Les punitions de Madame L, mon ancienne institutrice
Madame L, maman de mon meilleur ami
Sa mère vint deux ou trois fois nous demander de nous calmer. Finalement, ce qui devait arriver, arriva en courant autour de la piscine, on cassa un vase. Sa mère sortit furieuse. Ensuite, elle fit monter son fils à l’étage et me demanda de m’asseoir dans le salon pour me calmer tandis qu’elle finissait de corriger ses cahiers d’école.
Elle ajouta que de toute façon, il était bientôt l’heure de me ramener chez moi. Tout à mon baiser échangé, j’attendais assis, absent, le sourire aux lèvres …sur un petit nuage sans rien entendre de ce qu’elle me racontait. Aussi qu’elle ne fut pas ma surprise quand tout d’un coup, sans trop savoir pourquoi, je la vis se lever furieuse et venir vers moi.
En deux temps, trois mouvements, je me retrouvai penché en avant et , une série de claques rageuses tombait sur mes fesses. Elle se releva ensuite, cria quelques mots que je ne compris qu’incomplètement puis
- J’espère que c’est clair cette fois?
Ensuite, elle partit vers la cuisine, me laissant là.
Puni par Madame L, à 18 ans, avec une Féssée
Je restai un peu interloqué. A 18 ans, je venais de recevoir une fessée comme un gamin. Cependant, n’ayant pas tout écouté auparavant, j’en conclus qu’elle me reprochait toujours mon attitude de l’après-midi au bord de la piscine ou alors, de ne pas lui avoir répondu lorsqu’elle me faisait vraisemblablement la leçon. Néanmoins, comme je venais d’embrasser pour la première fois une fille, je me rassis sans me poser plus de question.
Elle revint quelques minutes après dans le salon, me regarda et devint à nouveau rouge de colère.
- C’est pas vrai, tu te moques de moi? Cela fait cinq minutes que je te dis de ne pas t’asseoir sur le canapé en cuir avec ton maillot mouillé et tu continues!
Je compris enfin mon erreur mais trop tard. En trois enjambées, elle était sur moi. Après, elle m’extirpa du fauteuil puis d’un geste sec baissa mon maillot jusqu’aux genoux, exposant pour la première aux yeux d’une femme la fine toison qui couvrait mes parties génitales.
Elle s’attarda une fraction de seconde sur mon corps tandis que je devenais rouge comme une pivoine. Enfin, elle ouvrit le tiroir d’une commode, en sortit un solide martinet puis revint pour me basculer en travers de ses cuisses. Elle me cingla avec vigueur, frappant alternativement la fesse gauche puis la droite. Malheureusement dans sa colère, son geste manqua aussi parfois de précision.
Le martinet tomba, alors, entre mes fesses cinglant douloureusement mes bourses ou mon anus.
Suite à la féssée, un début d’érection incontrôlable!
Après quelques instants de ce traitement, elle me redressa devant elle et découvrit, comme moi et à ma grande honte un jolie début d’érection. Elle poussa des hauts cris scandalisés, se prenant la tête entre les mains d’un air me traitant de vicieux et d’obsédés.
- Je sais ce dont tu as besoin, tu vas voir que je vais calmer tes ardeurs.
Elle retourna alors vers la commode et en sortit une petite palette en bois, dont j’appris plus tard qu’on l’appelait paddle. Je me retrouvai, à nouveau, en travers de ses cuisses. Elles les avaient croisées de façon à exposer parfaitement mon petit derrière. Elle enleva complément mon maillot de bain et repris la punition. Je dis maintenant punition car la fessée devint en effet plus sévère.
Néanmoins, et c’est ainsi que bien plus tard je compris qu’elle avait sans doute une grande expérience de la fessée et que peut être tout cela n’était pas arrivé par hasard. Elle fessait suffisant fort pour que cela soit douloureux. De fait mon érection n’y résista pas longtemps, mais pas trop pour pouvoir faire durer longtemps la fessée. Elle alternait les petites séries pas trop appuyées, les coups plus forts et les commentaires humiliants ou moraliste :
- Elles sont maintenant bien rouges tes jolies petites fesses. Vilain garnement, reconnais que tu en avais bien besoin? Il n’ y a pas d’âge pour une bonne déculottée. Mais enfin arrête de te trémousser, un peu de pudeur! Tu veux me faire voir tout tes recoins les plus secrets?
Lors de ses commentaires, ses mains s’égaraient sur mes fesses et se faisaient alors plus caressantes. Ainsi, elle flattait ici, malaxait là , écartait aussi largement mes deux hémisphères rebondies. Madame L avait une vision complète sur mes parties intimes.
Au bord des larmes…
Elle me fit d’ ailleurs honteusement comprendre ce qu’elle avait sous les yeux. En effet, elle tiraillait de temps en temps le fin duvet qui couvrait la naissance de mes bourses ou le pourtour de ma petite rondelle plissée. Je dois dire qu’à l’époque, l’équivoque de la situation ne m’était pas venue à l’esprit. Et puis si j’’étais particulièrement honteux qu’on me voit ou me parle ainsi, j’appréciais ses poses. Cela me permettait de souffler un peu et d’anticiper la douleur des prochains coups.
Cette fessée dura donc un bon moment et me laissa au bord des larmes. Madame L , quand à elle , n’ignorait plus rien de mon anatomie.
