Une charmante dominatrice et son ex-professeur soumis (11)

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Une charmante dominatrice et son ex-professeur soumis (10)

Nous nous quittâmes le lendemain matin et je n’eus de nouvelles de ma Maîtresse que deux semaines plus tard sous forme d’un sms plutôt laconique : « Bonjour mon soumis, tu as rendez-vous chez Maîtresse Julie demain à 17h, elle a besoin de toi pour sa soirée filles ! »

Je me suis souvenu aussitôt que mes Maîtresses s’étaient mises d’accord pour se partager mes services, mais je ressentis encore cette crainte de dépendre de Maîtresse Julie sans la présence rassurante de Maîtresse Elsa, avec laquelle il y avait un lien plus sentimental qu’avec Maîtresse Julie qui s’était montrée insatiable et débordante d’imagination… et puis être prêté ainsi me diminuait encore plus psychologiquement.
Cette crainte était amplifiée par celle de devoir servir plusieurs jeunes femmes inconnues, et j’avais un trac fou…

Bien sûr, je me mis à cogiter sur le rôle que j’allais avoir, ce que je devrais subir, combien elles seraient, si elles allaient me plaire (toujours important dans ma soumission), mais si les questions affluaient et faisaient monter la pression, je dus me résoudre à tenter tant bien que mal de ne pas trop y penser et essayer de dormir pour être en  forme physiquement.

Arrivée chez Maîtresse Julie pour une soirée mémorable pour le pauvre soumis

soumis

Le lendemain, je me rendis chez Maîtresse Julie qui m’accueillit avec un grand sourire et qui me mit immédiatement dans l’ambiance.

  • Ce soir, j’ai invité 3 amies de longue date à qui j’ai parlé de toi. Tu as de la chance, elles sont toutes les trois très jolies ! Nous commencerons par prendre l’apéritif et tu nous serviras. Tu seras torse nu, tu ne porteras qu’une mini-jupe en jersey très moulante. Cette mini-jupe n’a pas pour but de te féminiser, ça ce sera peut-être pour une prochaine fois, elle servira à cacher tout ce qui est laid chez un homme tout en permettant un passage facile pour des mains baladeuses, si tu vois ce que je veux dire !

 

  • Ensuite, toujours pendant l’apéritif, chacune de mes amies t’emmènera dans la chambre d’amis pendant un quart d’heure. Elles t’utiliseront comme bon leur semble, te feront subir tout ce qui leur passera par la tête, tout ce dont elles ont peut-être rêvé sans pouvoir le réaliser, le deal étant que ce qui se passera là-bas restera secret, tu ne seras jamais autorisé à dévoiler ce qui s’est passé, même si Elsa ou moi te le demandons, ce sera pour toujours le jardin secret de mes amies. C’est bien compris ?
  • Oui Maîtresse, dis-je machinalement, abasourdi pas ce scénario énigmatique.
  • Il va sans dire que ce sera probablement pénible pour toi, tout dépend de ce qu’elles ont en tête et on ne connait jamais personne… mais elles ont approuvé les limites : brûlures, aiguilles, marques indélébiles. En attendant leur arrivée, va te préparer, voici ta jupette et ton collier de chien, tu attends dans la salle de bain que je vienne te chercher, tu laisseras la porte légèrement entrouverte, comme ça tu pourras voir l’arrivée de mes amies et te préparer psychologiquement !
  • Bien Maîtresse.

Découverte des trois de amies de Maîtresse Julie

Je ne savais pas comment me calmer, j’essayais de respirer à fond mais mon appréhension était incontrôlable. Le cœur battant, vêtu de cette mini-jupe ridicule, j’étais à 4 pattes, le visage dans l’entrebâillement de la porte, attendant l’arrivée des amazones !

