S…, magnifique dominatrice, désormais pure spectatrice, la main gauche posée sur le bras de son esclave comme pour l’encourager, contemplait la scène avec une excitation croissante à mesure que Vanessa accélérait la cadence qu’elle imprimait à son va-et-vient. Décidément, elle n’avait jamais vu, et surtout jamais approché, une femme aussi belle. La fascination qu’exerçaient sur elle les seins de son Amante qui, énormes et lourds, s’agitaient au rythme des mouvements de son bassin, était irrépressible.
Excité par le spectacle offert par son épouse dominatrice et son Amante
Au bout d’un moment, elle ne put résister à l’envie de se placer à califourchon derrière la jeune femme. Ensuite, sans entraver son mouvement, elle commença à lui caresser les seins, à les soupeser, et à les malaxer. Vanessa rugit un « ouiiiii » qui l’encouragea à poursuivre. Elle commença à frotter lascivement son pubis contre la croupe callipyge de sa partenaire. Cette dernière, se redressa, et plaça à son tour ses deux mains sur les fesses charnues et fermes de S…. Ensuite, elle commença à les écarter et les malaxer sans ménagement. Elle tourna la tête vers S…, surexcitée. Les deux femmes s’embrassèrent à nouveau, fougueusement, sentant une fois encore le plaisir monter en elles.
O… devait de plus en plus se concentrer pour ne pas éjaculer. En effet, il ne voyait pas comment il pourrait résister beaucoup plus longtemps au spectacle offert par son Épouse dominatrice et son Amante. De plus, il y avait le frottement désormais frénétique que Vanessa imposait à son gland avide d’un plaisir qu’il savait pourtant interdit. La jeune femme fit alors jouer les muscles de son vagin. Ainsi, elle imprima à la hampe de chair une pression rythmée qui le rapprochait à chaque instant un peu plus de l’irréparable.
Il ferma les yeux, essaya de penser à autre chose, sans vraiment y parvenir. En fait, il luttait avec lui-même, conscient qu’il ne devait à aucun prix décevoir sa Maîtresse dominatrice. Il était sur le point de demander grâce quand, tout à coup, la jeune femme s’immobilisa en poussant un long et puissant feulement, telle une tigresse en rut.
O… rouvrit les yeux, et il la vit, la tête rejetée en arrière, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, comme entrée en catalepsie.
Felicité par l’amante de sa Maîtresse dominatrice
Elle resta de longues secondes dans cet état, appuyée contre sa Maîtresse qui, la soutenant, continuait à l’embrasser dans le cou en jouant avec les pointes tétanisées de ses seins et à frotter son pubis contre ses fesses. S… jouit à son tour, avec un petit cri, presque furtivement. Elle n’avait pas compté le nombre de ses orgasmes depuis que Vanessa était arrivée la veille au soir. Cependant, elle était certaine que, de toute sa vie, jamais elle n’avait joui aussi fréquemment ni probablement aussi fort.
Restées dans la même position, les deux femmes s’embrassèrent tendrement. O… entendit Vanessa murmurer quelque chose à l’oreille de sa partenaire, qui lui répondit de la même façon, sans qu’il puisse distinguer un mot. Après un bref échange, avec un petit rire, S… hocha finalement la tête dans ce qui semblait être un acquiescement. Ensuite, elle se dégagea de sa position à califourchon derrière Vanessa. Cette dernière, toujours empalée sur le membre resté dur de l’esclave, dit à O… d’une voix douce :
- zuma, je viens de dire à ta Maîtresse dominatrice que tu es vraiment un excellent gode-vivant, et je tiens à te féliciter. Et, en accord avec elle, je vais te récompenser en accordant à ton sexe l’hommage de ma langue ! Cela te ferait plaisir ?
- Je… oui… mais… enfin… je… balbutia O…
- Ce n’est pas très clair, esclave, fit la jeune femme, moqueuse, mais je sais que ces plaisirs te sont d’ordinaire interdits, et je prends ça pour un oui.
- Oh oui Mademoiselle, et si Madame est d’accord, j’en serais très heureux !
- Je suis d’accord zuma, je te le confirme, fit S… en regardant son esclave avec tendresse.
- Merci Madame, répondit O… d’une voix pleine de reconnaissance.
Une fellation comme récompense
Il n’osait croire à la chance qui était la sienne. Aucune fellation ne lui avait été administrée depuis qu’il était devenu esclave, il y avait maintenant près de trois ans et demi. Et ce matin, de façon totalement imprévisible, cette jeune femme au corps parfait, avec l’accord de sa Maîtresse dominatrice, avait décidé qu’elle allait le sucer. Il était en plein rêve !
Vanessa se redressa alors sur ses genoux, faisant sortir de son vagin rassasié le membre toujours bien raide d’O… dans un bruit de succion. De la même voix douce, elle demanda à O… de se lever du lit et de se tenir debout au milieu de la chambre.
