec peut-être parfois un tablier pour tout vêtement ?

 

• Bien entendu Vanessa, je l’imaginais bien ainsi, avait répondu S… sans hésiter.

 

Puis s’adressant à O…, sur un ton redevenu ferme à son égard :

• mets-toi à genoux, zuma, pendant que Vanessa et moi finalisons les modalités de ton embauche.

 

A la fois humilié et excité par la situation, O… s’était agenouillé en esclave dans le coin de la cuisine, faisant face aux deux Amantes, les jambes légèrement écartées, le dos cambré, les mains dans le dos et la tête baissée. Son sexe s’était mit à durcir à nouveau dans sa cage.

 

Le Contrat Lucratif de la Dominatrice

 

Ce début d’érection n’avait échappé pas à Vanessa, qui avait fait, ironique :

• Je vois en tout cas que ton esclave semble heureux de son nouveau job ! Puis, se faisant plus sérieuse : Mais dis-moi ma chérie, pourquoi ne l’utilises-tu pas comme homme de ménage à plein temps chez toi ? Il semble fait pour cela !

• Tu as raison, ce serait le mieux, et le plus économique également, mais j’ai la même femme de ménage depuis des années, ma famille et certains amis la connaissent bien et personne ne comprendrait que je me passe tout d’un coup de ses services. J’ai un peu réduit le nombre de ses heures ici en lui en trouvant d’autres ailleurs, mais je ne peux quand même pas la garder moins de 12 heures. Elle est à la maison trois après-midis par semaine. C’est d’ailleurs ce que je voulais te proposer : que zuma vienne chez toi exactement aux mêmes heures.

 

 

• Franchement, ce serait parfait. Et, puisque tu parles de l’aspect économique des choses, que dirais-tu que je paie zuma exactement ce que tu paies ta femme de ménage ? Et ne me dis pas que tu ne veux pas que je le paie, j’y tiens absolument ! Ou plutôt, je te paierai toi, pour la mise à disposition de ton esclave.

 

Le Pacte Sensuel des Amantes

 

• Je n’avais évidemment pas l’intention de te faire payer les services de zuma, mais la façon dont tu le présentes me va très bien, ce sera d’autant plus humiliant pour lui. En revanche, je pense qu’il ne sera pas hyper-performant dès le départ, et je ne te compterai que dix heures par semaine, avait-elle ajouté avec un clin d’œil. A quinze euros de l’heure, cela fera cent cinquante euros par semaine, si cela te convient.

 

• Marché conclu, avait fait la jeune femme dans un sourire. Je laisserai une enveloppe à zuma à ton intention à la fin de chaque semaine.

Les deux femmes s’étaient tendrement embrassées pour sceller leur pacte, s’effleurant doucement la pointe des seins sous leurs peignoirs entrouverts, puis, descendant des hauts tabourets, s’étaient dirigées vers la salle de bains en ordonnant à O… de les suivre pour assister à leurs ablutions au cours desquelles elles s’étaient mutuellement caressées sous la douche, jouissant puissamment tour à tour.