Virginie, dominatrice sévère? : Les retrouvailles (9)

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Virginie, dominatrice sévère? : Les retrouvailles (8)

 

Une fois arrivé devant la porte de l’appartement de Virginie, il sonna et attendit. Il put entendre les talons claquer au sol et se rapprochant. Virginie ouvrit la porte. Sa Maîtresse dominatrice s’était changée entretemps et portait maintenant un corset noir et rouge, des bas et des cuissardes par dessus ainsi qu’une paire de gants longs en cuir.

L’excitation d’Alain fit un bon et tandis qu’elle se tenait devant la porte sans bouger, il se mit à quatre pattes devant elle. Elle s’écarta un peu pour le laisser passer, Alain franchit la porte et se dirigea vers le salon, suivi de Virginie, sa Maîtresse dominatrice, juste derrière lui.

Ne sachant pas quoi faire d’autre, Alain se tint à genoux au milieu du salon.

 

Punition sévère imposée par sa Dominatrice

dominatrice

Sans dire un mot, Virginie passa à côté de lui et s’installa sur le canapé. Alain se tourna vers elle et baissa les yeux.

  • Quelle est cette odeur ? demanda Virginie

A cet instant, Alain se rappela du kebab et s’inquiéta.

  • Je…

 

  • J’attends, dit Virginie

 

  • J’ai mangé un kebab frites sur le retour Maître, j’avais faim, dit Alain honteux.

Alain pouvait voir le pied de la jeune dominatrice bouger exprimant presque une certaine hésitation.

  • Mmmh, que vais-je faire de toi, dit-elle.

 

  • Je vous présente mes excuses Maître dit Alain.

 

  • Tu es conscient que tu mérites une punition sévère ?

 

  • Oui Maître

 

  • Et surtout il me faut te dresser plus fermement. Tu es loin d’être un bon esclave pour le moment.

 

  • Oui Maître.

 

  • Je t’ai assez vu pour le moment, dit-elle. Tu vas rentrer chez toi.

 

Alain restait sans rien dire la tête baissée. Finalement, Virginie se leva et lui tourna autour. Alain s’attendait au pire et tremblait. Virginie passa sa main dans ses cheveux.

  • Tu as peur ? demanda-t-elle ?

 

  • Oui Maître.

Programmation d’un stage intensif de dressage

Virginie se mit à sourire.

  • Tu fais bien de me craindre, dit-elle. Mais ce n’est pas encore assez à mon gout. Je vais faire en sorte que tu sois terrifié à la simple idée de me désobéir.

 

  • Oui Maître.

 

  • Mets toi sur le dos, ordonna-t-elle.

Alain s’exécuta rapidement. Virginie déposa sa semelle sur sa bouche et naturellement il se mit à lécher. Il s’appliquait pour s’assurer que la semelle soit propre.

  • Tu vas prendre des vacances, dit-elle. Une semaine complète que tu passeras avec moi. Ce sera un stage intensif de dressage et tu seras bien sûr puni pour tous tes comportements qui m’ont déplu jusqu’à maintenant.

 

  • Oui Maître, dit Alain tandis que Virginie posait son autre semelle sur sa bouche.

 

  • Je te donnerai les dates demain et tu devras me tenir au courant. Je veux une semaine complète.

 

  • Oui Maître.

 

  •  Bien.

Virginie retira sa semelle et alla s’installer dans le canapé.

  • Tu peux y aller maintenant larbin. Hors de ma vue.

Alain ne demanda pas son reste et sortit de chez Virginie. Ensuite, il rentra chez lui et se coucha rapidement tellement il était fatigué.

 

Dans l’attente des consignes de sa Maîtresse dominatrice

Au travail le lendemain, Alain restait rivé sur son téléphone en entendant des nouvelles de Virginie, sa Maîtresse dominatrice. Il avait déjà préparé le terrain en signalant qu’il avait quelques jours de vacances à prendre. En fait, il avait du mal à se concentrer. La cage de chasteté le démangeait toujours. De plus, il s’inquiétait pour cette semaine de dressage et surtout les punitions et il lui arrivait de penser à Caroline également. Tout se bousculait dans sa tête.

Finalement c’est dans l’après midi qu’il reçut enfin des nouvelles par SMS. Virginie voulait qu’il prenne la semaine suivante. Alain se précipita pour négocier avec son chef. Par chance, il ne débordait pas de travail sur cette période et il put prendre la semaine.