Conscient de la chance qui était la sienne, il s’exécuta et se plaça au pied du lit, au centre du tapis sur lequel il avait passé la nuit. Il se tint debout, les mains dans le dos, les jambes légèrement écartées. Son sexe était fièrement dressé par l’excitation qu’il éprouvait depuis déjà près d’une heure et que la perspective qui s’annonçait augmentait encore. Vanessa descendit à son tour du lit, tandis que S… s’y installa, confortablement calée contre les oreillers, désireuse de jouir pleinement du spectacle qui allait s’offrir à elle. Vanessa se plaça face à O…, lui sourit puis, avec grâce, s’agenouilla devant lui.
Comme si elle s’offrait à lui, elle mit à son tour les mains dans son dos et, le visage à hauteur du pubis parfaitement rasé d’O…. Ensuite, elle approcha sa bouche entrouverte du gland palpitant de désir. Elle pouvait voir le sang battre dans les veines qui parcouraient la verge turgescente.
Sa Maîtresse dominatrice, spectatrice de la fellation
O… jeta un regard à sa Maîtresse qui, avec un petit sourire, l’encouragea d’un hochement de tête.
La jeune femme saisit alors délicatement le sexe d’O… de ses deux mains, soupesant les testicules de la main droite et entourant la hampe de chair de la main gauche. Elle sortit la langue et en approcha la pointe au plus près du gland qui frémît de désir.
O… fut traversé par une onde de bonheur, admirant cette femme somptueuse, à genoux devant lui et qui, avec l’assentiment de sa Maîtresse, allait lui prodiguer un plaisir qu’il pensait ne jamais plus devoir ressentir. Il regarda son Épouse qui, assise sur le lit et se caressant doucement, presque machinalement, l’observait en silence, aussi énigmatique qu’une sphinge.
Vanessa, maintenant la pointe de sa langue à peine à quelques millimètres de l’extrémité du gland d’O…, à la limite de l’effleurer, malaxait doucement de sa main droite ses lourds testicules. Elle jouait avec le lourd anneau de métal qui enserrait tout son appareil génital, tandis qu’elle entreprenait une très lente et ferme masturbation de sa main gauche. O… ne put retenir une légère ondulation de son bassin, ses sens affolés cherchant à obtenir plus rapidement le plaisir qui leur était si rarement accordé.
Il était désormais impatient de sentir la langue de la jeune femme tournoyer sur son gland, puis sa bouche engloutir son sexe tout entier pour enfin laisser exploser son plaisir.
Fellation écourtée, frustration intense pour O.
Les mouvements de son bassin se firent plus amples. Cependant, Vanessa contenait cette ondulation fermement de ses deux mains, poursuivant le malaxage des bourses et la très lente masturbation du pénis. Elle prenait soin de toujours ne pas effleurer le gland violacé de la pointe de sa langue. Ce qui devait être un plaisir devint pour O… peu à peu un supplice que la jeune femme fit durer de longues minutes. Au bout d’un moment qui parut à O… une éternité, sans crier gare, un peu comme elle l’avait fait la veille, elle comprima d’une poigne de fer, simultanément, les testicules et le membre d’O… qui sursauta et émit un gémissement de douleur.
Elle maintint la pression pendant une quinzaine de secondes. Après, elle le repoussa en se relevant, posa un baiser chaste sur ses lèvres en disant, visiblement enchantée du bon tour que, avec la complicité de S…, elle venait de lui jouer :
- Voilà esclave, pour te remercier de tes efforts, j’espère que cela t’a plu.
Rouge de confusion, encore sous le choc de la frustration intense qu’elle lui avait longuement imposée et de la douleur violente qu’elle venait de lui infliger, O… ne sut que répondre à Vanessa. Bien sûr, elle s’était jouée de lui, en lui laissant croire qu’elle allait offrir sa bouche à son sexe. Mais à la réflexion, avait-elle menti, lui avait-elle dit explicitement parlé de fellation comme il l’avait naïvement compris, n’avait-elle pas seulement évoqué, à dessein, un « hommage de sa langue » ?
Humilié mais heureux au final
Ne lui laissant pas le temps de retrouver ses esprits, S…, qui avait pris beaucoup de plaisir à contempler le spectacle offert par son Amante, répondit à sa place :
- Ma chérie, j’ai quant à moi adoré ce moment, merci ! Si je n’avais pas eu autant d’orgasmes avec toi depuis hier soir, je crois que j’aurais encore pu jouir en vous regardant tous les deux. Et je peux te dire que zuma, même s’il ne le réalise pas encore tout à fait, a lui aussi énormément apprécié. C’est exactement cela qu’il aime, c’est pour cela qu’il vit. N’est-ce pas, mon zuma ?
O… baissa la tête, au comble de l’humiliation. Il n’était pas encore complètement remis de la séance qu’il venait de subir.
Cependant, il savait que sa Maîtresse avait raison, il était né pour cela et n’était heureux qu’ainsi : servir et donner du plaisir sans jamais en éprouver aucun. Comme elle le connaissait bien, comme il avait de la chance de lui appartenir, comme il l’aimait ! S’apaisant peu à peu, il répondit avec une humilité non feinte :
- Oui Madame. Et merci Mademoiselle pour Votre généreuse attention.
- Tu vois ce que je te disais, Vanessa ? Il est heureux. Et maintenant, esclave, tu vas remettre ta cage et nous préparer un petit-déjeuner digne de ce nom. Exécution !
A suivre