Rebaptisé « Sucette » par Maya !
Maya avec l’assentiment d’Annie m’affubla du prénom de « Sucette ». Cela promettait pour la suite. Alors, Maya saisit son autre mallette qu’elle ouvrit en la partageant en deux puis en quatre comme une trousse à outils. Et c’était le cas, on y trouvait rangés par ordre de taille des gods, des gods ceinture, des plugs, des pinces à seins, des colliers et des laisses, des cockrings, des menottes enfin des fouets. Il s’agissait de l’attirail de la parfaite dominatrice pour des jeux BDSM.
-A toi l’honneur ! : dit-elle à ma femme, en lui tendant un collier d’esclave et une laisse.
-Met un point d’orgue à son état de soumis, en lui passant cet attribut d’esclave qu’il devra dorénavant conserver. Promène maintenant cette chienne en laisse à quatre pattes pour lui montrer sa nouvelle condition. Allez Sucette, remercie Madame de te promener comme une chienne que tu es.
-Je suis à vos ordres, Madame ! : dis-je à ma femme que je ne reconnaissais pas et qui entrait de plus en plus dans le jeu. Elle me promena ainsi fermement tiré par le cou et à genoux et presque nu dans l’appartement. J’étais totalement asservi et cela lui plaisait vraiment semble-t-il.
La surprise de Maya !
-Maintenant, Sucette ! : ordonna Maya. Regarde bien ce qui t’attend !
Maya se mit debout et commença à dégrafer sa robe qui tomba à ses pieds. Elle portait des bas noirs accrochés à une guêpière seins dehors magnifique en cuir noir et un string de la même matière. Elle s’approcha et m’ordonna :
-Baisse mon string avec ta bouche, petite salope !
Je m’appliquai avec les dents pour le descendre jusqu’à ses pieds. Quand je relevai la tête, je découvris une belle queue que je ne pouvais imaginer. Ma femme non plus d’ailleurs qui se montra autant surprise que moi. Cependant, elle semblait apprécier au plus haut point ce travesti si j’en jugeais par son visage épanoui et l’imagination dont ses yeux pétillants étaient le révélateur.
Maya s’installa dans le canapé jambes bien écartées et dit à ma femme :
-prend mon sexe fermement et enfourne lui dans la bouche ! Qu’il me fasse bander et tu peux me branler si tu le sens, ta salope de mari, elle n’a qu’à sucer ! Encourage la pour qu’elle me titille bien le gland avec la pointe de sa langue, pour qu’elle me lèche toute la queue dessus et dessous et aussi les couilles, et qu’elle m’avale bien la bite à fond comme il sied. N’oublie pas que c’est une soumise, qui doit exécuter nos ordres et se montrer tout à son avantage, dévouée à notre bon plaisir.
Humilié par ma femme de plus en plus sadique !
Tendant un fouet à Annie elle ajouta :
-Tu la surveilles, tu la guides en la fouettant. C’est toujours nécessaire. Tu vas voir, tu vas y prendre du plaisir. Pense à tout ce qu’il t’a caché depuis des lustres et tu vas finalement te régaler de sa nouvelle attitude d’esclave dont tu vas pouvoir profiter à loisir à ton tour.
Ma femme prenait manifestement un plaisir sadique à m’humilier. Elle m’obligea à faire une pipe totale en appuyant sur ma tête.
La queue de Maya sous les effets de ma langue avait pris une ampleur considérable voir étonnante.
Elle pria alors Madame, ma femme, de m’agenouiller sur le canapé les cuisses bien écartées, cambré et le cul tourné vers elle. Madame me tira par la laisse et prit même l’initiative de me menotter les bras dans le dos. Son visage exprimait une jouissance non contenue. Maya lui suggéra alors de me préparer la rondelle avec un onguent qui se trouvait dans sa mallette et ainsi de me préparer le fondement.
Totalement apeuré mais plaisir décuplé
Madame ma femme ne se fit pas prier, elle vida littéralement le contenu d’un tube sur ma raie et ma rondelle tout en introduisant un doigt, puis deux et trois et jugeant que cette désormais chatte était bien souple et bien prête elle encouragea Maya à s’y introduire pour me « défoncer » selon son expression.
-Quel pied ! s’exclama-t-elle. Il va connaître ce que je lui ai toujours refusé ! Défonce lui le cul, Maya ! Je vais adorer voir cela de près et le graver sur la pellicule.
J’étais totalement apeuré mais cela décuplait son plaisir.