La première, Emilie, était une jolie rousse, assez grande, silhouette athlétique mais sans excès, cheveux longs, un beau sourire, dynamique.
Elle m’impressionnait et je rougissais intérieurement à l’idée d’être exhibé devant elle…

La deuxième, Camille, était une asiatique, à croire que Maîtresse Julie connaissait mes goûts, de taille moyenne, très fine, les cheveux longs et noirs, un beau visage aux traits fins, très douce.J’aurais adoré l’avoir comme petite amie, malheureusement je ne serai qu’un objet pour elle…

La troisième, Laetitia, je n’en crus pas mes yeux, était la blonde de mes rêves ! De longs cheveux, un visage d’une pure beauté, les yeux bleus, pas très grande, mince, les épaules plus larges que les hanches, une poitrine qui semblait parfaite dans sa forme et sa tenue, la taille fine, on devinait de jolies jambes, et son jean moulant formait des fesses de rêve, musclées, trop hautes pour que le pli fessier apparaisse dans sa totalité, une silhouette qui formait de chaque côté comme une légère parenthèse des hanches au genoux, laissant un passage pour la vue à travers l’intérieur du haut des cuisses…

Elle était comme une espèce de nordique ou de fille de l’Est en miniature…
La regarder me faisait perdre mes moyens et m’invitait intérieurement à l’admiration, à la soumission… Mais je remarquai qu’elle tenait un chien en laisse, un Doberman de toute beauté qui inspirait le respect.
Je me demandais comment je pourrais affronter ne serait-ce que le regard de ces trois beautés, je me liquéfiais intérieurement…

 

Présentation du soumis d’Elsa aux trois amies

soumis

Je les vis discuter un peu, rire, s’installer confortablement, n’attendant plus que le spectacle que, pauvre de moi, j’allais leur offrir…
Et j’entendis Maîtresse Julie leur dire qu’elle allait chercher le soumis qu’on lui prêtait pour la soirée. Mon cœur n’était plus qu’un tambour enfermé dans une cage thoracique bien trop étroite.

  • Allez, mets-toi debout petite soumis, viens ! », dit-elle en accrochant la laisse au collier, je vais te présenter à mes amies.
    Voilà mon soumis les filles, enfin, le soumis d’Elsa! Il va nous servir et vous pourrez profiter de sa tenue pour le toucher comme bon vous semble ! Ensuite, comme je vous l’ai expliqué, vous aurez chacune un quart d’heure en privé pour lui faire et lui faire faire tout ce dont vous avez envie, sans la moindre retenue, ne le voyez pas comme un homme, mais comme un objet, un esclave sur lequel vous avez tout pouvoir sans jamais penser à ce qu’il pourrait ressentir, et tout ça restera sous le sceau du secret.

Les filles acquiescèrent en même temps tout en me dévisageant. Je rougis comme un gamin et baissai les yeux pour ne plus affronter le regard inquisiteur de ces trop belles inconnues.

Chacune y alla de son petit commentaire, plutôt flatteur, sur mon physique, ce qui m’aida un peu.

Maîtresse Julie me montra les verres et le champagne afin que je serve ses convives. Instinctivement j’apportai la première coupe de champagne à la jolie rousse, puis à l’Asiatique (probablement une Chinoise, en tout cas pas une Japonaise, ma connaissance de l’Asie me permettait souvent de les reconnaître), et enfin à la blonde de mes rêves !

Un ordre auquel je n’avais même pas réfléchi, laissant probablement la plus impressionnante pour la fin !

Exploration de l’intimité du pauvre soumis par les trois amies

Puis Emilie me fit signe de venir près d’elle. Elle passa aussitôt sa main sous ma jupe et prit mes couilles qu’elle serra suffisamment fort pour que je lâche un gémissement de douleur.

Maîtresse Julie me reprit aussitôt :

  • je ne veux pas t’entendre petit soumis, tu subis en silence !
  • Oui Maîtresse.

Emilie avait dans ses yeux une étincelle sadique que je craignais. Elle reprit son étreinte de plus belle et je dus prendre sur moi pour la supporter. Elle ne fit rien d’autre, juste boire d’une main, discuter, rire, et serrer mes testicules au creux de son autre main. Ainsi, elle exerçait des pressions soutenues tout en me regardant du coin de l’œil pour apprécier mes réactions grimaçantes.

