Ma Maîtresse dominatrice : Début de la formation (15)

Ma Maîtresse dominatrice : Préparations pour la formation (14)

Arrivée de la maquilleuse

Cela faisait bien vingt minutes que j’attendais, accroché par la laisse. Je pensais à ma Maîtresse dominatrice, quand soudain, j’entendis quelqu’un s’approcher dehors. Ensuite, la sonnette retentit.

Madame T vint ouvrir la porte.

Tête baissée, je ne voyais que la paire de bottes avec de hauts talons.

Madame T détacha la laisse de l’anneau, puis tirant dessus, Elle me fit avancer, toujours à quatre pattes.

 

Arrivés dans le salon, Elle tendit la laisse en disant :

• Elle est toute à toi, mets moi cette petite dévergondée en valeur, comme tu sais si bien le faire.

 

• Mais avec grand plaisir, répondit celle qui, je le comprenais alors, était la maquilleuse.

Elle me mena alors dans un recoin du salon que je n’avais pas remarqué.

J’y découvris une magnifique coiffeuse avec trois grands miroirs. Ensuite, Elle tira vers le haut sur la laisse pour me faire asseoir sur la chaise.

Ouvrant sa valise, elle me dit :

• Bon, je vais te montrer comment tu vas te faire belle.

Maquillé et en tenue de soubrette!

Il fallut bien une heure d’explications, d’essais et d’entrainement sommaire.

Puis, s’adressant à Madame T en me faisant mettre debout face à Elle :

• Alors, ma chérie, qu’en penses-tu ?

 

• Magnifique, tu es une magicienne.

Puis s’adressant à moi, Madame T dit :

• File mettre ta tenue, qu’on puisse admirer le travail complet.

Je me mis à quatre pattes pour ne pas faire d’impair. Ensuite, je me dépêchai d’aller enfiler les bas, la petite robe-tablier et les chaussures à talons.

C’est ainsi vêtue que je me présentais à Madame T, tête baissée, les mains dans le dos.

• Ahhh, ça commence à ressembler à ce qu’est une petite cochonne soumise. Qu’en dis-tu ma chère ?

 

• Oui, je me surprends à chaque fois que je fais un nouveau maquillage, tu me la prêteras ?

 

• Elle est, juste, en formation chez moi, il faudra voir avec sa Maitresse dominatrice. D’ailleurs, je vais lui envoyer de suite un photo de sa petite cochonne.

Prenant son téléphone, elle fit une photo et l’envoya à Maitresse M.

Ma Maîtresse Dominatrice, ravie par ma transformation

La réponse fut immédiate.

• Ta Maitresse dominatrice trouve que cela te va à ravir. Et puisque tu es en tenue, commence par nous servir l’apéritif.

 

• Bien Madame.

Je partis à la cuisine, chercher la bouteille de champagne et les flutes.

J’apportais le tout, ouvris la bouteille, et remplis les flutes.

Une fois fait, je reculais et me mis en attente à coté de la porte, tête baissée, mains dans le dos.

Pendant que Madame T et son amie maquilleuse discutaient en buvant leur flûte, je commençais à penser à ma formation qui avait déjà commencée. Perdu dans mes pensées, je n’ai pas entendu l’ordre de Madame T qui haussa le ton.

• Tu m’entends petite traînée ?

 

• Pardon, Madame, excusez-moi, j’étais dans mes pensées.

 

• J’ai bien vu cela, donc commence par remplir les verres et viens devant nous que je décide quoi faire de toi

Aussitôt, je m’exécutai.

Une fois les flûtes remplies, je me mis devant Madame T, tête baissée, mains dans le dos.

Elle souleva mon tablier et agrippa fermement mes bourses.

• Elles ont l’air bien pleines. Une bonne traite te ferait du bien pour que tu restes concentrée, petite cochonne.

Puis, s’adressant à son amie :

• Prends la par la laisse, et emmène la dans l’arrière cuisine, j’arrive.

Trainé par la laisse jusqu’à l’arrière cuisine…

Aussitôt, l’Amie saisit ma laisse, la tira vers le bas pour que je me mette à quatre pattes.

Elle me mena alors dans l’arrière cuisine où je découvris ce qui était un mélange de table et de chevalet.

Me guidant avec la laisse, Elle me fit monter à moitié, afin que mon torse soit posé sur la table, et mes chevilles furent alors attachées aux pieds.

Ma tenue fut relevée sur mes hanches, pendant que Madame T, arriva pour tirer mes bars en avant afin d’attacher mes poignets bien devant moi.

La cage de chasteté fut retirée, pour qu’elles puissent installer à sa place la pompe que j’avais pu voir.

• Rien de mieux qu’une trayeuse et automatique, dit Madame T

Puis, la mettant en marche, Elle accrocha une pince à chaque bourse.

• Et c’est meilleur avec une stimulation, dit-Elle en allumant le générateur qui envoya immédiatement des décharges électriques.

Mes deux formatrices profitèrent alors du spectacle de me voir essayer de me tordre de douleur et de plaisir.

 

A suivre