Sissy Aline soumise à sa femme, Maîtresse Anne-Marie (6)

En ce mois d’octobre, je repense à la sainte Aline. Cette journée avait été riche en surprises! J’avais, également, découvert une autre facette de la condition de Sissy.

Maintenant, Maîtresse Anne-Marie, m’éduque encore plus tous les jours. Je suis toujours dans la crainte car elle a décidé de rien me laisser passer.
Je dois respecter à la lettre mon contrat mais aussi les règles que Maîtresse Anne-Marie y a ajoutées.

Préparation de la visite de Maîtresse Maryse et de sissy Hortense

Maîtresse Anne-Marie, est, toujours, en contact avec son amie Maryse. Elles testent sur nous de nouvelles idées, des nouveautés pour moi, mais peut être pas pour sissy Hortense.

Maintenant, je dois, régulièrement, porter le plug électrique et la cage. Cependant, mon « clito: est microscopique. Aussi,  je n’atteins pas toujours les contacts et cela énerve ma Maîtresse.
Mais pour ma chatte, c’est autre chose! Maîtresse Anne-Marie m’envoie des décharges plus longues et intenses vers celle-ci.

Exténuée, je dois continuer à vaquer aux tâches domestiques sous l’œil de Maîtresse Anne-Marie.

Demain, c’est la fin de semaine. Maîtresse Maryse et Sissy Hortense doivent venir pour passer deux jours avec nous. Nos deux Maîtresses vont pouvoir organiser le séjour que nous devons faire, début novembre chez Maîtresse Maryse.

Les deux amies d’enfance veulent se voir avant mais surtout passer un weekend ensemble. Elles veulent, également, voir si ma progression est satisfaisante.

Ainsi, je doit tout préparer pour demain et surtout, ne rien oublier des directives, que ma Femme, Maîtresse Anne-Marie, a donnée.
Il faut que tout soit fait selon son désir.

Après déjà une omission de ma part Maîtresse Anne-Marie m’a mis des petites pinces crocos sur les tétons. Je ne peux que les sentir sous le soutien-gorge car je fais le ménage. De temps en temps, je heurte un objet avec ma poitrine. Les pinces se rappellent à mon souvenir, ce qui fait rire Maîtresse Anne-Marie.

Enfin, nous sommes le soir! Je vais pouvoir me reposer mais la nuit sera courte car demain je dois être levée à 5 H.
De plus, je n’ai le droit de me coucher que si Maîtresse Anne-Marie monte dormir sinon je dois veiller.

Le jour de la visite, préparation du petit déjeuner!

Samedi, 5 heure, le réveil est dur car Maîtresse Anne-Marie s’est couchée à minuit.
Sissy Aline est sa chose! Je me dois d’obéir et de respecter mon serment d’allégeance envers ma Maîtresse.

Ainsi, je me dépêche de tout mettre en ordre et je prépare la table du petit déjeuner pour Maîtresse Anne-Marie. Je ne dois surtout rien oublier et bien tout disposer suivant l’ordre et l’endroit précis où chaque chose doive être.
Maîtresse Anne-Marie ne doit rien chercher et trouver de suite chaque élément de son petit déjeuner.

Après la table mise, je peux manger mon petit déjeuner à la cuisine tout en lisant les ordres de Maîtresse Anne-Marie pour la matinée.

À 6 heure pile, je suit prête et ma toilette intime effectuée.
J’ai mis la perruque aux cheveux mi-long châtains. Maquillée, je porte une jupe noire étroite, un chemisier blanc, un tablier et des bas à couture bien tendus et dans l’axe.

J’attends, ensuite, que Maîtresse se réveille. Cependant, j’ai interdiction de m’asseoir pendant tout ce temps. Je dois attendre, debout, avec mes escarpins de 13 cm, la bride cadenassée. Aussi, ce n’est pas chose aisée. De plus, elle ne tolère aucun bruit. Ainsi, si je réveille Maîtresse Anne-Marie, je recevrais une punition.
Souvent, je reçois entre 15 à 30 coups de cravache sur ce que Maîtresse Anne-Marie appelle ma croupe.

Arrivée des invités

Il est à peine 8 heures  lorsque Maîtresse Anne-Marie descend.
Heureusement, je l’ai entendue bouger dans la chambre. Ainsi, je peux la servir dès son arrivée dans la salle à manger.
Elle me complimente et me dit de mettre un deuxième couvert car Maîtresse Maryse et Sissy Hortense doivent arriver vers 8 heure 30.