Enfin, elle me lâcha  lorsque Camille me fit signe à son tour. Je m’approchai d’elle et sentis sa main sous ma jupe. Heureusement, sa main était douce, mais elle explora toute mon intimité dans ses moindres recoins, sexe, testicules, fesses, anus.  Elle le fit avec un étonnant naturel, comme si elle était habituée à ce genre de situations.

Mon excitation n’a pas tardé à se faire remarquer. Ainsi, Camille souleva le devant de ma jupe pour montrer mon érection à tout le monde.

Elles rirent de bon cœur et bien sûr, je me sentis honteux d’être ainsi observé et moqué.

Début des réjouissances

Ensuite, ce fut le tour de Laetitia de me faire signe. Elle me dit d’une voix douce de passer ma langue sur ses escarpins vernis et de m’appliquer afin qu’ils soient bien propres. Bien sûr, je m’exécutai,  tout en me noyant d’abord dans son si beau regard, mais je ressentais une certaine frustration à ne pas avoir de contact physique. Elle était tellement belle…

Maîtresse Julie lança alors le début des hostilités. En fait, je ne savais absolument pas à quoi m’attendre, dans l’intimité, avec ces trois jeunes femmes si désirables. Je n’allais pas tarder à découvrir qu’elles allaient donner libre cours à leurs idées les plus perverses.

  • Qui commence les réjouissances ?

 

  • Avec plaisir !, répliqua Emilie

 

  • Emmène-le dans la chambre d’amis au fond de l’appart! Tu y seras tranquille, et j’y ai mis au cas où quelques ustensiles…

 

  • Merci Julie, je suis toute excitée, à tout à l’heure !

Emilie m’entraîna avec elle, tiré par la laisse. Ainsi, je marchais derrière elle en me demandant ce que j’allais subir.

A peine la porte fermée, je reçus une belle gifle.

  • J’ai envie de me défouler, dit-elle

 

Elle s’assit sur une chaise et m’ordonna de m’agenouiller par terre devant elle, jambes écartées. Après, elle enleva sa tennis et me donna un coup de pied dans les parties qui me fit tomber et m’arracha un râle de douleur

  • Relève-toi, petit soumis !

Puis un autre coup de pied, et encore un autre. Je me tortillais par terre à chaque fois, puis reprenais la position.

  • Ça faisait longtemps que je rêvais de donner des coups de pieds dans les couilles d’une mec, dit- elle avec le regard d’un fauve sur sa proie.

Le dernier fut particulièrement difficile à supporter et je restai au sol en chien de fusil en me tenant le bas ventre.

  • Relève-toi, un quart d’heure, c’est court !, dit-elle cruellement

 

Frappé et giflé par Emilie

soumis

Mais ce ne fut pas un coup de pied cette fois, mais une nouvelle gifle, non, plutôt une grosse baffe qui me fit perdre l’équilibre.

Ensuite, je dus me lever et me retourner, Emilie se leva également et m’asséna plusieurs coups de pieds aux fesses brutaux et dégradants.

Elle était toute excitée, essoufflée même…

  • Mets-toi à plat ventre sur moi!

Outre cette position humiliante, je reçus une magistrale fessée, tellement forte et douloureuse que j’en versai quelques larmes.

Puis elle me releva et se mit face à moi

  • Souviens-toi que tu n’es rien pour moi, qu’un morceau de viande!

Elle joignit le geste à la parole en me mettant un coup de poing dans le ventre, puis un coup de genou dans les couilles. Quand je fus à terre, elle monta sur moi et me piétina sans ménagement, le dos, les fesses, puis le ventre, le buste, le visage de ses pieds nus. Enfin, elle en profita pour enfoncer son gros orteil dans ma bouche, allant et venant pendant un bon moment, avec un sourire carnassier.

Tout était violent, sans aucune retenue, avec l’intention évidente de me faire mal, ou plutôt de se défouler sans se soucier de ma peine.

Finalement, l’alarme de son téléphone sonna la fin du quart d’heure et de mon calvaire.

Elle sortit en me disant d’attendre la suivante.

