Je dois aujourd’hui me rendre au domicile de ma secrétaire dominatrice. Je n’ai pas d’autres information. C’est donc avec une légère anxiété que je me rends chez elle.
Un fétichiste au service de sa secrétaire… et de son mari (1)
Elle m’accueille assez chaleureusement. Elle est toujours aussi sublime. Je remarque, instantanément, ses escarpins du jour ainsi que sa petite jupe qui laisse dévoiler ses magnifiques jambes. Elle porte également une veste permettant de deviner sa petite poitrine. Je pense qu’elle ne porte même pas de soutien-gorge.
Après avoir bu un café ensemble, elle change soudainement de ton,
- La salle de bain est au fond du couloir. Tu y vas, tu te déshabilles complètement, et tu reviens ici en marchant à quatre pattes!
Mon sang ne fait qu’un tour. Je suis vraiment en train de vivre un rêve éveillé.
De suite, je m’exécute et reviens en rampant, tel le chien que je suis en train de devenir pour elle.
Je suis maintenant à genoux près d’elle. Elle me surprend de nouveau en sortant un collier et une laisse.
- Approche!, me-dit-elle.
Elle m’affuble donc de ce collier et lui accroche la laisse.
- Allons faire un tour dans le jardin mon gentil toutou!, me lance-t-elle, comme si ma place avait toujours été ici.
Nous déambulons donc maintenant à l’extérieur. Fort heureusement, le jardin ne possède aucun vis-à-vis. Elle s’amuse avec moi pendant une petite demi-heure. Ainsi, elle me lance une balle que je dois lui ramener. Je dois, également, faire le beau, etc…
Pour finir, elle lance avec un petit rire moqueur :
- Mon gentil toutou doit certainement faire ses besoins avant de rentrer?
Me voilà donc en train de me soulager au milieu d’un parterre de fleurs. Je me sens véritablement à ma place.
En train de lécher les escarpins de ma secrétaire dominatrice
Nous voilà de nouveau à l’intérieur.
- Mes jolis escarpins sont sales maintenant après notre petite excursion, devine-qui va s’en occuper ?, dit-elle, visiblement de plus en plus grisée par la situation que nous vivons.
Je m’approche donc et commence à lécher la terre sous ses escarpins.
Je ne peux plus retenir mon érection désormais. Le liquide séminale coule également à grosse gouttes.
- Ça te plait ce que tu es en train de vivre hein ?, dit-elle en assistant à ce spectacle.
- Oui Madame, dis-je dans un état second, et ne sachant plus quoi répondre d’autres.
Une fois le nettoyage terminé, elle retire ses chaussures. Je suis très proche de l’éjaculation. C’est un véritable supplice.
- Lèche-moi les pieds tout en te masturbant! dit-elle d’un ton sec.
J’obéis immédiatement et m’applique à parcourir chaque centimètre de ce don qu’elle me fait en ce moment.
Les minutes passent. Je la préviens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps cette situation.
- Tu jouiras quand tu en auras l’autorisation!, hurle-t-elle soudain.
Ce regain d’autorité calme quelque peu mes ardeurs.
Désormais en cage de chasteté
Au bout d’une quinzaine de minutes, elle mets fin à mon « calvaire ».
- A mon claquement de doigts, tu as une seconde, dit-elle, totalement avide du pouvoir qu’elle a sur moi.
Elle claque des doigts. Je jouis une quantité énorme de sperme sur ses divins pieds. Je m’effondre quelque peu ensuite.
- C’est très bien mon toutou, je suis fier de toi, dit-elle en me caressant la tête.
Cet instant est tellement magique. Mais elle me sort très vite de ce confort.
- Tu nettoies tes saletés, maintenant, avec ta langue!, dit-elle froidement, mais avec bienveillance.
Je lèche maintenant mon sperme encore chaud sur les pieds de ma Divine secrétaire dominatrice, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien.
- Suis-moi dans la chambre maintenant, toujours à quatre pattes!
Nous arrivons près de son lit conjugal. Je ne le sais pas encore, mais je vais avoir le temps de regarder ce lit en long, en large et en travers.
Je vois plusieurs choses sur la table de nuit : une huile de massage, mais aussi et surtout une petite boite noire.
- Ouvre-la!, dit-elle avec enthousiasme.
C’est une cage de chasteté. Mon membre tressaillit de nouveau, mais est encore engourdi de son précédent exploit.
J’ai maintenant la cage sur moi. D’un clic, elle verrouille le cadenas.
- Bien, dit-elle, toujours sûre d’elle. A genoux maintenant!
Transformé en sex-toy pour ma secrétaire dominatrice
Je suis juste à hauteur de son sexe. Elle commence à se déshabiller devant moi. Mon membre, toujours lui, se réveille de nouveau et pousse en vain sur les parois de la cage. C’est douloureux. Cela crée des sensations extrêmement contradictoires, avec la vision de ma secrétaire dominatrice devant moi en train de s’effeuiller.
Une fois totalement nue, elle m’indique son sexe :
- Lèche! Je veux un orgasme digne ce nom!
J’obtempère et laisse ma langue parcourir tous les recoins de son intimité.
Les minutes passent, et il semble que mon action la satisfait. Elle tient ma tête et s’en sert comme d’un sex-toy.
Elle finit par me relâcher, se tourne et me laisse admirer son anus.
- Lèche à fond, vas-y!, lance-t-elle essoufflée.
Je continue mon œuvre.
Elle finit enfin par s’allonger sur le lit.
- Termine ce que tu as commencé, esclave!
Je m’applique au maximum, et bout de quelques minutes, elle finit par avoir son orgasme et jouit dans un râle d’extase. Elle sert ma tête entre ses jambes. Mon visage est couvert de cyprine. Je regarde vers mon membre. Ce dernier est de nouveau gorgé de sang, mais complètement comprimé dans sa cage.
Immense privilège de lui faire un massage complet
Une fois remise de ses émotions, elle s’allonge sur le ventre sur son lit conjugal. Je dois lui faire un massage complet pour terminer cet après-midi. Pouvoir toucher tout son corps de cette manière est un immense privilège.
Avant de quitter les lieux, elle me donne l’ordre de conserver ma cage.
- Tu sais que je suis en vacances les deux prochaines semaines, dit-elle, ce qui a pour effet de me faire déglutir d’angoisse et d’excitation.
- Tu resteras donc chaste jusqu’à notre prochaine rencontre. Je te veux dans un état d’excitation et de frustration total, tu m’as compris ?
- Oui Madame, dis-je, peu sûr de moi.
- Ce sera Maîtresse désormais, nous avons franchi un cap, tu ne crois pas ?
Et Toujours ce liquide séminal qui n’en finit plus de couler.
A suivre