Nouveau fantasme pour mon épouse domina
Partie passer deux jours chez sa mère, mon épouse domina ne revint que quatre jours plus tard sans me donner d’explication. Je lui baisai les pieds sans rien lui demander. En effet, j’étais trop heureux qu’elle soit là. J’avais eu tellement peur qu’elle ne revienne pas ! Elle me libéra pour que je m’occupe de ses plaisirs. Elle me dit :
-je suis contente de ton attitude. Si tu avais posé la moindre question, je serais repartie…
-c’est la seconde fois, ma princesse adorée, que tu me parle de me quitter ! Je suis inquiet. La première fois, j’ai pensé que c’était quelque chose que tu voulais faire avant que notre nouvelle vie commence. Je parle du temps ou l’on vivait ensemble sans amour. Cependant, cette fois, c’est au future proche ! Tu y pense depuis longtemps ?
-En fait, c’est plutôt quand notre relation est devenu plus chaude, que je me suis rendue compte de mon pouvoir de séduction. De plus, ma libido a explosé et j’ai découvert que j’aimais jouir, et même que j’étais doué pour ça ! Ainsi, j’ai pensé qu’il était peut-être encore temps de connaître d’autre homme. En effet, je n’ai pas eu beaucoup d’amant en dehors de toi.
Enfin libéré de la cage de chasteté
Je blêmis, j’étais atterré. Ainsi, je ne pouvais pas imaginer de la perdre. Paradoxalement, plus je devenais fou d’elle plus je risquais de la perdre ! Je me repliais sur moi-même. J’étais tétanisé.
-En fait, tu es un très bon amant et tu es aussi mon bon esclave. Si tu t’appliques toujours aussi bien, je ne te rejetterais pas, mais rencontrer d’autre homme… c’est tentant. Il ne faudrait pas beaucoup me draguer pour que je succombe. Je sais que je te mets la pression. Mais c’est bon pour ma libido, c’est bon pour te rendre attentif, je te veux totalement servile.
-Maintenant quand tu vas t’absenter de nouveau, je serais complètement stressé !
-Mais tellement heureux de mon retour !
Elle a raison !
Quelques jours plus tard, je fus libéré après un mois de chasteté ! Ce fut une merveilleux, nous fîmes l’amour de nombreuse fois. Ce ne fut que tendresse, caresses et jouissances. A la fin de la journée, avant de m’endormir, j’inscrivis 3 croix noires et 6 croix vertes plus une bleue verte ! Au-delà de ce que j’avais pu espérer.
Notre vie reprit normalement, du moins c’est ce qu’il me sembla dans un premier temps. Cependant au bout de quatre jours, je constatai qu’aucune croix grise n’avait été ajoutée et que ma petite Nat semblait bien morose. Je me promis de faire des efforts quand je rentrerais en fin de journée. Cependant, quand j’arrivai la première chose que je vis, ce fut un colis ouvert sur la table et Natalie qui m’attendait. Elle me tendit deux bracelets en cuir.
-A poil ! Met ça ! Et sert bien !
Cravaché par mon épouse domina !
Je m’exécutai car mon épouse domina avait un regard sombre. Je sentis que ce n’étais pas le moment de la contredire. Les bracelets étaient munis d’un fort anneau métallique qu’elle attacha à une corde puis qu’elle passa par dessus la poutre du plafond. Ensuite, elle la tira et la fixa au radiateur. J’étais littéralement suspendu en équilibre sur la pointe des pieds. Elle sortit du carton une cravache en cuir, qu’elle s’amusa à faire siffler en tournant autour de moi.
-Tu as compris ce qui t’arrive, tu vas avoir un belle croix violette ! Voilà 4 jours que tu as eu de généreuses croix noires, et depuis j’ai ressenti un très net relâchement de ta part !
La cravache s’abattit sans ménagement sur mes fesses. Elle continua à me flageller durement tout en parlant, « moins attentif » et pan ! Un coup bien appuyé,
-hier tu as même loupé mon second orgasme par excès de précipitation !
Là, ce fut une pluie de coups violents, si douloureux que je ne pouvais me retenir de gémir.
–Silence !
Elle me colla une large bande adhésive sur la bouche.
-Voilà ta façon de me remercier de ma générosité, n’oublie pas que j’étais vétérinaire et que je sais dresser les chien de ton acabit.
Suite de la correction !
Les coups redoublèrent. La douleur devint insupportable et mes fesses brulaient. Je ne pouvais pas retenir des larmes. Elle le remarqua mais elle n’en tint pas compte. Ainsi, elle continua et énuméra tout ce que j’aurais dû faire et que je n’ai pas fait. A chaque fois, elle me frappait sans retenir ses coups. Quand elle eut fini, elle prit quelques photographies avec son téléphone. Ensuite, elle me les fit défiler devant mes yeux embrumés. Mes fesses étaient toute rouges, avec des hématomes. Du sang commençait à descendre jusque sur mes jambes. Enfin, elle partit en me laissant pendu toute la soirée! J’avais mal partout. Je n’en pouvais plus d’être les bras tirés vers le haut et mes fesses me cuisaient. Elle vint enfin me détacher.