La fessée terminée, Madame L, réendossa son habit d’institutrice et s’adressant à moi comme à un enfant. Elle me demanda de lui écrire un petit mot d’excuse. Cette forme de punition me convenait davantage. Je vins donc poser mes fesses brulantes sur la chaise posée devant la table. Etant plutôt un bon élève, je lui écrivis une lettre d’excuses plutôt bien tournée. Elle la lut avec satisfaction, constata qu’il n’y avait pas de faute, rectifia une tournure de phrase puis me regarda dans les yeux :
- C’est bien mais il me semble que c’est incomplet…
Je la regardais sans comprendre.
- Mais enfin tu n’expliques pas pourquoi j’ai été obligé d’être plus sévère et de prendre cette instrument, me dit elle en m’indiquant le paddle .
Obligé d’écrire un mot d’excuse à Madame L
Elle me rendit mon courrier pour que je complète.
Elle se pencha sur moi alors que je cherchais mes mots.
- alors dis moi ….
Déstabilisé et rouge de confusion , je ne savais que dire :
- J’ai été vicieux durant la fessée
- C’est-à-dire?
- Mon….
- Ton …
- Mon sexe est devenu …tout dur, finis – je par articuler d’une voie blanche.
- Cela s’appelle une érection, me dit elle d’un ton sec et professoral. Décidément , on se demande qu’elle age tu as .
Évidemment, l’évocation de cette scène, provoqua chez moi une nouvelle érection. Là où elle était placée, elle ne pouvait pas ne pas le constater mais ne me dit rien. Je finis donc mon petit mot et lui tendis la gorge sèche sans plus de commentaire.
- Ah Ben décidément tu es un petit cochon me dit elle en fixant mon entre jambe.Tu as besoin que je m’occupe de toi en commençant par une plus sévère correction
- Madame L , j’ai 18 ans, je ne suis plus un gamin. Laissez moi tranquille!
- L’age n’a rien à voir, quand on se comporte comme un gamin , on est traité comme tel.
- Non, s’il vous plait dis je à nouveau aux bords des larmes.
Fessé de nouveau avec une Badine
Sans écouter davantage mes supplications, elle m’attira alors dans une chambre. Elle me demanda de m’allonger sur le dos, les fesses aux bords du lit et les jambes dans le vide. Elle se saisit, alors, de mes jambes et les replia de façon à ce que mes genoux touchent mon torse. J’étais bien conscient de l’indécence de ma position mais mon sentiment premier était la peur d’avoir mal.
Ensuite, elle me détailla un instant puis une douleur intense irradia mes fesses, comme si quelqu’un voulait les coupait en deux. Elle se plaça alors dans mon champ de vision et je vis alors qu’elle avait pris sans que je m’en aperçoive une fine baguette de bois.
- Dis-moi, tu te masturbes ?
- Oui des fois
- J’espère que tu n’as pas fait tes cochonneries dans la piscine?, me dit-elle en décalottant distraitement mon pénis en érection
Chacune de ses remarques étant suivie d’un sévère coup de badine.
Alternance de coups et caresses, dans un état d’éxcitation extrême!
Ses coups étaient savamment dosés, douloureux certes mais pas trop. Les caresses et commentaires qui suivaient me maintenaient dans un état d’excitation extrême
- Tu leur a demandé de montrer leur petit abricot ?
- NON !!
- Alors tu as descendu ton maillot et tu as fait voir ton petit sucre d’orge
- Non.
- Tu es un petit puceau , n’est ce pas ?
- Oui répondis je timidement.
- En tout cas, il va falloir que tu apprennes à RESPECTER les femmes. J’ai bien vu tout à l’heure comment tu reluquais tes petites copines. Tu es un vrai obsédé. Tu leur regardais le cul. C était d’une vulgarité.
- Ne me dis que tu voulais le faire pas par là me dit elle en glissant son index jusqu’à la première jointure dans l’anus. Ah je comprends mieux maintenant pourquoi tu trémoussais tant ton petit cul tout à l’heure. Tu voulais que je vois ta petite pastille. Mais Dis donc vicieux , ça rentre comme dans du beurre.
En me disant cela, elle prit davantage possession de mon étroit conduit.
Enfin, elle poursuivit son petit jeu pervers un long moment, s’arrêtant habilement à temps pour me maintenir dans un douloureux état d’excitation.
Suite de son petit jeu pervers jusqu’à mon éjaculation!
- Mets toi debout face à moi .
- Tut, Tut, mains sur la tête! Fais moi voir ton petit zizi .
Assise sur le lit, elle me regarda longuement .
- Il va falloir qu’on nettoie tout ça. A quoi ça sert d’avoir tout ces poils quand on se comporte comme un gamin. Mais, dis moi la nature t’a pas trop gâté dit elle en frôlant mon pénis . C’est un zizi de bébé ! Tourne toi . Joli petit cul , tout doux , bien cambré Écarte les jambes et penche toi un peu! Cambre bien! Très très mignon, joli petite rondelle …. C’est bien serré dit elle en titillant mon anus. Tu es une petit pucelle ?
- Oui
- Oh mais dis moi? y a ton petit clito qui se dresse. Il va falloir que je t’ouvre rapidement ta petite chatoune. Viens, suis moi!
- Rentre dans la douche . On va enlever tous ces poils disgracieux .
j’aurais aime trouve une telle institutrice a son age