Rééduqué par mon épouse dominante, une brillante avocate!(2)

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Elle est sortie de la douche quelques minutes plus tard, cette fois totalement nue. Sa vision m’a terrassé d’amour. Elle venait de me faire subir la pire soirée de ma vie et bien sûr, elle n’avait jamais été aussi belle. Jessica, mon épouse dominante, est une blonde vénitienne d’1m70 aux yeux verts. J’ai déjà décrit ses seins. Ses fesses sont tout aussi belles, pleines et rebondies. Elle ne pèse pas plus de 58kg. En la voyant ce soir-là j’ai compris que je n’aurais jamais dû avoir la moindre chance d’être avec une femme pareille dans la vie. C’était un don du ciel. Elle est venue se mettre debout devant moi. Elle a collé son ventre contre mon nez.

  • T’as toujours pas débandé à ce que je vois?

 

  • Non, chérie.

 

Obligé d’appeler mon épouse dominante, Déesse Jessica!

Epouse dominante

 

La gifle est partie toute seule.

  • Je t’ai dit que je n’étais pas ta chérie. Désormais tu vas m’appeler Déesse Jessica.

 

  • Bien, ma Déesse.

Une nouvelle gifle retentissante m’a fait perdre un instant les esprits.

  • J’ai dit Déesse Jessica. Ou Déesse tout court. Pas de « ma ». Plus jamais de « ma ». Ce n’est pas moi qui t’appartiens, c’est l’inverse.

 

  • Bien, Déesse Jessica.

 

Elle s’est assise sur le lit en face de moi.

  • Approche-toi, à genoux.

Je me suis approché jusqu’à elle, mes yeux au niveau de ses jambes qu’elle maintenait croisées. Puis elle a relevé ma tête de sa main et a plongé ses yeux dans les miens.

  • Ça fait des mois que je te trompe.

J’ai senti des larmes me monter aux yeux.

  • Je n’avais pas vraiment l’intention de te le dire, je pensais attendre que tu demandes le divorce et puis j’ai découvert le résultat d’un de tes exploits sur un de mes strings.

 

  • Je suis désolé.

 

  • Tu peux l’être. Il faut être sérieusement dérangé pour faire ça, t’en as conscience?

 

  • Oui…

 

Un choix difficile: le divorce ou la réeducation sexuelle par mon épouse dominante?

Une nouvelle gifle a résonné jusque dans mon crâne.

  • Oui, Déesse Jessica.

 

  • Tu trouves normal qu’après quatre ans de mariage je ne me sois jamais aperçu que je vivais avec un tel pervers?

 

  • Non, Déesse Jessica.

 

  • Eh bien moi non plus. C’est pour ça que j’ai pris une décision importante pour toi comme pour moi. Mon premier instinct a été de divorcer, évidemment. Mais tu pourrais continuer à m’être utile. Alors j’ai un choix à te proposer : le divorce, ou la rééducation.

 

  • La rééducation, c’est-à-dire Déesse Jessica?

 

  • Tu as un sérieux problème car il est anormal de vider ses couilles dans les sous-vêtements de son épouse. Je te propose donc de te rééduquer sexuellement, qu’en penses-tu?

Je l’ai regardée, interloqué, incapable d’ouvrir la bouche. Elle a ouvert les cuisses, découvrant son sexe encore un peu ouvert de sa folle partie de jambes en l’air.

  • Que choisis-tu Arthur? Tu es libre de faire tes affaires et de partir. Comme tu t’en doutes, et comme tu as encore pu le vérifier ce soir, ce ne sera pas difficile pour moi de te remplacer. Ou tu peux vivre ta première séance de rééducation en venant faire jouir ta Maîtresse avec ta bouche.

Instinctivement, aux ordres de Déesse Jessica!

Sensuellement, elle avait approché son sexe de ma bouche, elle n’était plus qu’à quelques centimètres.

  • Le pervers que tu es, renoncerait à une si belle chatte?

Une fois de plus, mon instinct a guidé ma bouche malgré moi. J’ai commencé à manger ses lèvres, elle a attrapé mes cheveux.

  • Doucement, je sais que tu es affamé mais il faut être respectueux de la chatte de sa Maîtresse.

 

  • Oui Déesse Jessica.

J’ai délicatement replongé ma bouche.

  • C’est bien, continue comme ça. Je dois prendre ça pour un oui? 

 

  • Mmm… mmm… j’ai répondu.

 

  • Nous allons faire de si belles choses ensemble ! Continue…

Je léchais lentement ses lèvres, glissais ma langue dans son trou, puis j’aspirai doucement son clitoris. Je la sentis se détendre et ses lèvres commencèrent à perler.

  • Applique-toi, tu es trop brusque.

J’ai ralenti la succion, j’ai glissé ma langue le long de son antre pour récupérer sa mouille que j’ai prise en bouche. Puis je l’ai délicatement crachée sur son clitoris sur lequel j’ai appliqué quelques coups de langue.