-Décidément, je n’aime pas te corriger, surtout à froid comme aujourd’hui. Passe encore quelques bonnes gifles sur le coup de la colère, mais je n’ai retiré aucun plaisir à te fouetter.
-Et moi, princesse, une intolérable douleur !
Nouveau contrat avec mon épouse domina
-Mais je me devais de le faire jusqu’au bout pour te montrer ma déception. En effet, je te fais plaisir plus que mérité, et tu m’oublies. Ce n’est pas supportable ! J’ai besoin que tu m’aimes et que tu me vénères. Le but de notre changement de vie est de se retrouver, de retrouver le plaisir, le désir, la jouissance. Tu le sens aussi bien que moi que ma méthode fonctionne. Mais tu peux encore progresser. Je ne veux pas avoir recours aux croix violettes et aux punitions corporelles mais s’il le faut je n’hésiterai pas. Comme tu l’as vu, je serais sans pitié. Je veux pouvoir te mettre des croix noires quand bon me semble. De plus, je veux que l’on puisse faire l’amour sans retenue. D’ailleurs, je supprime les croix grises. Si je pense que tu mérites une semaine, un mois ou six mois de frustration, tu y es simplement contraint. Tout est selon ma volonté. Pour une fois, je te demande ton accord. Alors ta réponse…
-oui princesse, je reconnais mes torts. J’ai envie que ma vie ne soit que désir pour toi. J’ai d’ailleurs remarqué que plus tu as des orgasmes moins j’ai besoin d’en avoir. Les tiens remplacent les miens ! Avant j’avais besoin de me masturber tous les jours. Maintenant, cela fait une éternité que je ne l’ai pas fait. En fait, je ne ressens aucun manque, je suis heureux comme jamais. Je te donne mon accord.
– ton accord doit être plus précis .
-dit moi ce à quoi tu veux que je m’engage !
Aucune limite dans la soumission !
-tu veux que je définisse des limites ! Plus de limite, tu m’aimes, tu me donnes du plaisir. Je t’en accorde quand je veux ou pas du tout. De plus, je t’humilie, je te corrige, je te torture même si ça me chante. Je ne veux pas avoir à me justifier. Tu m’appartiens totalement mais je ne t’appartiens pas. Ainsi, je peux te tromper avec d’autres hommes, mais toi tu ne regardes que moi et tu dois être toujours disponible. Grâce à toi, je n’ai plus aucun complexe, plus de tabou. J’ai gouté au paradis et toi à l’enfer. Cet enfer peut être aussi ton paradis, cela ne tient qu’a toi. Je ne veux pas revenir en arrière et je te veux complètement accroc à mon plaisir, plus de contestation. En résumé, j’ai droit de vie et de mort sur toi ! et toi juste le devoir de m’aimer.
-…
-Ok ! je t’accorde une dernière fois un temps de réflexion ! Sache que je t’aime vraiment et que j’adore ta nouvelle façon de m’aimer. J’aurais de la peine si tu refuses de t’engager, et dans ce cas, je te détruirais et moi avec s’il le faut. Tu n’aurais plus d’ami, plus de relation, ou du moins tu aurais honte de les voir. J’ai suffisamment de photos de vidéo et d’enregistrement compromettants de toi, dit-elle en sortant son Smartphone. Tous tes contacts, même ta famille et notre fille et notre gendre les recevront et n’essaies pas de détruire mon téléphone j’ai tout sauvegardé dans le Cloud.
Nouvelle étape dans notre mariage gynarchique
-Je n’ai pas besoin de réflexion, je réponds ok pour tout. Tes menaces de représailles n’y sont pour rien. En effet, tu es devenu ma drogue ! Je suis amoureux d’une princesse exigeante, égoïste, capricieuse, inventive, follement désirable, divinement sensuelle, sexuelle. Je ressens une chaleur dans mon bas ventre rien qu’a l’idée d’être à toi, totalement à toi.
– parfait. Mais c’est sans retour on en discutera plus jamais… Tu es bizarre, pour toi égoïste devient une qualité !
-oui c’est une qualité. Tu es prête à te concentrer sur tes désirs. C’est ce que je veux. Je t’aime ma princesse (pan ! une gifle) pardon princesse. Je veux être ce que tu peux trouver de meilleur ! Je veux aller au plus brillant, au plus noir pour toi.
-j’ai d’autres défauts que tu considères comme des qualités ?
-tu es vindicative et intransigeante mes fesses en témoignent, mais c’est toujours pour notre bien. Je te trouve tellement séduisante, sensuelle quand tu lâches prise dans ces moments là, comme quand tu as un orgasme. Tu es sadique mais tu l’as dit toi-même, après tes orgasmes sont fabuleux. Tu n’as jamais fait les choses à moitié je t’ai toujours vu aller jusqu’au bout, têtu et tenace, c’est grâce à ça que l’on a progressé vers des plaisirs insoupçonnées. Je ne ferai jamais quoi que se soit qui puisse altérer tes plaisirs, je t’aime, je suis fou amoureux, j’attends dans l’excitation et tu inventes une fantaisie nouvelle qui pimente notre vie.
Une nouvelle étape est franchie ! Vers quoi ?