Je l’entendis dire qu’elle avait kiffé et elle remercia chaleureusement Maîtresse Julie pour cette initiative. Ensuite, elle ajouta qu’il fallait me laisser au moins cinq minutes de pause, et les trois jeunes femmes rirent en cœur.

J’étais épuisé, j’avais mal un peu partout, Emilie m’avait vraiment rué de coups, ça devait être son fantasme.

 

Au tour de Camille de profiter du soumis

homme soumis

Je repris mes esprits quand Camille arriva, le regard perverti par ses intentions que j’ignorais encore, mais que je ne tarderais pas à découvrir.

En effet, elle se dévêtit et m’ordonna de lui lécher les aisselles. C’était une première pour moi, c’était bien doux comparé à ce que je venais de subir. Ainsi, je me disais qu’après le chapitre « violence », s’ouvrait probablement le chapitre « crade », et je ne me trompais guère.

Après avoir copieusement léché les aisselles épilées de cette jolie Chinoise, dont l’odeur de transpiration était tout à fait acceptable, je dus m’allonger au sol et elle vint s’accroupir au-dessus de mon visage.

Quel plaisir de voir ses jolies fesses nues et sa chatte poilue, mais le plaisir prit fin dès que je compris que j’allais devoir respirer les flatulences odorantes de la belle.

Effectivement, elle prit un malin plaisir à ouvrir ses fesses au-dessus de mon visage pour péter sans retenue, son anus à quelques centimètres de mon nez. Je ne pensais pas qu’on pouvait péter autant sur commande mais elle y prit beaucoup de plaisir.

  • Sens, respire !, ajoutait-elle d’une petite voix douce mais sadique.

Puis, évidemment, elle m’ordonna de lui lécher l’anus, et à mon avis elle était allée aux toilettes avant et ne s’était pas essuyée volontairement.

  • Nettoie, je veux sentir ta langue profondément dans mon cul!

Bien sûr, je m’appliquai, et elle fut parfaitement propre, extérieurement et intérieurement.

 

Enfin un moment de répit, avant le tour de Laetitia…

 

Alors que je pensais que le quart d’heure touchait à sa fin, je la vis approcher son visage du mien, ouvrir la bouche et me roter au nez.

Quel contraste entre l’élégance de la demoiselle et la vulgarité de l’acte ! Mais elle semblait y prendre goût, mon nez était presque dans sa bouche et les rots se succédaient…
Je savais que je n’aurais pas le moindre égard, la moindre considération. Cette jolie fille qui m’envoyait ces gros rots dans le nez venait attiser cette sensation de n’être même plus un homme à
ses yeux, seulement un esclave soumis!

Puis avec un regard sadique, elle se boucha une narine et souffla de l’autre.

J’ai probablement écarquillé les yeux tant je fus surpris, je ne m’y attendais absolument pas, j’ignorais même que ce fut une pratique !
En tout cas elle n’hésita pas une seconde à se moucher dans ma bouche, une narine, puis l’autre.

J’étais écœuré, je ne pensais pas qu’elle serait crade à ce point et j’eus une grimace de dégoût en avalant sa morve.

Mais l’alarme me sauva enfin ! Elle se rhabilla, se racla la gorge, me cracha dans la bouche et quitta la pièce.

Camille me laissa aller me nettoyer. Je l’entendis dire à peu près les mêmes choses qu’Emilie, elle avait adoré, elle s’était lâchée comme jamais, elle n’aurait jamais cru ça possible…

 

A suivre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 réflexions au sujet de “Une charmante dominatrice et son ex-professeur soumis (11)”

  1. Je savais pas, ce n’est vraiment pas malin de leur part car un ou deux articles par mois,très court qui plus est pour fidéliser les lecteurs qui ont déjà tout lu c’est pas la meilleure chose à faire…

  2. La suite est loin d’être finie mais la longueur des extraits et la fréquence des parutions sont décidées par Dominamag

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Dominatrice expérimentée,  Cultivée et cruelle, sorcière perverse, recherche homme soumis docile obéissant, à dresser ou amateur de fessées magistrales et punitives …