J’ai à peine fini de compléter la table que la sonnette retentit. Aussi, je me dépêche d’ouvrir à Maîtresse Maryse et Sissy Hortense.
Cette dernière porte les bagages et est tenue en laisse avec un bâillon. Elle a les yeux rouges et son rimmel coule….

Maîtresse Maryse tire sur la laisse et envoie Sissy Hortense à la cuisine en lui assenant un coup de martinet au passage, qui la fait gémir et pleurer. J’accompagne Maîtresse Maryse à la salle à manger où les deux amies sont tout à leur retrouvaille.
Un ordre fuse:

• Aline le petit déjeuner et le café pour Maîtresse Maryse!

Je me hâte de faire le service pour ne pas augmenter la mauvaise humeur de Maîtresse Maryse envers nous les sissies. En effet, elle ne fait pas de distinction.

Retournant à la cuisine, je trouve Sissy Hortense qui ne peut ôter son bâillon sous peine de punition. Je l’interroge et elle me montre ses fesses qui sont écarlates. Je distingue sur ses seins, deux pinces japonaises sur chaque téton. Le tout se trouve sous le soutien-gorge du corset en cuir rigide.
Elle me montre une valise et me fait comprendre que le même est dedans pour moi. Je frémis car des cadenas verrouillent les attaches.

Nouvelle tenue pour moi!

Une heure plus tard, nous débarrassons la table. Sissy Hortense a le droit d’ôter son bâillon. Nous pouvons enfin discuter dans la cuisine.
Devant nos Maîtresses, nous devons garder la tête baissée, le regard vers le sol et aucun mot ne doit être prononcé.
Maîtresse Maryse ordonne à Sissy Hortense de porter la valise dans le salon. Maîtresse Anne-Marie m’ordonne de me déshabiller et de ne garder que les bas et les chaussures.
Je dois mettre un corset mais aussi un collier très haut, avec une mentonnière et une lanière prévue pour mettre un cadenas.

Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse me mettent le corset, en cuir épais et rigide. J’ai du mal à respirer tant elles ont serré les sangles au nombre de trois, qui se trouvent, autour de la taille, cadenassées ainsi que le collier qui est, en fait, une minerve.

Je ne peux qu’obéir car Maîtresse Maryse a rajouté une laisse à l’anneau de la minerve. Les menottes de poignets et chevilles sont cadenassées.

Sissy Hortense se déshabille et je vois qu’elle a le même corset. Maîtresse Maryse et Maîtresse Anne-Marie finissent de « l’habiller » comme moi puis nous recevons l’ordre de nous mettre à genoux.

Cependant, nous ne pouvons baisser la tête à cause des minerves, ce qui nous vaut, pour moi 15 coups de cravache et pour, Sissy Hortense seulement deux coups de martinet. Il faut dire qu’elle a déjà  subi une correction avant de venir et ce n’est que le début du weekend!

Préparatifs pour une sortie à quatre!

Après avoir reçu nos instructions, nous partons à la cuisine pour finir de laver la vaisselle et surtout, pour ranger les victuailles prévues, par Maîtresse Maryse, pour elles deux, durant le séjour.

Une fois terminées, nous sommes de nouveau devant nos Maîtresses, à genoux, les yeux bien baissés, à défaut de la tête! En effet, Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse n’attendent qu’une chose, pour sévir, une faute de notre part!

Auparavant, elles ont décidé de nous sortir. Ainsi, nous mettons une mini-jupe et comme nos corsets et minerves sont rouges, la mini-jupe est, donc, noire. Cela tranche et nous sommes plus visibles. Les chevillères sont retirées, mais les menottes restent en place. Elles sont rouges.

Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse ayant chacune les mêmes vêtements mais de couleur différente nous amènent, ainsi « habillées », dans un centre commercial où nous ne passons pas inaperçu. Des sourires en coin et des allusions fusent sur notre passage. Heureusement, Sissy Hortense et moi, nous soutenons les regard. Nous arrivons, enfin, à une boutique qui n’est autre que le sex-shop de la région. Maîtresse Maryse y est accueillie et Sissy Hortense me lance un regard qui m’interpelle mais nous devons nous taire.

A suivre