La Maitresse appliqua son gland sur ma rondelle et me pénétra sans ménagement jusqu’à la garde.
-Putain ! Quel cul de salope, tu l’a toute avalée : me dit ma femme à l’oreille. Je prierai Maya de me faire elle même l’honneur de ce plaisir inconnu, avec douceur bien sûr, et je sens finalement que cela me plaira. Tu pourras en profiter mais de loin, mon ami !
-En attendant et en même temps, rend toi complètement utile ! : me dit-elle en sautant sur le dossier du canapé.
Elle retroussa sa robe sous laquelle elle était toute nue, ouvrit grandes les cuisses et exigea que je lui aspire sa chatte trempée et pleine de désir. Elle apprenait vite.
Ma femme ravie de s’être vengée !
Pendant ce temps, Maya me limait avec ardeur et je gémissais sous ses coups de boutoir. Prête à se vider, elle se retira puis attrapa une main de ma femme tout en lui demandant de me tourner et de diriger sa queue vers ma bouche qu’elle m’intima d’ouvrir celle-ci largement en tirant la langue. Alors elle éjacula copieusement dessus exigeant que je nettoie tout avec application et délectation.
-Montre que tu aimes, que dis-je, que tu adores et que tu souhaites qu’Annie te propose de nombreuses autres queues à flatter !
Ma femme, proprement ravie, s’était bien vengée. Je me demande si je ne lui avais pas rendu sans le savoir, un fier service.
Tirant la laisse sans ménagement, elle me fit descendre du canapé toujours à moitié nu et endolori et déclara :
-En accord, avec ton Coach Maya, cette tenue de catin sera désormais la tienne. De plus tu devras adopter dès maintenant une attitude de soumission permanente et être prête à servir à tout moment. En effet, nous n’allons pas nous arrêter en si bon chemin. Nous te sortirons dans le monde pour notre plaisir. Ainsi, tu porteras une perruque et une mini robe sexy à souhait afin que tu ressembles à une femelle suggestive et attirante.
-Tu as raison, Annie. J’ai plein de projets pour elle dans ma tête : dit la Maîtresse à ma femme qui acquiesça et finit par applaudir.
-Maya, tu me diras à quoi tu penses, s’il te plaît, mais rassure-moi, tu continueras le dressage de cette larve autant que nécessaire ? : S’inquiéta vicieusement ma femme.
-Avec le plus grand plaisir, ma Chère, il y a du travail mais je t’en ferai une incontournable attraction : répondit Maya.
-Cette petite pute sera à ton entière disposition et celle de tes Amis chaque fois que tu en auras besoin : précisa ma femme en me regardant droit dans les yeux. Elle à l’air d’aimer cela n’est ce pas ? Et elle n’aura de cesse désormais de se conduire en vraie pro pour nous faire honneur en faire valoir de nos projets.
Esclave disponible pour séances BDSM !
Les deux femmes, si je puis dire, riaient et se réjouissaient de la séance BDSM en envisageant déjà à voix haute d’en organiser rapidement d’autres avec de multiples et différents partenaires lors de soirées très spéciales que Maya fréquentait ou organisait.
Elle précisa :
-des soirées de couples, de femmes ou d’hommes ou encore de transgenres dont je connais l’appétit débordant particulièrement pour les séances de domination. Ce soumis, tu es d’accord Annie ? a manifestement montré d’excellentes pré dispositions pour sa nouvelle condition d’objet sexuel. Nous allons maintenant peaufiner sa féminisation lubrique, gourmande et accueillante. En faire une sacrée salope qu’on nous enviera et qu’on voudra venir voir de loin et surtout essayer tour à tour bien sûr. Tu permets évidemment, Annie ?
-Mais comment donc, très Chère Maya, je suis déjà plus qu’impatiente de le voir en séances d’abatage : répondit ma femme qui avait pris une assurance inquiétante.
Elle rajouta à mon intention :
-Toi, n’oublie pas la vidéo. Elle est dorénavant le gage permanent de ta dévotion définitive à nos ordres et à notre imagination sans limite, et surtout gage de ta nouvelle condition d’esclave toujours disponible pour des séances BDSM.
Elle ponctua :
-compris ?
en m’assénant trois ou quatre coups de fouet cinglants sur la queue et les fesses.
Elle me tira en laisse contre un radiateur auquel elle me menotta. Elle ota alors sa mini robe qu’elle me jeta à la tête et complètement nue, elle dit :
-Nous allons maintenant dans notre chambre, Maya et moi, nous avons fort à faire ensemble…
wouha… belle histoire