Il avait pour consigne de venir uniquement avec un jogging et un sweater qu’il porterait sur lui, pas besoin d’autre bagage pour sa semaine. Il devait se présenter en tenue le vendredi soir chez Virginie avec sa voiture. Aucune autre consigne si ce n’était de ne pas contacter Virginie d’ici la. Alain avait quelques jours à imaginer ce qu’il pourrait bien se passer durant cette semaine de vacances.

Néanmoins, Alain avait quand même une chose importante à faire avant le vendredi, trouver un jogging car il n’en avait pas. Il ne faisait pas de sport et n’était pas un amateur du jogging pour son look. Aussi, il acheta sa tenue un soir en sortant du travail.
Ensuite, il passa la plupart de son temps à essayer d’imaginer ce qu’il allait vivre durant cette semaine. Il portait toujours sa cage de chasteté et il avait du mal à contrôler son excitation.

 

Début de la semaine de dressage intensif

Le vendredi soir en sortant du travail, son excitation et son inquiétude étaient grandes. Il se dépêcha de rentrer chez lui et enfila sa tenue de sport, puis il prit sa voiture. Arrivé chez Virginie, il sonna à la porte.

Virginie lui ouvrit la porte. Il entra et la suivit jusqu’au salon. Elle se tint devant lui fièrement. Sa Maîtresse dominatrice portait son pantalon de cavalière, les bottes de cavalière à talons aiguilles avec les éperons et un t-shirt moulant. Alain était très excité et la cage le démangeait terriblement.

  • A genoux, dit-elle.

Ensuite, il s’agenouilla devant elle en baissant la tête. Elle lui tourna autour, faisant claquer se talons et sonner ses éperons étoiles pointus.

  • Nous avons beaucoup à faire cette semaine, dit-elle. mais pour commencer je dois te reprendre fermement en main.

Elle s’arrêta.

  • A poil!

Tandis qu’Alain se déshabillait, Virginie prit sa cravache. Il se remit à genoux après avoir retiré ses vêtements. Ensuite, elle posa son talon sur son dos et le poussa.

  • A 4 pattes, ordonna-t-elle.

Sa Maîtresse dominatrice se mit à le cravacher vigoureusement, puis à lui donner des coups avec ses bottes pointues et ses talons, provoquant des marques sur son corps. Alain sentait la douleur de plus en plus forte et insupportable mais il tenait bon tout en gémissant. En guise de pause, Virginie marcha sur se mains ce qui lui fit pousser un cri put elle reprit les coups de cravache encore plus vigoureusement. Alain s’écroula et se recroquevilla sur lui même tandis qu’elle lui donnait des coups de talon, pénétrant sa chair jusqu’au sang. Enfin, dans un soupir elle s’arrêta et fit claquer son talon juste devant son visage.

 

Obligé de lecher le talon des bottes de sa dominatrice!

dominatrice sévère

Alain sortit sa langue et lécha rapidement le cuir.

  • N’as tu rien à dire larbin ? demanda-t-elle

 

  • Merci Maître pour tout ce que vous faites pour moi dit Alain.

 

  • Quel dommage de devoir te le dire, dit Virginie. Lèche mes éperons.

Alain fit passer sa langue sur l’éperon attaché à la botte de Virginie. Il s’y prenait délicatement et l’étoile aux bouts pointus tournaient tandis que sa langue léchait.

Ensuite, Virginie fit un mouvement sec du talon ce qui enfonça l’étoile dans la bouche d’Alain qui se mit à gémir. Les pointes de l’étoile rentrant dans sa bouche firent quelques dégâts.

  • Lèche à plein bouche, ordonna Virginie.

Alain avait l’éperon dans sa bouche et avec beaucoup de précaution, il fit glisser sa langue sur l’étoile. Virginie bougeait légèrement le pied ce qui faisaient frotter les pointes à l’intérieur de la bouche d’Alain, provoquant une douleur stridente. Il se mit à crier la bouche fermée, ce qui donnait l’impression qu’il mugissez. Cela fit rire Virginie qui observait Alain, tout rouge collé à sa botte avec l’éperon dans sa bouche. Le sang dégoulinait de la bouche d’Alain, et se  mélangeait à sa bave.