  • C’est bien mon chien, tu progresses. Tu as l’air d’aimer mon odeur hein?

 

  • Oui Déesse Jessica, ai-je marmonné en continuant à lécher ses lèvres de plus en plus humides.

 

  • Si tu l’aimes, tu devrais aimer lécher ça alors…

Préservatif usagé, forcé dans ma bouche!

 

Elle attrapa le préservatif qui était resté sur la table de chevet puis me releva la tête et vint l’agiter au niveau de mes yeux. Je pâlis.

  • Imagine que ce morceau de plastique est allé au fond de mon ventre… tu as vu la belle et grosse queue qu’il a, Tony? Tu te rends compte où ce plastique est allé se nicher? Tu ne penses pas que ce serait dommage de ne pas en connaître l’odeur?

 

  • Je… je ne sais pas si…

Elle m’a collé une gifle, ma mâchoire m’a fait mal.

  • Lèche.

J’ai tendu la langue, elle est venue poser la partie du préservatif pleine de sperme sur celle-ci.

  • Goûte ça mon petit chien, goûte la bonne odeur de ton épouse.

Elle a enfoncé le préservatif dans ma bouche avant de la refermer.

  • Garde-le dans ta bouche et tu n’as qu’à te débrouiller pour qu’il ne se renverse pas… et puis si c’est le cas, tant pis pour toi! Ça t’habituera après tout.

Elle a éclaté d’un rire terrible tandis que je réprimais un haut-le-coeur en sentant ce mélange de plastique, de cyprine et de sperme qui m’envahissait la bouche.

  • J’aimerais que tu me lèches le cul maintenant. Tu as envie ?

 

  • Oui Déesse Jessica, j’ai marmonné en évitant de trop retourner le préservatif dans ma bouche.

 

  • Oui quoi?

 

J’ai relevé la tête.

  • Oui j’ai envie de lécher votre cul, Déesse Jessica.

 

  • C’est tout?

 

  • De le dévorer, d’y plonger ma langue et de bien le nettoyer Déesse Jessica!

Obligé de me déplacer à quatre pattes comme une chienne!

Elle faisait exprès de me faire parler dans l’espoir que le préservatif se renverse. Par miracle, j’avais réussi à le caler dans un coin de ma bouche, sous les dents.

  • Mmm tu progresses. La place de ta sale bouche est dans mon anus tu le sais n’est-ce pas?

 

  • Oui Déesse Jessica.

 

  • Alors recule. On va faire ça bien. En plus j’ai du travail, je ne vais pas passer la soirée à m’occuper de tes cochonneries.

J’ai reculé tandis que ma nouvelle Maîtresse se relevait pour se rendre dans son petit bureau, très élégant, attenant à la chambre.

  • Suis-moi.

Alors que je m’apprêtais à me relever, elle s’est tournée brusquement vers moi.

  • Qu’est-ce que tu fais?

 

  • Je vous suis, Déesse Jessica.

 

  • D’après toi, comment marche un homme qui soulage sa vilaine queue dans les sous-vêtements de sa femme et qu’on est obligé de rééduquer en lui faisant mâcher un préservatif plein du sperme de son amant?

 

  • Je… je ne sais pas.

 

  • Comme un chien, Arthur. Ou plutôt comme une chienne dans ton cas. C’est comme ça dorénavant que tu marcheras dans cet appartement.

 

  • Bien, Déesse Jessica.

 

Soumis à mon épouse dominatrice, en une soirée!

Avec un naturel qui me désarma moi-même, je me mis instantanément à quatre pattes et commençai à avancer.

  • Il faudra t’acheter une laisse et un joli collier, on s’en occupera ce week-end, à moins que tu aies le temps de passer demain dans une animalerie?

 

  • Bien sûr, Déesse Jessica.

 

  • Mmm, c’est très bien ma petite chienne.

Ravie, mon épouse dominante mit quelques tapes sur ma croupe comme elle l’aurait fait à son animal domestique. Cette attention ne fit que redoubler mon érection. Elle y jeta un œil amusé.

  • Oh mais quelle vilaine regarde-la comme elle est toute dure! On s’occupera d’elle tout à l’heure, pour le moment tu n’y touches pas.

 

  • Oui Déesse Jessica.

 

  • Allez suis-moi.

Qu’est-ce qui m’arrivait? Pourquoi je lui obéissais aussi bêtement? Elle venait de me tromper, de m’humilier, je sentais le goût du sperme de son amant dans ma bouche et je ne parvenais pourtant à rien d’autre que répéter dans ma tête « Déesse Jessica » en boucle.

Evidemment, elle qui était si intelligente, bien plus que moi, avait déjà tout perçu de ma nature soumise. Il ne lui avait pas fallu plus de quelques mots pour me convertir. La suite de la soirée, et plus encore les jours suivants, allaient encore plus lui donner raison.

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