Cathy, femme de ménage, dominatrice ?
A l’époque, j’avais une vingtaine d’années. Je finissais mes études et il n’était pas question pour moi, ou plutôt pour mes parents, que je prenne des vacances. Ainsi, je devais étudier pour préparer au mieux mes examens de fin d’année. Durant les vacances de Pâques, mes parents me laissèrent seuls à la maison. Je devais mettre à profit cette semaine pour travailler. Cependant, fainéant comme j’étais, je profitais surtout pour ne rien faire. Ainsi, je jouais aux jeux vidéos, surfais sur des sites pornos à la recherche d’une dominatrice… bref, la vie d’un adolescent attardé.
Je ne sortais pas. Aussi, la seule présence humaine que je pouvais voir était celle de Cathy, notre femme de ménage. Elle passait pour faire la cuisine, laver mon linge et faire les tâches ménagères. Je pense que mes parents lui avaient aussi demandé de jeter un oeil sur moi afin que je ne me laisse pas totalement aller.
C’était aussi la période où je découvrais ma passion pour la soumission. J’en apprenais beaucoup sur le sujet, et cela m’excitait énormément.
Cathy avait environ 45 ans, récemment divorcée, assez jolie, mince et toujours un petit sourire coquin sur les lèvres. J’avoue qu’elle avait déjà fait l’objet de mes conquêtes virtuelles. De plus, j’avais libéré beaucoup de semence en pensant à elle dans les toilettes, le lavabo ou des vieux t-shirts sales. Naïvement, je pensais qu’à chaque fois que je me branlais, j’étais l’as de la dissimulation et que personne ne se doutait de rien. Je pense que Cathy le savait pertinemment quand je passais quelques minutes de trop dans la salle de bain, dans les toilettes ou qu’elle récupérait des substances hasardeuses sur mes vêtements.
Découverte de ma passion pour la soumission
Je ne pourrai pas l’assurer, mais je pense qu’elle me surprit une fois, en train de me donner du plaisir devant une vidéo internet. Ainsi, en pleine jouissance, j’entendis du bruit derrière moi. En pleine panique, je remis mon jean que je souillais et me retournai. Cependant, je ne pus rien voir, si ce n’était la porte entrouverte. Quand je descendis, je la trouvai aux fourneaux, son éternel sourire aux lèvres. Elle me dit d’un ton naturel :
- Tu n’oublieras pas de me descendre ton linge, il doit être sale. Cela fait au moins deux semaines que tu portes le même pantalon.
Et puis un matin, me pensant seul chez moi, j’en profitais pour me balader nu. Obsédé par la découverte de la soumission, je me mis en quête de vidéos où les mâles se faisaient malmener pas des dominatrices superbes. Ces hommes, notamment, se faisaient pénétrer par des gode-ceintures gigantesques. Il me prit l’envie d’essayer. Ainsi, je commençai modestement, bien installé sur mon lit. Je m’humidifiai l’anus avec ma salive puis entrai progressivement un doigt, les jambes relevées. La sensation était bizarre, pas forcément agréable, mais en provoquant des va et vient, je stimulais ma prostate et ressentis du plaisir.
Surpris lors d’une séance intime
La marge de manœuvre avec mon doigt était faible aussi, je me mis en quête d’un objet un peu plus gros. Je trouvai un stylo assez épais et surtout d’une forme en ogive, parfaite. Sur le dos, je m’insérai l’objet de plus en plus vite. Je me mis en levrette pour accentuer la sensation de soumission. C’est ainsi que Cathy me trouva, entièrement nu, le visage enfoncé sur l’oreiller, ma queue et mes boules pendantes pendant que j’atteignais tant bien que mal le stylo enfoncé dans mon cul. Je ne le sus qu’après, mais elle m’observa de longues minutes en imaginant comment réagir. La situation l’excitait aussi, surement son côté dominatrice. Elle décida d’en profiter.
Elle entra dans ma chambre avec fracas et hurla
- Ah non alors, tu vas encore me salir les draps et qui va nettoyer ? c’est moi !
Je tentai de me redresser en panique, mais elle m’ordonna de ne pas bouger.
- Cette fois-ci, tu vas assumer mon garçon !
La dominatrice entre en jeu !
Elle sortit de ma table de nuit des préservatifs, que je pensais bien cachés sous quelques livres. Malheureusement, j’avais débandé sous l’effet de la surprise.
- Bah alors, on fait le petit garçon, avec son petit zizi tout flapi, ça allait mieux tout à l’heure !
Elle saisit le stylo et fit quelques aller-retours dans mon anus, tout en caressant mes couilles.
- Tu as besoin d’un peu d’aide je pense !
Elle passa devant moi et releva sa jupe révélant qu’elle n’avait pas de culotte. Ensuite, elle approcha son sexe tout prêt de ma tête.
- Tu aimes ce que tu vois ? Lèche !
Dans cette position inconfortable, j’arrivais à donner quelques coups de langue, mais surtout cette odeur de sexe puissante me redonna une érection solide. Elle me fit arrêter et me plaça un préservatif sur mon sexe bien tendu. De nouveau derrière moi, jouant habilement de ses doigts, elle me trait la queue en me stimulant la prostate. Je ne tardai pas à jouir abondamment dans le préservatif. Vidé, je me mis sur le dos et lui sourit, croyant le jeu terminé. Elle me fixa du regard.
- Pourquoi tu souris ? je t’ai dit que tu allais assumer et voir ce que j’endure à nettoyer tes saloperies, tu vas faire pareil !
La dominatrice impose des nouvelles règles !
Elle retira la capote, s’allongea sur le dos et vida son contenu sur le haut de son pubis.
- vas-y, nettoie-moi !
J’hésitai dans un premier temps, puis je refusai.
- Ecoute-moi bien mon garçon, tu n’as pas tout compris je crois ! Je ne suis pas une pute que tes parents paient pour te vider les couilles selon tes fantasmes. Cela fait huit ans que je lave tes affaires dégoutantes, que je passe derrière toi dans la salle de bain et que je nettoie ton jus que tu laisses dans le lavabo ou dans la douche sans que tu t’en aperçoives. Je t’ai filmé à quatre pattes un crayon dans l’anus. Donc, ce serait dommage que cette vidéo atterrisse dans la boîte mail de tes parents, ou pire, sur le réseau de la fac. C’est pourquoi tu vas faire ce que je te dis à partir d’aujourd’hui. Ainsi, tu vas commencer par me nettoyer et bien avaler ton sperme. Après, tu y repenseras à deux fois avant d’en laisser partout. Tu vas continuer en me faisant jouir avec ta langue. Ensuite, il reste quatre jours avant que tes parents ne rentrent, donc si tu veux que je leur dise que tu as bien travaillé, c’est toi qui va faire mon boulot jusqu’à dimanche. J’ai besoin de vacances aussi, ras-le-bol de te servir, à mon tour !Je garde mon salaire bien sûr, mais en échange, je vais t’apprendre à jouir avec ton fion, tu as eu un aperçu aujourd’hui, mais bientôt, tu seras capable d’éjaculer sans toucher à ta queue. En quelques mots, tu deviendras une vraie femelle qui jouit en se faisant pénétrer. Est-ce que tu as compris ?
Je ne sais pas si ma réponse fut plus convaincante que la gaule qui me reprenait furieusement ou l’ardeur que je mis à lécher et avaler mon sperme pris dans la toison de ma nouvelle Maîtresse dominatrice…
L histoile de la femme de menage je l ai trouver très belle et bien raconter espère que l on auras la suite qui devez être passionnante