Enfin, elle fit claquer son talon ce qui provoqua un niveau frottement dans la bouche d’Alain qui se mit à hurler de plus belle en ouvrant la bouche. Virginie retira l’éperon plein de sang. Alain haletait, la douleur était encore forte.

Elle se tint devant lui les jambes écartées. Il se tenait à quatre pattes, la tête baissée, le sang mélangé à la bave dégoulinait de sa bouche.

  • Merci Maître, dit Alain

 

  • Lèche mes bottes en me remerciant, dit-elle.

Ainsi, il se mit à lécher frénétiquement ses bottes, laissant des traces de son sang sur le cuir.

 

  • Ca suffit, dit elle.

 

Enfin, libéré de sa cage de chasteté

Alain recula légèrement et attendit. Virginie regardait ses bottes pleines de trace du sang d’Alain. Elle tourna autour de lui.

  • Ton sang et ta bave sont sur mes bottes, dit-elle. Mais il manque un élément. Tu vas y mettre du sperme.

 

Ensuite, elle jeta la clé de la cage de chasteté au sol.

  • Retire ta cage, dit elle.

Alain prit la clé et retira la cage. La libération de son sexe lui fit un peu oublier la douleur, d’autant plus avec la perspective de jouir.

  • Assieds-toi par terre et écarte tes jambes, ordonna-t-elle.

Alain posa ses fesses sur le sol et écarta les jambes, le dos bien droit. Virginie alla chercher le collier ainsi qu’une lanière de cuir dont les bouts étaient rejoint et attachés l’un à l’autre, formant comme un lasso. Elle mit le collier autour du cou d’Alain en serrant très fort. Alain pouvait à peine à respirer.

Puis elle fit passer la lanière dans sa bouche, le reste tombant le long de son dos. Elle glissa son talon sur la lanière et força jusqu’au sol, obligeant Alain à basculer la tête en arrière. Enfin, elle posa le talon au sol pour bien tendre la lanière qui tirait sur les joues d’Alain.

  • Tiens toi droit!, lui dit-elle.

Alain souffrait et avait du mal à se tenir droit car la lanière le tirait en arrière et lui faisait mal à la bouche et aux joues. La difficulté de respirer n’arrangeait rien.

Virginie se tint sur le côté gardant sa jambe gauche dans le dos D’Alain, jambe dont le talon tenait la lanière. Elle posa sa semelle droite sur ses boules posées au sol, appuyant légèrement ce qui fit réagir Alain.

  • Bien, dit-elle avec le sourire. Tu vas te caresser maintenant. Et tu jouiras quand je te le dirai sur ma botte.

 

Masturbation obligatoire

Alain commença à se caresser doucement. Il était très excité malgré l’inconfort dans lequel il se trouvait. Cependant, il ne voulait pas jouir trop vite.

  • Caresse toi plus vite!, ordonna Virginie en appuyant sur ses boules. Tu dois pouvoir te contrôler, même si tu n’es pas un homme.

Alain accéléra sa masturbation tout en se concentrant pour ne pas jouir. Son excitation était à son comble d’autant plus qu’il portait la cage depuis longtemps.

Virginie appuya plus fort sur ses boules, les écrasant de sa semelle. Alain sentit la douleur et accéléra le rythme.

  • Je t’interdis de jouir pour le moment, dit Virginie.

Alain respirait comme un boeuf, la tête en arrière sentant ses boules sous la botte de Virginie. Finalement, elle passa sa main sur son visage crispé.

  • Pour moi tu dois être prêt à tout, dit-elle avec douceur. Tu dois accepter ton infériorité et ta place dans ce monde. Tu n’es pas un homme mais un esclave, tu dois obéissance aux être supérieurs comme moi.Tu ne dois pas réfléchir mais obéir.Je suis ta Dominatrice et tout ce qui vient de moi est un honneur pour toi, tu dois être reconnaissant à chaque instant.

Virginie appuya un peu plus sur ses boules.

  • Caresse toi plus vite encore, mais ne jouis pas!, dit-elle.

Alain se masturbait de plus en plus vite. La douleur l’aidait à ne pas jouir mais c’était de plus en plus difficile. Il ne put pas se retenir plus longtemps et explosa. Son sperme gicla sur la botte de Virginie en abondance. Elle écrasa ses boules appuyant brusquement son talon sur ses boules ce qui fit hurler Alain. Ensuite, elle releva son pied gauche qui retenait la lanière enroulée autour de la bouche d’Alain et il s’écroula au sol de douleur et d’épuisement.

