Après 4 mois d’attente… ma maîtresse!
Cela faisait une éternité pour moi que nous échangions par le biais d’internet, d’abord un tchat classique sur un salon un peu particulier « Dressage Sm« , où je m’étais plutôt présenté en tant que dominant…
Nous avions discuté d’un peu tout et rien, j’apprenais qu’elle était en couple et je lui disais qu’elle méritait la fessée (puisque pour une fois, moi j’étais célibataire !). Et le changement eu lieu à ce moment là, elle me répondit que c’était elle qui allait me la mettre la fessée… Je rigolais, et en même temps mon esprit s’évadait, confiant que pour cela, il lui faudrait avoir un sacré caractère, car jusqu’à maintenant, j’avais toujours rencontré des femmes ayant une forte personnalité mais avec qui j’avais toujours retourné la situation.
Je crois que ces mots n’étaient pas tombés dans l’oreille d’une sourde !
Les jours qui suivirent, nous nous recontactions régulièrement suivant ses disponibilités, elle venait souvent tardivement, et je passais parfois mes heures de nuit à converser avec cette maîtresse virtuelle. Je travaillais pourtant la journée et ce n’était pas toujours chose aisée, mais le sacrifice en valait la peine. Pour la première fois, j’étais subjugué par des échanges virtuels… les mots dépassaient les pensées et inversement… je m’imaginais un jour en face d’elle. Je ne parvenais pas à obtenir la plus maigre information, pas même son prénom… pour moi c’était Mademoiselle, parfois Madame quand je la taquinais, elle n’avait pas encore la trentaine alors que j’en avais 37, et je ne devrais l’appeler Maîtresse que si elle le décidait, et si effectivement nous devions envisager d’aller plus loin !
Elle écrivait bien et je m’appliquais à en faire autant, même si régulièrement elle me reprenait sur mes fautes de langage… l’heure avancée ne m’aidait guère à cette attention, surtout que plus d’une fois, c’était plutôt la queue à la main que je venais la retrouver pour discuter, ou mieux qu’après quelques minutes voire secondes d’échange, je me retrouvais avec des fourmillements au niveau du bas-ventre ! Plus les choses avançaient, plus elle prenait le contrôle sans que je m’en rende réellement compte… elle me livrait de toutes petites informations, juste suffisantes pour continuer d’attiser mon désir de la rencontrer ! Je crois que dès le premier soir, elle m’aurait dit de venir la retrouver en pleine nuit, je serai allé la voir, juste la voir, croiser son regard, mettre un visage, un sourire (peut-être), en tous cas un regard sur cette fille, cette femme qui sous ses airs de fille fragile, avait cette dominance innée et était prête à avoir un soumis à ses pieds.
Les échanges se précisaient, elle savait tout ou presque de moi, de ma vie personnelle à ma vie professionnelle, maîtrisait mon emploi du temps, et avait déjà reçu une ou deux photos de moi pour savoir si je pouvais être à son goût… « un beau chien » selon elle… j’étais flatté, et forcément, une fois de plus encore un peu plus attiré et enchaîné à ses mots… elle passa alors aux étapes suivantes !
Je devenais tour à tour son éventuel soumis à son futur chien, et peut être même sa belle salope… moi l’homme viril et dominant, je me retrouvais perturbé et troublé par ces évocations. Elle me demanda de lui décrire mes fantasmes les plus inavouables, si j’avais déjà eu des expériences avec des hommes. Je n’ai aucune attirance pour les hommes, et pourtant une queue, je trouve ça beau… et il est vrai que lors de soirées libertines, il m’était arrivé une fois ou deux de me laisser aller dans l’excitation à branler une queue, et même à la mettre en bouche pour « tester »… jusqu’à imaginer une suite, mais plutôt en imaginant une femme munie de cette queue ! Je n’en livrais pas trop, craignant qu’en fait j’ai un homme de l’autre côté de l’écran comme c’était déjà arrivé. Des mâles qui n’assumaient peut être par leur homosexualité ? En tous cas, elle me rassura dans les jours qui suivirent en me demandant mon numéro de téléphone, me prévenant que je n’aurai jamais le sien, et qu’elle m’appellerait en numéro masqué. Elle vérifierait aussi mon célibat en me disant que si je lui confiais mon numéro, elle était susceptible d’appeler à divers moments du jour ou de la nuit ; mais qu’elle respecterait toujours ma vie professionnelle.
Je tentais alors de me laisser en racontant les fantasmes qui me passaient par la tête régulièrement… me faire violer par des femmes et dont certaines ayant de belles queues, m’obligeant, tantôt à les lécher ou à les sucer… Où ça ? Peu importe puisque c’était un viol… j’avais sur le coup imaginé un cinéma porno, où il y avait majoritairement des hommes forcément, et où les femmes seraient rentrées alors qu’on était avec la queue à la main. Une bande de copines faisant un enterrement de vie de jeune-fille ! Elle avait alors transformé mon récit en y ajoutant aussi les queues des hommes qui me prendraient en plus des godes ceintures des femmes… Du sperme qui giclaient sur moi et en mon intérieur… (j’avais imaginé tout ce beau monde avec des capotes, et elle m’avait vite remis à ma place, en me disant que c’était un fantasme, que j’avais le droit de me lâcher vraiment et que les préservatifs n’avaient rien à faire avec sa salope soumise et défoncée !).