Esclave brisé, sous le talon de sa Maîtresse

Virginie retira la lanière et s’approcha de lui, Elle posa son talon sur son dos, le cuir de sa botte recouvert de sperme. Alain se mit à sangloter.

  • Quel beau spectacle, dit Virginie. Te voir ainsi brisé sous ma botte, sans défense, si fragile, si humilié. Tu prends conscience que tu es mon esclave et que tu dois m’obéir. Ton dressage ne fait que commencer et bientôt tu seras enfin digne d’être mon larbin.

Elle enfonça son talon dans sa chair. Alain pleurait et implorait sa pitié.

  • Je vous en prie Maître, dit-il. Je vous implore.

Elle enfonça encore plus son talon.

  • Je n’ai que faire de tes supplications, dit-elle. Un larbin obéit et subit en silence et n’exprime que satisfaction de son Maître.

 

  • Je vous présente mes excuse Maître, dit Alain. Et je vous remercie Maître.

Elle retira son talon et se positionna devant lui.

  • Lèche ma botte plein de tes cochonneries.

Il rampa jusqu’à sa botte et sortit sa langue pour lécher le sperme.

  • Bien sûr tu avales ordonna-t-elle.

Il léchait et avalait. Le sperme se mélangeait à la bave et au sang, laissant des traces sur le cuir.

  • Ca suffit!, dit Virginie.

Elle regarda ses bottes.

  • Ces bottes sont le symbole de ton appartenance en cet instant, dit-elle.Ton sang, ta salive et ton sperme. Tout cela est à moi et j’en dispose à ma guise. Je dispose de ton corps, de ton existence. Est-ce bien assimilé esclave ?

 

  • Oui Maître dit Alain.

Sa dominatrice donna un coup de pied à Alain.

  • A 4 pattes!, ordonna-t-elle. Je n’ai pas fini.

 

Alain se redressa et se tint à quatre pattes. Il ressentait une forte douleur et beaucoup de fatigue. Virginie l’enjamba et s’installa sur son dos comme sur un cheval. Elle fit passer la lanière de cuir dans sa bouche et tira fermement, obligeant Alain à se tenir la tête en arrière, la bouche ouverte par la lanière qui déchirait les commissures de ses lèvres.

 

De nouveau encagé et enfermé dans le placard

Ensuite, elle donna un coup d’éperons sur ses fesses pour le faire avancer. Alain se mit à avancer, fournissant un effort qui lui paraissait gigantesque. Son collier l’empêchait de bien respirer et c’était encore plus difficile avec cet effort à fournir.

Virginie ne relâchait pas la pression pour autant et lui donnaient des coups d’éperons pour le faire aller plus vite. Les éperons s’enfonçaient dans sa chair jusqu’au sang. Alain n’en pouvait plus et se sentait sur le point de s’évanouir. Finalement, il finit par s’écrouler au sol.

Virginie avait pris soin de se lever avant qu’il ne s’écroule, sentant son extreme faiblesse. Il était toujours conscient et respirait fort. Virginie lui tourna autour, faisant claquer ses talons au sol, puis approcha ses bottes de son visage. Alain fit un effort et rampa la langue tendue pour lécher le cuir de la botte.

  • Merci Maître.

 

  • Tu finis par apprendre, dit Virginie. C’est un signe encourageant.

Elle desserra son collier, et y accrocha la lanière de cuir.

  • Redresse toi et va remettre ta cage, dit-elle.

Alain remis la cage et tendit la clé à Virginie.

  • Avec ta bouche larbin, dit-elle. Comme un bon chien.

Il mit la clé entre ses lèvres et s’approcha de la main tendu de Virginie. Il y laissa tomber la clé. Virginie fit passer son doigt sur son visage puis sur ses lèvres. Il embrassa son doigt.

  • Vous êtes une Déesse, dit Alain en léchant ses doigts.

 

  • Oui dit Virginie avec un sourire.Il est temps pour toi d’aller te coucher. Tu vas dormir dans le placard, ta niche.

Virginie se dirigea vers le placard de la cuisine et lui fit signe de s’installer. Alain ouvrit le placard et s’installa dans le placard, dans une position très inconfortable. Virginie referma le placard et mit un cadenas.

 

 

A suivre

 

 

 

 

 

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