L’étape suivante fût de me faire remplir un questionnaire très précis et complet, presque exhaustif sur mes pratiques avérées, celles qui m’attiraient concrètement, et celles qui pourraient me plaire ou pour lesquelles je n’avais pas d’aversion, jusqu’à celles qui me rebutaient et pouvaient être mes limites difficiles à dépasser. (si vous êtes sages, je vous fournirai ce questionnaire qui permet de recenser vos pratiques et pour les dominas de se faire une idée du soumis que vous êtes susceptible d’être pour elle(s) !
Je remarquais qu’elle s’attardait souvent sur ces pratiques ou la multiplicité des jeux et des personnes étaient présentes. Je crois que c’est là que je compris qu’elle avait envie de voir son soumis se faire prendre par un autre homme, ou peut être une trans, en tous cas, j’appris par la suite que voir deux hommes virils se sucer et se baiser était un vrai plaisir pour elle… au point qu’elle m’amena à aller voir des vidéos très parlantes ! Je n’étais pas très enclin à cela, d’ailleurs le site sur lequel elle m’avait envoyé était un site avec des chaines tv de vidéo en tous genres, et je m’attardais bien plus sur les vidéos D/s où les filles soumises étaient souvent mises en scène… miam, très excitant, et parfois les hommes… enchaînés et pris par des dominas bien montées. Ma punition ne traîna pas, elle m’obligea à une abstinence de plusieurs jours… compliqué vu les envies que j’avais en discutant avec elle ! J’en avais mal à la queue à me branler sous ses ordres avec l’interdiction de jouir, et je ne vous parle pas de mes couilles gonflées que je pouvais à peine toucher ! Mais lui obéir, m’excitait… elle joua alors longuement avec moi.
Une étape de plus était franchie, elle détecta chez moi un côté maso que je ne connaissais pas et que je maîtrisais encore moins !! Je découvris alors les pinces à linge (en bois de préférence) sur mes tétons que je ne savais pas être extrêmement sensibles, et un ruban vint servir de cockring autour de ma queue ou de mes couilles… Je respectais à la lettre ses ordres et elle pouvait le contrôler aisément, puisque je devais faire des photos de mon obéissance et lui envoyer sur une boite mail que j’avais dû créer pour notre relation, lui confiant bien évidemment le mot de passe. J’envoyais de cette boite mail sur son adresse personnelle et laissait une copie du message et de ma soumission pour Elle dans cette boîte qu’elle visitait régulièrement.
Les punitions devinrent plus sévères au fur et à mesure des semaines qui passaient… je me retrouvais parfois à genoux sur deux poignées de coquillettes entre mes genoux et le carrelage durant plusieurs minutes… à d’autres moments avec des pinces à linge sur la peau de mes testicules ou de mon sexe qui parfois n’en débandait par pour autant. Ou simplement avec des élastiques entourant et contraignant ma queue la rendant jusqu’au violacé le plus sombre d’envie après une branlette contrainte sans autorisation de jouir bien entendu !
J’étais accroc, je n’en pouvais plus… ses absences pour des week-ends ou des congés me rendaient fou ! Elle décida alors de m’exhiber… une fois de plus, la crainte s’empara de moi, et je ne savais plus où me mettre. Je craignais qu’on puisse me reconnaître, peut être me faire chanter, que cela puisse me gêner sur le plan professionnel… mais mon envie de gicler et de jouir d’un plaisir plus important encore m’amenait à dépasser ces craintes. Elle m’envoya un lien où un soumis se faisait jouir pour sa maîtresse sur un blog, on ne voyait pas son visage, mais son corps et sa queue dressée qu’il branlait aux ordres de sa maîtresse qu’on entendait à côté. Mademoiselle me dit que si je faisais la même vidéo demandant à être son soumis alors je serai autorisé à l’appeler Maîtresse… forcément, je cédais… elle m’avait déjà habitué à gicler en vidéo à ses ordres en me disant que j’étais un bon chien ! Je voulais lui faire honneur… je réalisais alors cette vidéo en disant que c’était « pour Vous Mademoiselle » au début de la vidéo, et en remerciant « » au moment où je giclais pour elle. Curieusement, ma jouissance fût exceptionnelle et les giclées de mon sperme m’impressionnèrent moi-même par leur hauteur à trois ou quatre reprises. Je me remettais lentement de ce plaisir, et je m’activais à publier la vidéo. Mademoiselle fût satisfaite et en plus de ma jouissance, ma récompense validée… elle devenait ma maîtresse, je pouvais l’appeler ainsi… et elle me fixa un rendez-vous pour la semaine qui suivait dans un café de la région parisienne, pas si loin de chez moi…
A suivre !